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C'est pas sorcier -Petra : une cité surgie en plein désert

C'est pas sorcier -Petra : une cité surgie en plein désert

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Les émeutes répertoriées de la fin XVe au début XIXe – Actualité du XIXe siècle La base de données HiSCoD (Historical Social Conflict Database), réalisée par Cédric Chambru et Paul Maneuvrier-Hervieu, a pour objectif de mettre à disposition de la communauté scientifique, et du grand public, des informations sur les phénomènes contestataires, de la fin du Moyen Âge au XIXe siècle. Au total, près de 10 000 événements contestataires sont renseignés L’outil cartographique permet de retrouver les lieux où des émeutes sont survenues et d’accéder aux fiches individuelles contenant la description de l’événement. Dans sa forme actuelle, la base de données regroupe les résultats issus de plusieurs enquêtes sur les actes rébellionnaires survenus en France du XVIIe au début du XIXe siècle. La première est celle menée par Jean Nicolas et ses collaborateurs dans le cadre de la publication de son ouvrage La rébellion française. Mouvements populaires et conscience sociale (1661–1789) qui a fait l’objet d’un travail d’harmonisation et de mise à jour réalisé par Cédric Chambru.

Découverte fantastique:70 livres de métal trouvés en Jordanie pourraient changer l’histoire biblique Les experts sont divisés dans l’opinion quant à leur authenticité, mais disent que vérifiée comme véritable allait devenir l’une des découvertes les plus importantes pour rivaliser en importance avec la Mer Morte en 1947. Aucun n’est plus grand que la taille des cartes de crédit ,ce sont des images, des symboles et des mots qui semblent se référer au Messie et, éventuellement, à la crucifixion et à la résurrection. En outre, certains des livres sont scellés, suscitant des doutes quant à savoir si les universitaires peuvent affirmer effectivement qu’elle est la collection perdue de manuscrits mentionnés dans le Livre de l’Apocalypse dans la Bible. Les livres ont été découverts il y a cinq ans dans une grotte située dans une partie reculée de la Jordanie où il est connu que les réfugiés chrétiens ont fui à cet endroit, après la chute de Jérusalem en 70 AD .Des documents importants de la même période ont déjà été découverts dans la région. «Quand j’ai vu cela, j’ai été choqué,» dit-il.

L’événement de Toungouska aurait été déclenché par un astéroïde qui a rebondi dans l’espace Un éclair bleu parcourant le ciel. Puis une puissante explosion. C'est ainsi qu'une poignée de témoins décrit l'événement de Toungouska. Entre histoire et mémoire, l’éternel conflit des interprétations Il est usuel de définir la mémoire comme étant la faculté de conserver des traces du passé et de pouvoir s’y référer activement en fonction des situations présentes. Mais très souvent, les discours identitaires, empêchent une lecture objective des événements historiques. Récemment, le « rapport Stora » a renouvelé le débat ancien, mais toujours renouvelé, autour des liens existants entre la mémoire historique et l’histoire savante. Recenser, rassembler, mettre en ordre étaient les maîtres-mots de son rapport. Mais face à ce vif intérêt pour la mémoire, d’autres voix s’élèvent pour mettre en garde contre l’instrumentalisation de ce qui reste vivant de la « mémoire historique » au service de la politique. Devoir de mémoire

comme à Nazca, des centaines de géoglyphes visibles du ciel Ces structures s'étendent de la Syrie à l'Arabie saoudite, peuvent être vu en hauteur mais pas du sol, et sont quasiment inconnues du grand public. Il s'agit de la version du Moyen-Orient des lignes de Nazca, des anciens géoglyphes ou dessins qui couvrent les déserts du sud du Pérou. Des roues de pierre par centaines. Grâce à la technologie des nouveaux satellites cartographes et d'un programme de photographie aérienne en Jordanie, les chercheurs en ont découvert un grand nombre comme jamais auparavant. Aurores boréales : mythes et légendes - Le Magazine Grands Espaces Les aurores boréales ont un certain pouvoir de fascination. Si aujourd’hui la science sait expliquer ce phénomène, les anciens les associaient à des histoires, mythes ou légendes. Partons à leur découverte ! Une aurore boréale, c’est quoi ?

Babylone Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Babylone occupe une place à part en raison du mythe qu'elle est progressivement devenue après son déclin et son abandon qui a lieu dans les premiers siècles de notre ère. Ce mythe est porté par plusieurs récits bibliques et également par ceux des auteurs gréco-romains qui l'ont décrite et ont ainsi assuré une longue postérité à cette ville, mais souvent sous un jour négatif. Son site, dont l'emplacement n'a jamais été oublié, n'a fait l'objet de fouilles importantes qu'au début du XXe siècle sous la direction de l'archéologue allemand Robert Koldewey, qui a exhumé ses monuments principaux. Depuis, l'importante documentation archéologique et épigraphique mise au jour dans la ville, complétée par des informations provenant d'autres sites antiques ayant eu un rapport avec Babylone, a permis de donner une représentation plus précise de l'ancienne ville, au-delà des mythes. La redécouverte de Babylone[modifier | modifier le code]

L’Atlantide de Platon expliquée scientifiquement - Wikisource On a beaucoup écrit sur l’Atlantide dont, suivant l’Encyclopédie de M. Léon Rénier, il est déjà question en deux endroits de l’Odyssée [1]. Hésiode parle des Atlantes dans sa Théogonie ; Euripide s’en occupe sur le théâtre d’Athènes. Solon a écrit leur histoire d’après la tradition à lui enseignée par un vieux prêtre de Sais (Loc. cit.). Zabel Essayan, vivre et écrire la Catastrophe Le hasard a voulu que partout où je passais, le peuple arménien se trouvait au paroxysme de ses angoisses, de ses révoltes, de ses luttes. Zabel Essayan Envoyée à Adana pour s’occuper des orphelins et des femmes rescapés en 1909, Zabel Essayan publie en 1911 Dans les Ruines, un des témoignages les plus poignants sur les atrocités commises à l’égard des Arméniens d’Adana et de ses environs. Recherchée lors de la rafle du 24 avril 1915, elle y échappe de justesse et parvient à fuir l’Empire ottoman. On la suit de Bakou à Tiflis, de la Bulgarie à l'Égypte, d'Erevan à la France, toujours consciente de l’importance de faire connaître les atrocités commises envers son peuple. Elle consacre alors plusieurs années de sa vie à collecter et traduire les témoignages de survivants, à réunir des preuves, à créer de futures sources et à donner des conférences.

Les Sumériens Ce qui caractérise l'organisation politique sumérienne, c'est son organisation 'à la grecque'. En effet, tout comme beaucoup plus tard la Grèce antique, le pays de Sumer était subdivisé en zones d'influence se structurant autour de quelques villes-phares, telles que Ur, Eridu, Lagash, etc...Ainsi, la société sumérienne reflétait une organisation où les villages se concentraient autour de villes plus grandes. Ces regroupements constituaient des zones d'influence ou cités-Etats. Chacune de ces villes possédait sa propre ziggourat. Celle-ci contenait des administrations gouvernementales, ainsi qu'un temple. Ce dernier se situait au dernier étage, c'est à dire sur la plus haute plate-forme de la ziggourat.En règle générale, ces villes étaient dirigées par un conseil de sénateurs ou de soldats.

Mythes et Légendes des Géants et des souterrains Hyperboréens À leur grande surprise, ils ont trouvé une pierre tombale qui n’était certainement pas faite de roche commune. Les géologues ont prélevé un échantillon et les résultats de laboratoire ont révélé que les composants de la pierre tombale comprenaient 55% de poussière d’or 50 carats, 45% de granit . En outre, l’analyse a révélé que la roche composite avait été faite en utilisant un type de technologie inconnue aujourd’hui. La galerie hyperboréenne RoumaineConnu sous le nom de « The Hyperborean Gallery » ou « Gallery 13 », le lieu de cette découverte étonnant est situé sous le village de Cornea.

La Guadeloupe, une image au service de la colonisation Date de publication : Février 2018 Chargée d'études documentaires à la DAC Guadeloupe, Conservatrice déléguée des antiquités et objets d'art de la Guadeloupe Lien copié Contexte historique La colonisation de la Guadeloupe ISHTAR Ishtar est la personnalité féminine la plus importante du panthéon assyro-babylonien, sinon dans les hiérarchies syncrétiques artificiellement dressées par les scribes, du moins dans la réalité des pratiques et de la sensibilité religieuses des Mésopotamiens : c'est qu'elle est à la fois l'amante passionnée ou consolatrice et la guerrière qui se plaît aux massacres, au point que ce nom propre finit par signifier simplement « déesse ». Ishtar peut bien n'avoir pas été originellement le contretype sémitique de la sumérienne Inanna, mais, devant des données obscures et confuses, on peut tenir ces deux figures divines pour identiques ; les Mésopotamiens eux-mêmes leur attribuèrent le même idéogramme : la moitié d'une porte en roseau, ouverture (encore traditionnelle en Iraq) de ces halles de roseaux tressés où l'on mettait à l'abri les dattes et les produits des laiteries.

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