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Apprentissages formels et informels : de quoi parle-t'on ?

Apprentissages formels et informels : de quoi parle-t'on ?
Intégrer les apprentissages informels comme leviers à part entière de développement des compétences … Fertiliser des « écosystèmes d’apprentissage » … Voilà qui fait rêver, mais en pratique ce n’est pas si simple. Des pistes se dégagent pour une vraie prise en compte – et la facilitation- des apprentissages informels. Voici donc, sur le sujet, un premier billet. De quoi parle t’on ? Dans le langage ordinaire, on parle habituellement d’apprentissage informel lorsqu’il se situe en dehors de la salle de classe, ou de formation. la socialisation (apprentissage tacite, « apprentissage presque naturel des valeurs, attitudes, comportements, savoir-faire et connaissance qui se produit dans la vie quotidienne »),l’apprentissage fortuit (apprentissage non intentionnellement recherché, coproduit d’une autre activité),l’apprentissage autodirigé (projet éducatif entrepris sans l’aide d’un professeur) ». L’axe vertical concerne la détermination des objectifs Un apprentissage peut donc être Related:  Pédagogie numériqueapprentissage

4 stades de perturbation de l’apprentissage traditionnel par les TIC Il existe une bonne variété de modèles théoriques pour situer l’enseignant dans son progrès technopédagogique (SAMR, ASPID, Raby, matrice MIT, etc.). En voici un qui s’intéresse aux élèves. Je suis tombée sur cette infographie diffusée sur Twitter par le site américain TeachTought. En voici une traduction et une adaptation libres : Premier stade : Apprentissage dirigé L’apprenant utilise la technologie de façon dirigée. L’apprenant est dirigé dans le choix et l’utilisation constructiviste de la technologie à des fins d’apprentissage, mais c’est souvent pour accomplir des tâches purement académiques (qui seraient entièrement réalisables sans la technologie). Deuxième stade : Apprentissage encadré L’apprenant accède à de nombreux réseaux, mais nécessite support, encadrement et planification pour en tirer profit au niveau de l’apprentissage. À ce stade, l’apprenant a une certaine capacité à sélectionner la technologie, la plateforme ou même le contenu approprié à son besoin. Qu’en pensez-vous?

Quel rôle pour le groupe en formation à distance Le groupe joue -t’il un rôle dans les apprentissages ? L’apprenant doit s’engager activement dans des résolutions de problèmes – au plus proche de problèmes réels.L’assimilation des savoirs nouveaux se fait à partir des représentations mentales antérieures, ce qui peut demander un pénible travail de déconstruction – reconstruction. Cette assimilation est grandement facilitée par les interactions sein du groupe de pairs. Prendre conscience de ses propres représentations – et de ce qu’elles ne sont pas « universelles »,Prendre conscience du fait que ses représentations initiales ne sont pas adaptées pour résoudre le problèmeAccepter de quitter ses représentations initiales, de transformer son schéma mental, pour en adopter un autre plus pertinent au regard du problème à résoudre. C’est là que le groupe prend tout son rôle : les interactions entre pairs sont plus efficaces que l’écoute d’une personne investie d’une autorité (formateur, manager…). Et la formation à distance ? Le tutorat

Apprentissages informels: quel poids dans le développement des compétences pro ? Dans certaines entreprises, le modèle 70-20-10 est érigé en dogme. Mais qu’en est il réellement ? Et comment bien l’utiliser ? Pourquoi cette « vogue » des apprentissages informels ? Parce que les cycles technologiques et économiques se sont accélérés. Une étude de Bersin, en 2009, indiquait que « 78% des chefs d’entreprise estiment que le taux de renouvellement et la rapidité de circulation de l’information pose un défi de formation majeure à leur organisation ». Robert Kelley, de Carnegie Mellon, a demandé à des « travailleurs du savoir » (knowledge workers) « Quel pourcentage des connaissances dont vous avez besoin pour faire votre travail est emmagasiné dans votre cerveau ? En 1986, la réponse est de 75%En 1997, 18%En 2006, 9% Et aujourd’hui, où en sommes-nous ? Les connaissances que nous utilisons pour notre travail sont embarquées dans les systèmes d’information, et dans le réseau des personnes avec lesquelles nous travaillons. Mais au fait, d’où vient ce modèle ? P.

Multimodale, l’école du 21e siècle! Il suffit de jeter un œil à diverses publications pédagogiques pour constater que les technologies influencent les modèles scolaires et transforment le paysage éducatif. La classe donne une plus large part aux approches collaboratives et multimodales (en présence et à distance). Les systèmes intelligents génèrent l’information en flux, gardent des traces du déroulement des apprentissages et fournissent des rétroactions personnalisées instantanées. Si les activités éducatives bénéficient largement de l’innovation, on ne peut toutefois assimiler l’apprentissage à l’usage des outils qui le soutiennent. En effet, qu’est-ce que la technologie en classe sinon l’incarnation de notre nouvel univers communicationnel et le raffinement de l’outil didactique pour faciliter le rapport au savoir? Avec ce qu’il est maintenant convenu d’appeler L’âge de l’Information, les voies d’accès à la connaissance se sont multipliées et savoir gérer l’information devient une nécessité. L’autoformation Conclusion

10 tendances pédagogiques à surveiller en 2015 En 2014, ce sont probablement les MOOC et la classe inversée qui ont joui de la plus grande visibilité sur le plan du potentiel pédagogique. Quelles sont les tendances pédagogiques dont nous entendrons parler en 2015 et dans les années à venir? Des réponses se trouvent peut-être dans un récent rapport. L’Open University, une institution universitaire britannique dispensant de la formation en ligne, publie depuis 2012 un rapport annuel portant sur les formes de pédagogie innovante. Pour procéder, les auteurs ont d’abord fait une recension des théories, des termes et des paradigmes les plus répandus dans le milieu de l’éducation. Pour en apprendre davantage sur ces pratiques, consultez le rapport, qui définit chacune de ces approches et spécule sur leur impact (élevé, moyen, etc.) ainsi sur la période de déploiement projetée (d’ici 2 à 5 ans, d’ici 1 an, etc.). Bien que disponible seulement en langue anglaise, le rapport est accessible de par sa simplicité et son aspect synthétique.

Accompagnement à distance des apprenants Si le « stage » de formation impliquant le rassemblement d’un groupe restreint (5 à 20 personnes) constitue encore une des formes les plus répandues de l’accès à la formation professionnelle, si les universités s’ingénient encore et toujours à investir dans l’immobilier et la construction de vastes amphis, le développement des formules de formation à distance et hybrides tant initiale que continue préfigure notre futur proche où l’unité de temps et de lieu, le regroupement des apprenants en un espace physique, dit d’apprentissage (en fait, le plus souvent d’enseignement), ne seront qu’une étape remarquable mais révolue de l’évolution des formes éducatives. A cet égard, le nouveau cadre défini par la loi sur la formation professionnelle du 7 mars 2014 constitue une avancée prometteuse. De nombreux facteurs poussent au changement mais je n’en évoquerai ici que deux qui me paraissent les plus puissants. Les besoins de formation sont en constante progression. Proposition 01.

2016- Adultes en formation : cpte rendu intervention Philippe Carré sur l’apprenance L’ Université des Pédagogues est un dispositif de partage de compétences pédagogiques, portée en transverse par l’IFCAM. Elle s’appuie sur des travaux déjà réalisés ou en cours et sur une communauté d’échanges. Elle accueille régulièrement des experts et pairs scientifiques, pédagogues, consultants, praticiens,… L’objectif de ces évènements est de sensibiliser nos collaborateurs sur de multiples aspects pouvant favoriser l’apprentissage et les formations dispensées par l’IFCAM. L’IFCAM dans le cadre de son université des pédagogues a accueilli en novembre 2016 Philippe Carré pour échanger autour de l’apprenance. Après une introduction sur « l’erreur pédagogique fondamentale » qui consiste à penser que l’on peut apprendre quelque chose à quelqu’un – ce qui a suscité de vifs débats – Philippe Carré a repris les conditions pour qu’un adulte apprenne : des motifs d’engagement en formation, à la motivation et à son maintien dans la durée. Carré, P. (2005).

Les 3 secrets des diplômés qui réussissent Adaptation de "The 3 secrets of highly successful graduates"( réalisé par Reid Hoffman, CEO de LinkedIn, que ce ... Adaptation de "The 3 secrets of highly successful graduates"( réalisé par Reid Hoffman, CEO de LinkedIn, que ce dernier m'a autorisée à traduire. Pour en savoir plus sur cette histoire : Statistiques Vues Total des vues Vues sur SlideShare Vues externes Actions J'aime Téléchargements 46 Ajouts 11,791 Plus... Droits d'utilisation © Tous droits réservés New Poster: Explaining SAMR Model Through Google Apps November 27, 2014 Here is another great find today from Google Apps Action. Davis created this excellent visual illustrating how to integrated SAMR model using Google Apps. She made use of two main apps: Google Docs and Google Hangout, and for each of the SAMR levels (substitution, Augmentation, Modification, and Redefinition) she provided an example of a task together with the app to do it. To me, the strength of this work lies in the task samples mentioned here. Substitution: Using new technology for an old taskAugmentation: Using additional new technology for an old taskModification: Using new technology to change and old taskRedefinition: Using new technology to create tasks.

Comment apprenons-nous Le cerveau est l’objet le plus complexe de l’univers connu, et c’est de sa compréhension que dépendra l’avenir de nos technologies futures et singulièrement l’intelligence artificielle et la robotique. A l’Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l’architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Les sciences de l’esprit, sciences cognitives et neurosciences, ont fait des progrès ces dernières années et s’attaquent à des sujets de plus en plus difficiles, a-t-il expliqué en préambule. En neurosciences, on va de la recherche sur la vision à celle des fonctions exécutives. Mais finalement, quelle est la vraie question à se poser sur l’esprit humain ? Comment garder l’information importante Commençons par l’apprentissage. Le rôle des émotions

David KOLB – L’apprentissage par l’expérience | Innovalie David Kolb Je souhaite vous faire part de mon expérience suite à l’analyse des publications d’un auteur découvert durant mes études. J’avais préparé à l’époque un exposé sur David Kolb. Ce dernier a écrit une théorie à propos de l’apprentissage par l’expérience « Experiential Learning ». A travers cette théorie, David Kolb a souhaité mettre en avant le principe que l’être humain apprend par l’expérience. David Kolb explique que l’apprentissage s’effectue par l’expérience. Cycle de style d’apprentissage Le cycle d’apprentissage est formé de 4 étapes : DivergentAssimilateurConvergentAccommodateur Schéma de présentation : Les principaux de caractères de chaque style d’apprentissage sont les suivants et leur définition : Divergent : Désire comprendre le pourquoi d’une situation et/ou d’un fait, aspire à obtenir des informations concrètes et nécessite des informations présentées de manière détaillées et raisonnées. Ces profils ont des implications pédagogiques. WordPress: J’aime chargement…

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