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Comprendre les origines de la guerre à Gaza en 5 minutes - vidéo dailymotion

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L’ONU et les Palestiniens : de l’ambiguïté à l’impuissance 1 Le « mandat britannique sur la Palestine » a été institué par la Société des Nations au début du 20(...) 2 L’Empire ottoman, qui avait tenté de se redresser économiquement au milieu du 19e siècle par des ré (...) 1L’origine de la question de la Palestine prend sa source dans la mise en place des mandats1 créés par la Société des Nations (SDN) à la suite du démantèlement de l’Empire ottoman2 et de son partage en zones d’influences entre la France et la Grande-Bretagne. 3 La déclaration Balfour est une lettre ouverte présentée par Arthur Balfour, ministre des Affaires é (...) 2Si les événements qui ont précédé, et notamment la décision du premier congrès sioniste à Bâle en 1897 d’établir un foyer national juif en Palestine, ont été les bases du projet, la déclaration Balfour de 19173 a permis au mouvement sioniste d’obtenir l’appui dont il avait besoin pour que la présence juive en Palestine soit un droit et non une tolérance. 5Ainsi naît la question de la Palestine. La naissance de l’UNRWA

La Nakba, la "grande catastrophe" du peuple palestinien Une "grande marche du retour" exige chaque année le droit au retour des réfugiés palestiniens. Elle est organisée entre le 30 mars et le 15 mai, jour de la "Nakba", la grande "catastrophe" en arabe. Il y a 70 ans, des centaines de milliers de Palestiniens étaient expulsés de leurs terres au lendemain de la proclamation de l'Etat d'Israël, le 14 mai 1948. Retour sur cette page de l'Histoire, à l'origine du conflit israélo-palestinien. "Une guerre d'expulsion des Palestiniens" "La Nakba est le nom qu’ont donné les Palestiniens au fait d’avoir été expulsés en très grand nombre, 800 000 environ, de leurs foyers, durant la guerre qui commence avec le plan de partage, le 29 novembre 1947, et qui finit à l’été 1949 avec les armistices israélo-arabes", définit Dominique Vidal, journaliste et historien, spécialiste du conflit israélo-palestinien. Diffusion de rumeurs de maladies pour effrayer les Arabes L'exode devient massif après la déclaration d'indépendance d'Israël du 14 mai Écouter 39 sec

Le plan de paix de Trump au Proche-Orient, alignement sans précédent sur les exigences d’Israël Les applaudissements et les vivats n’ont cessé de crépiter, mardi 28 janvier, dans l’East Room de la Maison Blanche, où Donald Trump présentait sa « vision » pour une « paix » israélo-palestinienne, au côté du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou. Un plan « gagnant-gagnant », a-t-il assuré. Le silence ne s’est fait que lorsque le président des Etats-Unis a précisé qu’il devait faire « beaucoup pour les Palestiniens, ou ce serait injuste », après avoir énuméré tous les gestes accomplis à l’égard d’Israël depuis son arrivée à la Maison Blanche. L’asymétrie est pourtant éclatante. Officiellement, le plan présenté mardi s’inscrit dans le cadre de la solution à deux Etats soutenue par les Nations unies : la création d’une Palestine au côté d’Israël. Les offrandes américaines sont massives et sans précédent. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les Palestiniens se sentent humiliés par le plan de Trump au Proche-Orient

Il y a 10 ans : l’initiative de paix de la Ligue des Etats arabes (mars 2002) Des négociations sur fond de vives tensions La difficulté à mettre en œuvre les accords d’Oslo (Oslo 1 et Oslo II) et l’échec de la rencontre tripartite entre le président américain Clinton, le président de l’Autorité palestinienne Yasser Arafat et le Premier ministre israélien Ehoud Barak en juillet 2000 à Camp David, aux Etats-Unis, alimentent l’impression que les perspectives du processus de paix sont définitivement oubliées. L’espoir suscité par ce processus de paix est dorénavant remplacé par la frustration. La majorité des Palestiniens ne constate aucune forme de retrait israélien, ni de base d’un futur Etat palestinien indépendant alors que la politique israélienne de colonisation se poursuit. L’Autorité palestinienne est également critiquée, étant considérée comme impuissante et corrompue. Alors que la tension est à son comble tout au long de l’année 2000, Ariel Sharon, chef du Likoud, se rend le 28 septembre sur l’Esplanade des Mosquées à Jérusalem.

La colonisation a tué Oslo, par Isabelle Avran & Philippe Rekacewicz (Le Monde diplomatique, 2003) Proche-Orient et Afrique du Nord, une zone inflammable Si les accords d’Oslo, en 1993, avaient soulevé des grands espérances tant en Palestine qu’en Israël, leur échec a plongé les deux peuples dans une spirale sanglante. Cette faillite tient à de nombreuses causes, mais avant tout à la poursuite de la colonisation. par Isabelle Avran & Philippe Rekacewicz Négociée à Oslo et signée à Washington le 13 septembre 1993, la « Déclaration de principes sur les arrangements intérimaires d’"auto-gouvernement” » constitue le premier accord entre Israël et l’Organisation de libération de la Palestine. Un territoire morcelé Signé le 4 mai 1994, l’accord du Caire, dit « Oslo I », prévoit un statut d’autonomie pour la région de Jéricho en Cisjordanie et pour 60 % de la bande de Gaza et y instaure une Autorité nationale palestinienne (ANP). Taille de l’article complet : 842 mots. Isabelle Avran & Philippe Rekacewicz Auteure de : Israël Palestine.

Parti baas - Les clés du MO La création et l’idéologie du parti Michel Aflak nait en 1912 dans une famille chrétienne orthodoxe de Damas. En 1928, il s’installe à Paris et est étudiant en histoire à la Sorbonne. Dans le contexte troublé de la cession du sandjak syrien d’Alexandrette à la Turquie le 23 juin 1939 et de la montée des nationalismes en Syrie, au Liban et en Palestine liés aux présences mandataires françaises et britanniques, Aflak et Bitar fondent en 1939 un cercle de réflexion arabe appelé la Renaissance arabe. L’idéologie du Baas est donc la réalisation de l’unité arabe, par la suppression des frontières, permettant la mise en commun des ressources de chaque pays. Le Baas au pouvoir Le parti Baas, d’origine syrienne où il reste prépondérant, se développe essentiellement en Irak à la faveur de la révolution irakienne de 1958.

Intifada (1987-1991) Contexte historique A la suite de la guerre des six jours de 1967, Israël occupe la Cisjordanie et la Bande de Gaza. Ces deux territoires ne sont plus sous la tutelle arabe et se trouvent sous le contrôle israélien. Le 20 août 1967, le Fatah, mouvement de Yasser Arafat, décide de mener la résistance palestinienne à l’intérieur de ces deux territoires. Cette décision provoque la réaction d’Israël, qui arrête plus de 10 000 activistes, mais les actes de résistance se poursuivent tant dans les Territoires occupés qu’en Israël. Plusieurs mouvements palestiniens y participent : le Fatah, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) et le front démocratique de libération de la Palestine (FDLP). Sur le plan territorial, Israël contrôle en 1987 environ 52% des terres en Cisjordanie et 11% dans la Bande de Gaza [1]. Dans ce contexte d’occupation israélienne et de volonté de résistance éclate l’intifada Déclenchement et déroulement de l’intifada Les conséquences de l’intifada

L'article à lire pour comprendre le projet d'annexion d'une partie de la Cisjordanie par Israël Ce projet prévoit l'annexion des colonies juives en Cisjordanie, de la vallée du Jourdain et la création d'un Etat palestinien sur un territoire réduit. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, doit préciser sa stratégie d'application à partir de ce mercredi. Le compte à rebours est enclenché. Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, doit se prononcer à partir de mercredi 1er juillet sur la mise en œuvre du "plan de paix" pour le Proche-Orient présenté fin janvier par l'administration de Donald Trump. Ce plan très contesté prévoit, entre autres, l'annexion par Israël d'une partie de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé par l'Etat hébreu depuis 1967. Les Palestiniens rejettent en bloc ce projet. 1Que prévoit ce plan d'annexion ? This is what a future State of Palestine can look like, with a capital in parts of East Jerusalem. pic.twitter.com/39vw3pPrAL — Donald J. 2Quel est le rôle des Etats-Unis dans ce projet ? Pourquoi de tels engagements ?

Conférence de Camp David Après un moment d’embarras, l’initiative de Sadate est saluée par la diplomatie américaine, et le président Carter décide d’accompagner l’Egypte et Israël dans leur volonté de paix. Mais cette paix ne se fait pas sans heurts, car le Premier ministre israélien Menahem Begin bute sur la question de la reconnaissance des droits des Palestiniens. Il faut toute la persuasion du président Carter pour faire aboutir la paix israélo-égyptienne. Celle-ci se fait en plusieurs étapes. Du 14 au 22 décembre 1977, une conférence se déroule au Caire, réunissant des représentants égyptiens, israéliens et américains. Le président Carter convie alors Sadate et Begin à Camp David, résidence d’été des présidents américains, du 5 au 17 septembre 1978. Du côté arabe, les réactions sont vives. A la suite des accords de Camp David, la signature de la paix entre Israël et l’Egypte doit s’effectuer dans un délai de trois mois.

Lumni - La guerre des Six Jours Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Les APIs permettent de charger des scripts : géolocalisation, moteurs de recherche, traductions, ... Services visant à afficher du contenu web. Histoire des relations entre l’Egypte et Israël, la « paix froide » (2/2) : Le long chemin vers la paix sous Sadate et Moubarak (1970-2011) Sous la présidence de Sadate (1970-1981) Anouar al-Sadate arrive au pouvoir en septembre 1970. Contrairement à son prédécesseur Nasser, il estime que des négociations avec Israël sont envisageables. Guerre de 1973 ou guerre du Kippour et accords de 1974-1975 Le 6 octobre, l’Egypte et la Syrie attaquent Israël (voir guerre du Kippour). Discours de Sadate à la Knesset le 19 novembre 1977 et conséquences régionales Le 9 novembre 1977, Sadate prononce un discours qui surprend le Parlement égyptien : il se déclare prêt à se rendre en Israël afin de parvenir à la paix. La préparation de Camp David Sadate a un objectif principal lors des négociations : récupérer le Sinaï occupé par Israël. Les accords de Camp David Le 17 septembre 1978, les trois Etats signent les accords de Camp David. En novembre 1978, à la suite de camp David, tous les pays arabes rompent leurs relations diplomatiques avec l’Egypte, sauf le Soudan et le sultanat d’Oman. Normalisation de façade Entre tension et détente

Guerre du Kippour (6 octobre-16 octobre 1973) Les forces égyptiennes franchissent le canal et entrent dans le Sinaï sur 180 km. Quant aux forces syriennes, elles reprennent rapidement le Mont Hermon et Kuneitra. En ce jour de fête religieuse, Israël est surpris de l’attaque. Mais l’armée israélienne (350 000 hommes), à la suite de la mobilisation des réservistes, reprend l’avantage. Le Golan est notamment repris dès le 8 octobre, puis l’armée israélienne poursuit en direction de Damas, et reprend un territoire d’environ 500 km2. En parallèle, l’aviation israélienne bombarde des infrastructures stratégiques syriennes : ports, installations pétrolières, centrales électriques. Sur le plan international, le Conseil de sécurité de l’ONU, réuni dès le 8 octobre, suit le déroulement du conflit. Néanmoins, devant l’avancée des Israéliens en territoire égyptien, et afin de stopper leur progression, l’URSS demande le cessez-le-feu. La guère du Kippour a également des répercussions sur le plan économique.

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