background preloader

Le "drive" séduit une clientèle de jeunes actifs, bien insérés, avec des enfants

Le "drive" séduit une clientèle de jeunes actifs, bien insérés, avec des enfants
Related:  Distribution m-commerce, e-commerce

Découvrez les trois tendances du magasin de... Publié le par J.-B. DUVAL "Dans le cadre de la dématérialisation, nous avons voulu comprendre la valeur ajoutée du magasin pour les clients", explique Thierry Jadot, président de Dentsu Aegis Network. "En contact avec les industriels, on sentait des tendances produit. 1 - Découverte et expérience produit Pour commencer, les clients réclament une expérience d’achat plus gratifiante, plus riche en découverte et en test de nouveaux produits... sans qu’elle soit forcément liée à un achat. 2 - DEs produits personnalisés... quitte à attendre Le deuxième scénario plébiscité, baptisé "l’usine à sur-mesure", a été approuvé à 69,1 %, surtout par les 25/49 ans. 3 - Livraison innovante D’ailleurs, le développement de services de livraison innovants est le troisième point qui séduit un maximum de Français (62,9 %). Infographie: ce qu'attendent les Français du commerce

Le marketing mobile à l'épreuve du ROI Quelles sont cette année les priorités des annonceurs en matière de marketing mobile? L'institut Harris Interactive vient de rendre public les conclusions d'une nouvelle étude réalisée en partenariat avec Azetone et visant à décrypter les enjeux B2B de ce segment marketing. Première indication: près de la moitié (45%) des 224 professionnels du marketing (annonceurs et agences/régies) interrogés déclarent investir dans les différents formats publicitaires mobiles (bannières, interstitiels, pré-rolls, hors search...). La publicité est la première action marketing envisagée, devant les flash ou les QR codes (34%), le CRM mobile (32%), le search mobile (31%) ou les campagnes "mobile to store" (21%). Loin devant les services de second écran, les campagne SMS et les réductions sur mobile qui ne concerne qu'un petit quart des annonceurs. Mises à jour, développements... dans 18% des cas la gestion budgétaire de ces projets est vécue comme une contrainte.

Commerçant: cinq astuces pour mieux vendre Stéphane Plazza a fait connaître le home staging au grand public: l'art de "toiletter" un bien immobilier, en le rendant agréable et "neutre", pour susciter le coup de coeur chez les potentiels acquéreurs. Sur le même modèle, il existe le shop staging pour aider les commerçants à booster leurs ventes : faire en sorte, à travers de subtils ingrédients, que les passants entrent dans le magasin d'abord, et en ressortent après passage en caisse seulement. Les conseils de Bérengère Bouvet, du cabinet Identités Nomades, basés sur les faux-pas les plus fréquemment commis. 1. Allégez votre vitrine Afficher dans sa vitrine le plus de choses possibles, pour montrer l'étendue de son offre. 2. Travaillez l'espace par thème, en délimitant des familles de produits. 3. Il est tendance, de présenter ses produits en hauteur. 4. Un objet sur lequel il y a de la lumière se vend mieux. 5. Tendance "scandinave", "loft industriel", stickers, tatoo, mots écrits sur les murs.

Relation client: trois façons d'allier contact humain et technologie 1. Voyageurs du Monde profile ses clients Accès gratuit à l'espace Affaires à Roissy, coupe-file pour franchir la douane, numéro d'urgence disponible 24h sur 24... Militants du voyage individuel à la carte, Jean-François Rial et ses associés ont créé un tour opérateur qui envoie plus de 50000 voyageurs à travers le monde. Ces petits plus qui font la différence, et qui attirent de plus en plus de clients étrangers (20% en 2013), Voyageurs du Monde les cultive dans son réseau de 15 agences, baptisées Cités du voyage, dans lesquelles près de 180 spécialistes pays sont à l'oeuvre. Pour pousser encore plus loin la personnalisation du service, le voyagiste forme ses conseillers au profilage: cours de psychologie, conduite d'entretien, recherches sur Internet... Voyageurs du Monde dépense 3 à 4% de sa masse salariale en formation. 2. Face au raz-de-marée Amazon, "la librairie indépendante est le réseau physique qui résiste le mieux. 3. Vidéos à voir sur ce thème

E-commerce: les Français ont dépensé 64,9 milliards d'euros sur Internet en 2015 Le commerce en ligne a encore fortement progressé en France en 2015. Et son succès ne semble pas se démentir, à en croire les chiffres publiés jeudi 28 janvier par la fédération de la vente à distance, la Fevad. En 2015, les Français ont dépensé 64,9 milliards d'euros sur internet, un chiffre en hausse de 14,3% sur un an - contre une progression de 11% en 2014 - et "cette croissance du e-commerce à un rythme encore plus fort qu'en 2014 fait taire les craintes d'un essoufflement", a résumé François Momboisse, président de la Fevad. "Cette croissance dépasse nos prévisions; les transactions se sont envolées de 19%, passant à 835 millions, et on pourrait franchir la barre du milliard de transactions en 2016 si le rythme se maintient", a ajouté le délégué général de la Fevad, Marc Lolivier. Les Français ont réalisé en moyenne 23 transactions en ligne sur l'année, pour un montant total de 1.780 euros. Un panier moyen à 78 euros "Le commerce a bien résisté"

Ikea, Conforama, Leroy Merlin… leurs méthodes pour nous vendre plus - 1 Pour contrer la crise et attirer le client, les grandes enseignes d’ameublement ont dû bouleverser leur stratégie et leurs techniques de vente. Lorsqu’on demande aux Français vers quelle enseigne ils se tourneraient s’ils devaient acheter un meuble de salon, ils placent Ikea en tête. Et pour un canapé ? Conforama. Et pour une cuisine ? Ikea. Avec la morosité économique ambiante, cette hiérarchie ne devrait pas changer de sitôt. Alors, pour dissuader les familles d’aller acheter leur table de salle à manger d’occasion sur Leboncoin.fr, les spécialistes doivent redoubler d’efforts. Lire aussi : Conforama donne le tournis avec ses promos à gogo Désormais, 25% de son offre provient de la centrale d’achats de son actionnaire, le sud-africain Steinhoff, numéro 2 mondial du secteur. Cette agressivité commerciale des acteurs historiques s’avère payante. Lire aussi : Ikea cache bien son extrême standardisation Lire aussi : Leroy Merlin dope ses marges avec des produits malins

Les tops et les flops de la franchise La franchise progresse à un rythme supérieur à celui de l'économie française, preuve du dynamisme du commerce organisé. Au 31 décembre 2015, la Fédération française de la franchise (FFF) recensait 1 834 réseaux (contre 1 796 en 2014) soit une augmentation nette de 38 enseignes (solde entre les disparitions et les lancements). Et 69 483 unités franchisées ­ magasins, agences, restaurants... soit une augmentation nette de 1 312 unités par rapport à 2014 (+ 1,9 %). En 2015, l'ensemble des réseaux a réalisé un chiffre d'affaires global de 53,38 milliards d'euros, en augmentation de 3,75 %. Un taux de croissance trois fois supérieur à celui du PIB français en 2015 (+ 1,1 %) ! Pour autant tous les secteurs d'activité ne sont pas en croissance, et au sein même des secteurs, on rencontre des situations diverses. Concurrencé de plein fouet par Internet et tributaire des soldes, le marché de l'habillement-textile en magasins est à la baisse depuis neuf ans. Les inconnues de la consommation

Loi Macron : les 2 articles pour le commerce... Le texte sur l'urbanisme commercial prévu dans Loi Macron compoici comporte trois articles. Pas ordonnances prévues ! Ils peuvent donc faire l'objet d'amendements. Au sommaire, notamment, le fameux pouvoir donné à l'Autorité de la concurrence de revendre des magasins. Loi Macron : Chapitre II - Commerce Article 10 Après l’article L. 752-5 du code de commerce, il est inséré un article L. 752-5-1 ainsi rédigé : "Art. "Les conditions d’application du présent article sont fixées par décret en Conseil d’Etat". Article 11 L’article L. 752-26 du code de commerce est remplacé par les dispositions suivantes : "Art. "La part de marché mentionnée à l’alinéa précédent est évaluée selon le chiffre d’affaires réalisé dans le secteur d’activité et sur la zone de chalandise concernés ou selon les surfaces commerciales exploitées dans la zone de chalandise concernée."

Grande distribution : des prix bas, mais à quel prix ? En novembre 2016, l’Etat a assigné Carrefour pour "pratiques commerciales abusives". Mais quelles sont précisément ces méthodes dénoncées aujourd’hui par le gouvernement ? Ecouter l'émission ici : Des négociations musclées C’est en ce moment (novembre 2016), que commence le traditionnel cycle de négociations qui réunit les industriels et les grandes surfaces. Aujourd'hui, ce n'est plus de la négociation, c'est un diktat. "On vous dit "je veux acheter 3% ou 5% moins cher que l'année dernière", peu importe que les matières premières sur lesquelles vous travaillez augmentent, ou que vous ayez besoin d'augmenter vos investissements industriels. Pour imposer ses exigences, la grande distribution n’hésite pas parfois à recourir à des méthodes particulières : le climat qui règne dans les « boxs de négociations » relève presque de l’intimidation. Chacun joue un rôle, dans les discours, les postures. On est dans un jeu de négociation poussé à l'extrême. "Il n'y a pas forcément d'interdit.

Related: