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"L'Institut de recherches", le conte de fée marketing de Lego

"L'Institut de recherches", le conte de fée marketing de Lego
Tout commence presque comme dans un conte de fée. Il était une fois, Charlotte Benjamin, une fillette de 7 ans. Charlotte aimait beaucoup les Lego, mais elle ne s'y retrouvait pas totalement. A tel point qu'elle décida le 25 janvier 2014 d'adresser une lettre à la marque danoise, pour expliquer à quel point chez Lego les personnages féminins sont ennuyeux. Moi Charlotte Benjamin, 7 ans "J'adore les Lego mais je n'aime pas le fait qu'il y ait plus de Lego garçons et presque aucun Lego filles. Résultat, un buzz immédiat et planétaire qui entraîna deux jours plus tard une réaction officielle de Lego. Hasard ou coïncidence, au moment même où Charlotte Benjamin s'exprimait sur ce que devrait être la future stratégie marketing de Lego, la marque planchait sur un kit de construction sélectionné dans le cadre du programme Lego Idées, où les fans de Lego sont invités à participer à la conception des produits à venir. Ce kit, baptisé "l'Institut de recherches" vient de sortir. Related:  marques

Barilla s'active sur l'impression 3D des pâtes Si l’impression 3D vous semble encore folklorique, sachez que Barilla n’est pas du même avis. Le numéro un mondial des pâtes planche activement sur l’impression 3D des fettuccine, penne et autres farfalle. L’impression 3D a le vent en poupe et devrait être, à n’en pas douter, une tendance forte de l’année 2014. Barilla, numéro un mondial des pâtes, y croit dur comme fer (enfin juste ferme sous la dent) et collabore avec TNO, une compagnie à but non lucratif basée à Eindhoven spécialisée dans la recherche appliquée, pour développer des imprimantes capables d’imprimer des pâtes de toutes les formes. Garante d’économies et d’une réduction de l’empreinte carbone (moins de transports), l’impression 3D peut aussi jouer la carte de l’instantanéité. Les restaurants à l’échelle mondiale constituent en effet le coeur de cible que vise Barilla. L’impression 3D dans le secteur agroalimentaire est en devenir.

Qu’est-ce qu’une Image de Marque ? [Episode 3/3] L’image de marque différencie un organisme, un produit ou un service des autres sur le marché, en fournissant un certain nombre de renseignements à son sujet. L’image de marque véhicule une promesse, car elle laisse entendre que l’organisme, le produit ou le service en question a des qualités et des particularités uniques… L’importance de l’image de marque Une image de marque atteint son but quand elle suscite dans l’esprit des gens une association claire entre les caractéristiques de l’organisme, du produit ou du service et une idée de qualité. Le logo Le logo représente de façon graphique et visuelle l’identité et les valeurs fondamentales d’un organisme. L’énoncé de positionnement L’énoncé de positionnement renseigne sur les particularités uniques d’un organisme. Types d’images de Marque Il existe différents types d’images de marque, en voici quelques exemples : Quand le processus commence L’image de marque doit être revue a différent moment de la vie d’une entreprise :

Dans les coulisses du géant du luxe Hermès © Jérôme Galland (Autour de l’atrium central du site de Pantin, les quatre premiers étages sont occupés par les ateliers, le dernier par les administratifs et le marketing) La marque de luxe vient d’agrandir son site de Pantin. Un temple de verre où artisans et managers n’ont qu’un seul culte : celui du produit. « Nous allons assister à une naissance.» Dé­li­ca­tement, l’artisan retourne la peau de crocodile en essayant de ne surtout pas froisser ni marquer le cuir. «C’est un peu périlleux. Un savoir-faire sacralisé. Perpétuer la tradition. La tradition est consciencieusement perpétuée depuis 1880, l’année où Thierry Hermès, le fils du fondateur, a fait cohabiter bureaux et atliers au 24 de la rue du Faubourg- Saint-Honoré, à Paris. Qu’ont-ils à apprendre des ouvriers du luxe, les managers d’Hermès ?

Adidas, Nike, Asics...les équipementiers sont passés à l'ère du high-tech La course aux innovations est sans fin entre Asics, Nike, Adidas et les autres. A ce jeu, les ­français tirent leur épingle du jeu. Mais au fait, leurs technologies sont-elles efficaces ? A Annecy-le-Vieux, au pied du mont Veyrier, Jean-Luc Diard doit jouer à cache-cache lorsqu’il part tester de nouvelles chaussures de running. «Airness, Lafuma, Quechua… il y a plein de concurrents dans la région», explique le président d’Hoka. La PME qu’il a fondée en 2008 est en train de révolutionner la pompe de course avec ses modèles à l’apparence balourde, mais dont l’amorti est deux à trois fois plus épais que la moyenne. Bonne nouvelle ! Bien plus que sur le design, la bataille entre Asics et consorts se concentre sur la qualité de l’amorti. Pour garantir ce fameux amorti, les fabricants utilisent des semelles composées de caoutchoucs spéciaux, de type EVA (éthylène-acétate de vinyle). Adidas développe de son côté la technologie Boost depuis 2013, en partenariat avec le géant de la chimie BASF.

Ce que la marque France représente pour les étrangers Atlantico : Alors que le ministre du Redressement productif en fait un enjeux majeur de promotion, que représente aux yeux des consommateurs mondiaux le fait pour un produit d'être fabriqué en France ? Hormis le luxe, d'autres produits jouissent d'une image marketing positive grâce au "made in France" ? Éric Fournier : C’est une question qui me surprend. Je rappelle en effet qu’il y a encore quatre ou cinq ans, la France était le troisième exportateur mondial. Contrairement à l’idée véhiculée, nous sommes dans un pays exportateur même si le classement à légèrement baissé ces dernières années. Ensuite, concernant l’impact du « made in France », il faut savoir qu’il n’y a que deux pays qui ont vraiment communiqué sur l’origine nationale de leur production à l’exportation : le Japon et les Etats-Unis. Là où le « made in France » a peut-être réellement un sens, c’est dans le secteur agricole et agro-alimentaire, où les standards de qualité sont reconnus.

Découvrez l’atelier Fromagerie Bel - Vache qui rit " Marques mortelles ou marketeurs fatigués, comment entretenir la force des marques ?" - ADN de marque Vache qui rit, stratégie marketing Vache qui rit, communication entreprise - l’atelier Fromagerie Bel Ce que nous apprend l’histoire en matière de marques 16,4 millions de marques ont été déposées dans le monde en 2007. « C’est effrayant… », souligne Eric Cothenet. Au « cimetière des marques », il y a celles que l’on a sacrifiées. C’est le cas par exemple de Elf, au profit de Total, ou de marques réalignées pour répondre à une stratégie internationale, comme Wanadoo disparue pour Orange, Raider pour Twix ou plus récemment AGF au profit d’Allianz… D’autres, comme Prisunic passée sous enseigne Monoprix ou L’Alsacienne croquée par Lu, ont pâti de la rationalisation du portefeuille des marques. Certaines marques connaissent une seconde vie grâce à une cure de jouvence. Ainsi, la marque de cosmétique Nuxe, née il y a déjà 50 ans, connaît actuellement une nouvelle jeunesse, portée par le boom des produits nature. Il existe aussi les marques « caméléon »qui ont su adapter leur promesse. Ces marques ont décidé de modifier leur offre principale, sans changer de nom pour autant. Un succès mondial

La valse des marques : Ombrelle, produit et gamme L’Ombrelle Une marque est dite ombrelle lorsque plusieurs produits appartenant à des marchés différents sont commercialisés sous son nom. Le but est de faire profiter de la notoriété et de l’image de la marque ombrelle à d’autres produits. Le lancement de nouveaux produits est également simplifié. Toutefois, chaque produit possède sa propre stratégie marketing et communique à sa façon. La différence entre la marque-caution et la marque ombrelle est fine. Tout comme la marque-caution, la marque ombrelle s’expose à des risques de dilution avec une perte de son sens initial au regard des consommateurs à force de couvrir des produits trop différents. L’exemple d’EVIAN sera parfait pour illustrer ce concept de marque ombrelle : De la classique bouteille d’eau minérale, EVIAN commercialise également sous la marque Evian Affinity des cosmétiques, jusqu’à l’autobronzant ! La classique Marque-Produit La deuxième limite est l’évolution constante des tendances et du besoin des consommateurs. J'aime :

STRATÉGIE D’EXTENSION DE LA GAMME : COMMENT MONTBLANC S’EST IMPOSE COMME UNE MARQUE GLOBALE Tout le monde connaît Montblanc à cause du stylo, Mais la plus grande force de la marque pouvait également devenir sa plus grande faiblesse. Richemont (l’entreprise propriétaire de la marque Monblanc) est au coeur des problématiques du luxe : numéro deux mondial du secteur, il est également propriétaire de Cartier, Van Cleef, Lancel, etc. Montblanc risquait de s’étioler. C’est le revers de la médaille de l’identification d’une marque à un produit... Le risque devenait d’autant plus fort que le fameux stylo en résine noire a commencé à s’essouffler commercialement. Les années 1980 avaient fait sa fortune. Les ventes s’effondraient. Enfin, l’entreprise Montblanc souffre des défauts de sa qualité : son propriétaire n’en possède généralement qu’un et le renouvelle rarement ! La solution a été la diversification. Lorsqu’il a fallu déterminer comment compléter la gamme, ce sont les montres et les bijoux qui ont été sélectionnés dans un premier temps. Il fallait réinventer la gamme.

Il a inventé le vinyle 2.0 - 1 Misant sur la soif de qualité d’un public de plus en plus audiophile, Laurent villaume, pdg de Qol, a convaincu Universal d’adopter le format Blu-ray pour ses CD. Laurent Villaume a eu un choc terrible il y a deux ans quand sa fille a branché son lecteur MP3 sur le home cinéma familial. «Le son était si mauvais que j’ai frôlé la crise cardiaque», plaisante-t-il au­jourd’hui. Son équipement était-il en train de rendre l’âme ? Pour en avoir le cœur net, il avait alors lancé un film en Blu-ray : le son était par­fait. Le format MP3, ultracompres­sé, était donc bien en cause. Abonnez vous à l'édition digitale

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