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Détox numérique: halte à l'intox! 

Détox numérique: halte à l'intox! 
On parle beaucoup de "détox numérique" aujourd'hui. Il s'agit le plus souvent de passer une semaine à quinze jours dans un endroit retiré, sans Internet ni téléphone mobile. Il est bien évident que chacun peut tirer bénéficie de périodes pendant lesquelles il est invité à se recentrer sur lui-même, la nature et des relations de proximité, loin de l'agitation du monde. Le problème est qu'ici, il ne s'agit plus seulement de retrouver le goût d'une rencontre avec soi-même et les autres, mais de réaliser un "sevrage", sur le modèle de la cure de désintoxication alcoolique dont on sait largement qu'elle n'a jamais marché. Mais avant de parler de désintoxication, il est nécessaire de distinguer deux types d'utilisations des technologies numériques qu'on peut qualifier d'excessifs. Ni l'une ni l'autre ne sont d'ailleurs pathologiques, car elles peuvent être ponctuelles et correspondre à un moment dans le rapport qu'un individu entretient avec. Usages d'apprentissage, usages de fuite Related:  La cyberdépendanceLa cyberdépendance

Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil. D. Psychologie :

Blog de Serge Tisseron Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. En français, on pourrait dire “psychiatrie de bazar” Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. La première clinique pour “dépendance aux jeux video” a été ouverte en Hollande en 2006 par le Smith and Jones Centre, un centre de traitement pour les toxicomanes. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques. Il n’y a pas d’addiction aux objets numériques, c’est aussi simple que cela. WordPress: J'aime chargement…

Débat sur l'addiction numérique Perles collaboratives >>>>>>>>>>> Atlantico Carevox [Sur le site Doctissimo] L'addiction numérique, c'est quoi ? Avis de l'académie des sciences

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