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Comment nous sommes devenus les Big Brother de nos enfants

Comment nous sommes devenus les Big Brother de nos enfants
Temps de lecture: 10 min A 6 ans, je sortais chaque jour acheter le pain, très tôt le matin. J'ai commencé à aller seule à l'école dès le CE1 (soit vers 7 ans). L'établissement se trouvait à quinze bonnes minutes de chez moi à pied, il fallait traverser plusieurs routes, dont une bordant une station service, et mon quartier de l'époque serait aujourd'hui considéré comme une «zone urbaine sensible». Je rentrais également seule à la maison –avec ma clé autour du cou– pour le rester jusqu'au retour de mes parents (vers 19h environ). Aujourd'hui, quand je demande à ma fille de 8 ans ce qu'elle voudrait faire quand elle sera grande, elle répond: «Je veux être en sixième pour aller toute seule au collège». Elle ne rêve pas d'être vétérinaire ou d'une place pour le concert de Violetta, elle voudrait circuler dans la rue, sans avoir à tenir la main de l'un de ses parents. Et c'est hors de question pour l'instant. Les parents drones Ce sont les conclusions d'un sondage mené par le site Mashable. Related:  articles intéressantsSociété

Comment la langue que vous parlez change votre vision du monde Les personnes bilingues bénéficient de tous les avantages. De meilleures perspectives d’emploi, une stimulation au niveau cognitif et même une certaine protection contre la survenue d’une démence. Une nouvelle recherche montre qu’elles peuvent aussi voir le monde de façons différentes selon la langue spécifique qu’elles utilisent. Les quinze dernières années témoignent d’une quantité impressionnante de recherches sur le cerveau bilingue, avec une majorité d’éléments qui pointent les avantages tangibles pour ceux qui utilisent plus qu’une seule langue. Le va-et-vient entre les langues semble être une sorte d’entraînement du cerveau, en le poussant à la flexibilité. Tout comme l’exercice physique procure des bénéfices biologiques à votre corps, contrôler mentalement deux ou plusieurs langues apporte un plus cognitif à votre cerveau. Les Allemands savent où ils vont Intervertir les langues, changer la perspective

LE BIEN-ÊTRE ET L’ENTREPRISE Bon dimanche la compagnie ! Aujourd’hui, je voudrais vous parler de l’entreprenariat, et plus particulièrement du bien être dans celle-ci. Parce que je sais que c’est un sujet qui fait écho en vous mais aussi parce que d’en parler ici me permet de prendre du recul… Vous savez, Make My Lemonade, Wear Lemonade, le Lemonade Studio… Tout ces choses qui m’arrivent ne sont pas le résultat de calculs savants, mais plutôt d’une suite d’événements, d’enchaînements heureux que j’ai provoqués ou non d’ailleurs. Et puis, je ne sais pas si je n’avais pas une petite idée derrière la tête quand même en 2012… Disons que j’essayais quelque chose, je poussais une porte pour voir si je pouvais trouver l’espace pour me réaliser derrière. C’était un peu flou. Donc j’ai vite compris l’urgence de trouver un métier créatif que j’ai trouvé rapidement avec chance. Dans la seconde entreprise cela a été l’enfer. Je ne rentrerai pas dans les détails mais vous saisissez l’idée générale.

Antispécisme et véganisme constituent-ils des projets de sociétés réalistes ? Antispécisme et véganisme se présentent aujourd’hui comme des projets de société à part entière. Plusieurs partis politiques, dont DierAnimal en Belgique et le Rassemblement des écologistes pour le vivant en France, se sont récemment structurés sous cette bannière. Mais pour qu’un système éthique soit plus qu’un simple jeu de l’esprit et constitue un projet de société, il doit, a minima, ne pas être construit sur un déni manifeste du réel et être applicable dans les faits. Peter Singer, père fondateur de l’antispécisme, revendique une approche rationnelle de la condition animale dérivée de la théorie morale utilitariste fondée au XVIIIe siècle par Jeremy Bentham. L’utilitarisme défend une morale dite conséquentialiste. C’est-à-dire que chaque action doit être jugée en fonction de ses conséquences sur le bien-être collectif. Capacité à souffrir Le principal apport de Singer est de redéfinir l’identité de la communauté morale. Dans les statuts de la Vegan Society (1979), il se définit comme

Comment les idiots ne savent pas qu’ils sont idiots ? Votre Guru revient sur une étude publiée en 1999, mais qui est complètement d’actualité à l’approche des futures élections démocratiques et qui vient parfaitement compléter mon tout récent article sur les lois basiques de la bêtise humaine. Nous allons découvrir ensemble quelque chose dont nous nous doutions, surtout vous fidèles lecteurs(rices)… L’effet Dunning-Kruger, ou comment des difficultés à reconnaitre sa propre incompétence conduisent à se surestimer. Un nombre croissant de recherches en psychologie montre que l’incompétence prive les gens de la capacité à reconnaitre leur propre incompétence. Pour dire les choses crument, les gens sont trop bêtes pour savoir qu’ils sont stupides et inversement, les personnes compétentes ont tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. De même, les gens pas drôles du tout n’ont pas suffisamment le sens de l’humour pour le dire. Cette déconnexion peut être responsable de nombreux problèmes de société.

Île de Sable (Nouvelle-Calédonie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article ou cette section lié à la géographie doit être recyclé. (indiquez la date de pose grâce au paramètre date) L'Île de Sable se serait située à l'ouest de la Nouvelle-Calédonie. L'Île de Sable (appelée en anglais Sandy Island ou Sable Island) est une île fantôme rapportée sur diverses cartes maritimes depuis la fin du XIXe siècle[1], mais dont l'existence a été infirmée définitivement en 1979. Elle était censée se situer entre l'Australie et la Nouvelle-Calédonie, à l'ouest-nord-ouest de l'île principale de cet archipel. L'île apparaît comme une masse terrestre sur les mappemondes, notamment Google Maps[2] et le Times Atlas of the World et sur les cartes marines américaines et britanniques. Il a été suggéré que l'île était d'abord apparue sur une carte comme « erreur volontaire » afin de confondre les falsificateurs et que son existence n'avait jamais été vérifiée depuis.

Comment dialoguer de manière constructive ? Echanger sur des sujets de fond est une de mes passions. Cela fait plusieurs années que je m’interroge sur les moyens de faire progresser la connaissance, d’apprendre de nouvelles choses. Dans cet article, je reviens sur le cheminement qui m’anime depuis tout ce temps, pour ensuite donner des pistes sur les manières de le mettre en pratique concrètement. Un cheminement théorique Durant mes études, j’ai été amené à réfléchir sur l’épistémologie, la cognition (comment fonctionne la connaissance humaine, avec ses biais), et en particulier sur la notion « d’esprit critique ». A l’époque, deux notions m’ont marqué. En 2012, dans Les polémistes sont-ils responsables des interprétations de leurs propos ? En 2013, dans Pour une éthique de la discussion, je tâchais de formaliser en quelque sorte des « règles du jeu » à respecter pour qu’une discussion soit constructive, c’est-à-dire qu’elle fasse progresser la connaissance dans une forme de respect mutuel des personnes et des idées. Il ajoute :

The Fourth Law of Holes | Print Future My two year old grandson, Ryan, taught me this one. We were at the beach, and his older brother was digging a hole in the sand. But Ryan kept filling it in. Great fun! And there is a lesson here. Let’s review the Laws of Holes. Less well known, but just as important, is the Second Law of Holes: “When you stop digging, you are still in a hole.” If you Google Laws of Holes, you might learn something about the rules of golf. But I digress. So, back to the Fourth Law of Holes: “If your partner is digging a hole, don’t try to fill it in.” To understand this, we really need to understand the Third Law of Holes: ”Holes can be good.” Now the Fourth Law of Holes might not apply to a couple of boys playing at the beach, but the lesson is pretty simple. In business, how often do we see marketers misread their customers’ needs and send the wrong message? An internal audit can be useful in determining if everyone is one the same page, working together. Jack Miller – Print Tribe

Le reggae français, une bonne raison de voter à droite | T'as réussi ta vie CONNARD ? DISCLAIMER : l’auteur ne sait pas faire la différence entre reggae/ragga/dub et en a rien à branler, pour lui à part Maiden tout sonne comme de la zumba (y compris certains albums de Maiden, merci Blaze Bayley). Quand j’étais gosse en province on se faisait grave chier ; notre quotidien était rythmé par une petite marée noire de temps en temps sur les côtes du Finistère, la Bretagne se vengeait en nous envoyant Manau Mamatah ou Percubaba et on se revengeait en leur envoyant Tryo ou ce genre de merdes. Personne ne se doutait que s’enclenchait alors une grave escalade de la violence auditive, que ce genre musical damné allait survivre aux premiers rapports sexuels de leur public, qu’en 2017 Tryo remplirait encore des salles ni qu’il était possible d’être chauve aux cheveux longs avec des dreads à 40 ans. Chauves aux cheveux longs dreadeux, un style inspiré à la fois de Didier Barbelivien et de Yanick Noah. Nâaman, le petit prince du reggae dieppois C’est vrai ça, pourquoi ?

Peut-on agir sur l’activité d’autrui ? Les « métiers de la société » Le service : un couplage d’activités La numérisation d’un grand nombre d’activités professionnelles, souvent engagée pour éviter la rémunération du travail, a modifié considérablement la part respective de la production de biens et de la production de services dans l’économie contemporaine, ce qui a eu pour effet paradoxal d’augmenter l’importance des interactions humaines dans un domaine réputé en pointe sur le plan technologique. Produire un service suppose en effet obligatoirement la combinaison au moins deux types d’activité : celle du « producteur » et celle de l’« usager ». Sans l’activité de ce dernier, pas de service, et donc pas de production d’utilités. On estime qu’aujourd’hui en France les métiers de « service » représentent 75 % des emplois. Caractériser ce qu’ils produisent et comment ils le produisent n’en est qu’une question plus vive. Éduquer, diriger ; soigner, communiquer 1. 2. 3. Le soin peut alors être défini comme une intervention sur un régime d’activité. 4. 5. 1. 2.

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