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Start.me Une page de demarrage personnalisee

Start.me Une page de demarrage personnalisee
Start.me est un service en ligne qui permet de construire de manière simple et intuitive une page de démarrage personnalisée pour votre navigateur. Start.me va vous permettre d’organiser simplement tous vos sites favoris, vos flux Rss et vos timelines des réseaux sociaux sur une seule et même page de démarrage. A l’ouverture de votre navigateur quel que soit l’ordinateur que vous utilisez, vous aurez accès à l’ensemble de vos ressources et de votre système informationnel. Start.me ressemble à s’y méprendre au regretté iGoogle ou encore à Netvibes. Le système est simple et gratuit. Le service Start.me est multiplateforme. Dans l’univers de l’éducation, Start.me peut avoir une multitude d’usages. Start.me offre une version éducation gratuite qui permet de bénéficier des options premium payantes pour les autres utilisateurs comme l’archivage ou encore le retrait de toute publicité. Lien: Start.me Related:  mfcoen

Five reasons your school’s NOT transforming So, maybe you’re on Twitter, your colleagues are on Twitter, you’re excited about ideas around new learning and your Principal might mention these themes in staff meetings. So why’s no real change happening in your school? All this 21st century learning talk is happening but you’re still performing standardised tests, teachers are still teaching from the front of class and most are still predominantly isolated in their own classrooms. There’s probably a small group of “new learning” types who you know are trying the “Project-based-design-thinking-SAMR” type stuff but the school as a whole isn’t following their lead. I recently came across a talk by Michael Fullan on making change. Here are the 5 videos: Inspired by these talks, here are my … Five reasons your school’s NOT transforming Your Principal is NOT seen by the teachers as an equal participant in learning. Adapt or loose your students Like this: Like Loading... Related Teaching Math on an iPad . 1. In "21C Learning"

Beedeez: créer des micro leçons accessibles sur mobiles Autant je ne l’utilise pas en classe, autant je suis adepte du rapid learning. Je consomme pas mal d’applications plus ou moins ludiques permettant d’acquérir des connaissances rapidement. Beedeez joue sur ce créneau en proposant en service de création de micro cours basés sur très peu de notions et surtout un système de consultation permettant d’adapter le contenu au temps disponible de l’apprenant. je reviendrais rapidement sur les applications qui ne sont là que pour consulter. Aujourd’hui on va s’attarder sur le système de création de cours. Bon, il faut bien dire que malheureusement, le système est un peu limité mais il fait bien ce pour quoi il est prévu. En gros l’interface se limite à des champs à remplir permettant de fournir le contenu attendu. Pour la création des quiz, cela ne décontenancera pas les habitués des différentes plateformes du genre. on saisit la question et ensuite on entre les différentes réponses possible en plaçant la bonne réponse à l’endroit approprié.

L'homme qui voulait classer le monde Prix du Parlement de la Communauté française de Belgique 2007 Bien peu de gens connaissent aujourd’hui le nom de Paul Otlet (1868-1944), ainsi que les mots de Palais Mondial, de Mundaneum ou de Cité Mondiale. C’est comme si cette fascinante utopie avait disparu sans laisser de traces. L’aventure dura pourtant plus d’un demi-siècle, mobilisant des énergies considérables et suscitant le concours de personnalités prestigieuses. Prolongement des rêves encyclopédiques des XVIIIe et XIXe siècles, aux accents parfois grandioses et parfois dérisoires, l’aventure du Belge Paul Otlet touche à l’histoire du livre et des bibliothèques comme à celles des institutions internationales et du mouvement pacifiste. Dans cette passionnante biographie, Françoise Levie retrace l’histoire d’une utopie qui aurait pu réussir, d’une grande intuition qui finit par se changer en obsession, d’un rêve de Paix universelle qui bascula dans le délire. Un précurseur d’Internet et de Wikipedia Note de l’auteur C. Archimag

Au delà de Google : trouver réponses aux questions Certaines questions peuvent nous tarauder l’esprit pendant des lustres sans que nous trouvions réponse satisfaisante. Passion ? Lubie ? Idée incongrue ? Qui pourra nous orienter intelligemment ? Au premier niveau : des machines Aussi puissants soient les algorithmes et les processeurs, les Watson, Siri, Wolfram, Google et autres systèmes d’intelligence artificielle et d’apprentissage profond, il arrive que la réponse à une question ne soit pas établie et ne puisse qu’être le fruit d’un échange, d’une discussion. Les machines travaillent à partir de ce qu’elles ont. De là à comprendre le non-dit d’une question, il est préférable de passer au second niveau Au second niveau : les forums Des dizaines de sites spécialisés permettent de poser des questions auxquelles la communauté des usagers répondra; en santé, en sciences, en bricolage, en consommation, etc. Au troisième niveau : les rencontres Au delà de la recherche, la formation Illustration : sakkmesterke - ShutterStock Références

Mais c’est quoi le coding à l’école Programmation, codage ou encore coding à l’école : on en parle beaucoup mais le concept reste flou. Le pourquoi, le comment : parlons-en. Comme la grande majorité des enseignants, je n’ai pas étudié la programmation dans mon parcours scolaire, or depuis plusieurs mois (voire années) on entend parler d’intégrer l’apprentissage du codage et de la programmation informatique à l’école. Qu’est-ce que c’est ? Il y a quelques jours, je lisais un article sur un site technophile. Le coding à l’école ce n’a, en aucun cas, l’apprentissage d’un langage de programmation (langage C, Python, Swift) comme objectif final. On pourrait aussi se dire : encore une nouvelle matière ? Le coding, c’est tout simplement un travail de logique, de prévision et d’anticipation. Pourquoi ? On le dit souvent, mais la majeure partie des métiers que feront nos élèves n’existent pas encore. Comment ? Alors comment ? Le possibilités n’ont de limites que l’imagination des enseignants et des élèves. Conclusion J'aime :

Paul Otlet Paul OTLET L'homme qui voulait classer le monde Paul Otlet a beaucoup écrit (en particulier à chaque moment décisif de sa vie, la mort de son père, de son fils, victime de la guerre…), beaucoup créé et beaucoup agi, poussé toujours par le même élan d’humanisme et de partage.Sa vie entière est menée par une espérance : permettre aux hommes de mieux se connaître, de ne plus avoir peur les uns des autres et donc de vivre en paix. Le document joue un rôle déterminant pour ce Pacifiste. Par ailleurs, en mettant en avant l’idée de réseau et de coopération internationale entre bibliothécaires et bibliothèques, il œuvre, avec ses amis, en précurseur et en visionnaire.Aux professionnels de l’information, il laisse en héritage le Traité de documentation : le livre sur le livre : théorie et pratique [1] qui synthétise la somme des savoirs fondamentaux nécessaires pour comprendre l’essence de la documentation. Une biographie, 1882 : Il a 14 ans et publie l’Ile du Levant. 1888 : L’Afrique aux Noirs.

Dyslexie : l'importance de la mise en page Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le Dyslexie : l'importance de la mise en page Les dyslexiques peinent à analyser les lettres, les sons et à comprendre les textes qu'ils lisent. Chez les personnes dyslexiques, les neurones ne parviennent pas à distinguer des suites de lettres qui se ressemblent. Pour aider le lecteur dyslexique, la police du texte doit être la plus simple possible. Des polices pour dyslexiques fondées sur le même principe sont disponibles dans le commerce et sur les téléphones portables. En 2012, des chercheurs néerlandais ont évalué l'efficacité d'une police pour dyslexiques vendue dans le commerce. 70% des utilisateurs déclaraient faire moins d'erreurs en lisant. En savoir plus Sur Allodocteurs.fr :

Un horizon à 5 ans pour l’enseignement supérieur Educause est une association américaine qui cherche à alimenter une vision prospective de l’enseignement supérieur. Elle produit notamment en association avec NMC une série d’“Horizon Reports” sur différentes facettes de l’enseignement au sens large (y sont inclus les bibliothèques et les musées ce qui en soi est une bonne chose). Je viens de lire avec intérêt mais difficulté le rapport sur l’enseignement supérieur. Intérêt, car le dossier est très documenté et s’appuie sur une large base d’informations et sur un travail d’expertise semble-t-il très collaboratif, qui permet de faire émerger des éléments clés. Intérêt car il met en évidence une évolution réelle des questionnements dans ce type de document autour de l’innovation dans l’enseignement supérieur. Le rapport est ainsi structuré autour de challenges “solubles”, “difficiles” ou “mal compris”. Six tendances sont à impact à long terme (5 ans ou plus) , moyen terme (3 à 5 ans) ou court terme (1 à 2 ans). En bonus, une infogr

Ma présentation au Sommet iPad en éducation 2015 : le savoir-publier Sommet iPad en éducation 2015, Montréal QC (Sur Twitter, suivre #ipad15) Le savoir-publier, élément essentiel de l’école faite autrement… Résumé : L’émergence d’initiatives technopédagogiques est un signe de transformation. Au-delà d’une substitution d’outils traditionnels pour des outils numériques, c’est une réflexion et un passage à l’action qui doivent accompagner toute initiative. En actualisant les finalités de l’éducation, les rôles se transforment. L’accès au numérique via divers outils, les applications performantes, de pair avec ces compétences transdisciplinaires, amènent à revoir les diverses formes de littératies, notamment numériques. Dans un monde où la culture de l’écran-image interpelle nos sens, des questions importantes se posent : Comment le savoir-publier favorise-t-il les compétences de communication tout comme la créativité, pour le bénéfice des apprenants ? C’est ce que j’appelle prendre le « beau risque ». Les jeunes nous attendent de l’autre côté ! J'aime :

Un Belge sur quatre n'effectue jamais de sauvegarde Les Belges ne semblent guère trop se soucier de leurs données personnelles sur leur ordinateur. Environ un sur quatre répond en effet ne jamais effectuer de sauvegardes (backups) et ce, alors que 92 pour cent jugent cela important. Quoi de plus logique donc que de cette enquête, il ressort que pas moins de 46 pour cent des personnes interrogées ont déjà perdu des données, et un Belge sur dix en a même perdu plus d'une fois. Au niveau du backup des smartphones, Merak évoque également des "résultats inquiétants". Six répondants sur dix indiquent ne pas savoir comment effectuer un backup de leur smartphone. "Le risque d'égarer un GSM ou un smartphone est nettement plus grand que de perdre un ordinateur portable ou de bureau. Il n'y a pas que les particuliers qui ne se préoccupent pas assez de leurs données, les entreprises aussi, apprend-on.

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