background preloader

Se protéger du stress : 15 pistes à suivre

Se protéger du stress : 15 pistes à suivre
Related:  RPS

Risques psychosociaux et stress au travail Risques psychosociaux et stress: qu'entend-on par là? Les risques psychosociaux sont le résultat d'une mauvaise conception, organisation ou gestion du travail et d'un contexte socioprofessionnel défavorable. Ils peuvent avoir des conséquences psychologiques, physiques et sociales négatives, telles que le stress occasionné par le travail, le surmenage ou la dépression. Parmi les conditions de travail susceptibles de déboucher sur des risques psychosociaux, citons par exemple: une surcharge de travail, des exigences contradictoires et un manque de clarté sur la fonction à remplir, la non-participation des travailleurs aux décisions les concernant et leur absence d'influence sur le mode d'exécution de leur activité professionnelle, des changements organisationnels mal gérés et l'insécurité de l'emploi, l'inefficacité de la communication et le manque de soutien de la direction ou des collègues, le harcèlement psychologique et sexuel et la violence exercée par des tiers.

Ergonomie : la posture parfaite dans un bureau idéal Réglages de l'écran, hauteur du siège, positions des mains... Découvrez comment éviter les dégâts du travail de bureau sur votre corps. Passez votre souris sur les points rouges pour faire apparaître le texte. © zosiamax - Fotolia.com Prenez-vous, chaque matin, les secondes nécessaires pour vous installer confortablement ? Car oui, le travail de bureau vous tue. réglez votre siège, votre écran, vos accoudoirs... adoptez une position correcte : bien assis, la colonne vertébrale droite, les pieds au sol, les mains à plat, les épaules détendues... bougez au cours de votre journée : même bien assis, votre corps a besoin de se déplacer.

L'open space est-il le fossoyeur de l'intimité ? Bienvenue dans l'ère de la colocation professionnelle. Une ère de partage de l'espace où les bureaux se touchent et se ressemblent. Contraints à cohabiter dans un open space, les salariés entretiennent souvent un rapport ambigu à l'égard de leur environnement quotidien. Depuis son arrivée en France dans les années 70, l'open-space (ou bureau paysager) essuie bon nombre de critiques et inspire livres et pièces de théâtre. "L'open space a quelque chose de la scène de théâtre, estime Elisabeth Pelegrin-Genel, qui jongle entre ses trois casquettes d'architecte, de psychologue et de consultante en entreprise et a écrit plusieurs livres sur le sujet. Travailler en open space signifie d'abord évoluer en permanence sous le regard des autres, sans le moindre répit." Dans son livre Guide de survie en open space (parce que les collègues, ça va bien cinq minutes), la blogueuse Pétronille, s'amuse de cette grande scène de comédie humaine qu'est le bureau. Angoissant silence

Direct Assurance : démarche QVT et budget de formation professionnelle Recours au télétravail, accès à un numéro vert de soutien personnel, des managers sensibilisés et formés… Pour assurer l’application de toutes les mesures de son accord sur la qualité de vie au travail (QVT), Direct Assurance y consacrera 10 % du budget annuel de formation. ​ Le texte, ​signé par la direction de Direct Assurance, la CFDT et la CFE-CGC, se veut une nouvelle étape dans la promotion d’une « démarche globale, alliant prévention du stress et qualité de vie au travail ». Dans cet accord que le syndicat CFE-CGC considère comme exemplaire, les signataires espèrent répondre à des défis qui ne résultent pas seulement de la digitalisation des activités, mais aussi de facteurs tels que les évolutions normatives et le changement des organisations. Direct Assurance, la question de légitimer la notion de QVT Pour agir efficacement, les parties signataires estiment nécessaire d’identifier les situations pouvant engendrer du stress. Accompagner les projets d’évolution

Comment Sanofi encourage ses cadres à sous-noter ses salariés, selon des quotas arbitraires de "mauvais éléments" Sous-noter des salariés arbitrairement pour respecter des quotas de mauvais éléments fixés par la hiérarchie : c’est ce qui serait demandé à des managers de Sanofi, un des leaders du CAC40, selon notre enquête, menée pendant plusieurs mois. De nombreux cadres, particulièrement attachés à leur entreprise et non-syndiqués, ont accepté de témoigner sous couvert d’anonymat pour dénoncer un système qu’ils trouvent injuste. Des quotas prédéfinis par catégorie... et par écrit Cette méthode d’évaluation par sous-notation forcée serait en place chez Sanofi Aventis Groupe depuis 2015. Il s’agit de classer les salariés dans différentes catégories en fonction de quotas prédéfinis : 20% d’excellents, ceux dépassent les objectifs ; 70% de salariés standards, qui les atteignent, et 10% de non-performants. Charge aux managers d’atteindre ces quotas, quitte à mal noter des collaborateurs performants. La direction reconnaît un loupé, mais les quotas restent appliqués *Tous les prénoms ont été modifiés.

"L'exécuteur" : confessions d'un DRH Il s’appelle Didier Bille et, pendant vingt-deux ans, il a été directeur des ressources humaines pour des multinationales, dans les secteurs des télécommunications ou encore de l’industrie automobile. Aujourd’hui, il témoigne pour la première fois des redoutables méthodes qu’il a employées pour mettre la pression aux salariés et les licencier en quinze minutes sur un coin de bureau, parfois sans aucun motif. Il a fait le calcul : dans toute sa carrière, il a congédié au total 1 000 personnes, un salarié tous les sept jours ! L’une de ses armes, c’est le "ranking forcé", une pratique en vogue dans de nombreuses entreprises selon lui. Elle consiste à mal noter des salariés pourtant irréprochables afin d'avoir un prétexte pour les licencier. Ce qu’il raconte sans détour, c’est un monde de l’entreprise sans foi ni loi, où le salarié est broyé.

Le surface acting : quand jouer un rôle fait mal au travail Le surface acting : une dissimulation des émotions Aux salariés qui ne pouvaient réprimer leur peur devant la possibilité de perdre leur poste ou leur colère face à une promesse d’évolution non tenue, on a répondu par une prescription aussi vaine que douloureuse : fais semblant au mieux de ne rien ressentir et au pire d’être content. Que se passe-t-il dans ce genre de situation ? Lorsque l’on est tenu d’exprimer une émotion qu’on ne ressent pas vraiment, ici la satisfaction au lieu de la peur et de la colère, on entre dans ce que les psychologues du travail appellent le « surface acting » : je fais semblant, en superficie, d’éprouver l’émotion demandée. On joue un rôle qui crée en nous une dissonance émotionnelle c’est à dire un écart entre la réalité de nos ressentis et la facticité de ce que nous laissons sciemment transparaitre. Le surface acting : un facteur de risques psychosociaux

Nouveaux comportements et addictions au travail à l’ère de l’hyperconnexion Les analyses du forum économique de Davos sont sans équivoque : 65 % des enfants d’aujourd’hui exerceront un métier qui n’existe pas encore. L’accélération du développement de l’intelligence artificielle (IA) n’est pas étrangère à cette évolution car 85 % des nouveaux emplois qu’elle induira en 2030 ne sont pas encore de ce monde. Comme le prédit le physicien américain Michio Kaku (2011) dans Une brève histoire du futur, les grands perdants seront les ouvriers parfaitement remplaçables par un robot qui, de surcroît, excellera dans des travaux répétitifs. Le digital se substitue déjà facilement aux intermédiaires tels les comptables ou les chargés de voyage. L’ère de l’hyperconnexion Dans l’attente de nouveaux métiers que nous ne devinons pas, le digital propulse d’ores et déjà l’humanité dans une hypermodernité exacerbée à l’accent anglo-saxon, comme en atteste le vocabulaire employé dans cet article. Ainsi, tout se confond entre vie privée et vie professionnelle. Peur de la solitude

Related: