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Retour d’expérience sur mon système de veille et réflexions sur le web des API

Retour d’expérience sur mon système de veille et réflexions sur le web des API
Béatrice Foenix-Riou m’a demandé de faire le point sur mon système de veille, que j’avais proposé il y a un an. L’article est en ligne en intégralité et a été publié dans Netsources. Cependant, entre le moment où j’ai répondu à ses questions et le moment où j’écris ce billet, mon système a déjà évolué! C’est donc une version augmentée différente de celle qui a été publiée que je vous propose sur la base de l’article publié dans Netsources. Dans un article intitulé “Pocket et IFTTT : une alternative efficace à Google Reader”, publié il y a tout juste un an sur son blog, Silvère Mercier présentait la solution qu’il avait choisie pour remplacer l’agrégateur de flux Google Reader, dont la fermeture était programmée pour juillet 2013. Après un an d’utilisation, nous avons souhaité bénéficier de son retour d’expérience, pour connaître ainsi, avec le recul, les atouts et les faiblesses de la solution qu’il a mise en place. Netsources : Vous avez donc choisi de coupler IFTTT et Pocket. Related:  Bibliothèques, numérique et médiation sur le Web

Bibliothèques et humanités numériques - épisode 2 1- Relations des bibliothèques avec les humanités numériques : un partenaire naturel ? Dans un article paru en 2012 au BBF, Les digital humanities et les bibliothèques - Un partenariat naturel, Benjamin Caraco1 soulignait l’idée d’« un partenariat naturel » résultant d’une double dynamique. D'abord, parce qu'en consacrant l’alliance entre les chercheurs et les métiers d’accompagnement, les humanités numériques constituent en soi une opportunité pour les bibliothèques. Un appel à la coopération avec les bibliothèques Les idéaux de collaboration et d’intégration professionnelles extra-académiques proclamés par les tenants des humanités numériques ouvrent grand la porte aux professionnels des bibliothèques et des sciences de l’information. Des chercheurs en quête de bibliothécaires 2- Les bibliothèques en marche vers les humanités numériques : des atouts majeurs De l'expérience de l'informatisation à la gestion du document numérique : la bibliothèque comme alliée historique des DH ?

Les bibliothèques se transforment en espaces créatifs : quand les usagers deviennent acteurs | C'est pas demain la veille Makerspace, Fab lab. 2 termes que nous voyons apparaître dans la littérature professionnelle sans trop savoir ce qui se cache derrière… Fab lab est la contraction du terme anglais fabrication laboratory, traduit de façon littérale par : laboratoire de fabrication, et makerspace par atelier de bricolage. Ce sont des lieux d’innovation ouverts à tous, dans lesquels les utilisateurs fabriquent des objets à partir d’outils numériques. Ce sont surtout des lieux d’échanges et de partages des savoirs et savoir-faire. Wikimedia Foundation, San Francisco, California Issus du mouvement DIY – Do It Yourself, les fab labs sont apparus aux Etats-Unis au début des années 2000 (le premier fablab a vu le jour au MIT). Une association internationale Fab Lab s’est créée en 2009 pour faciliter et permettre le développement de fab labs, une charte a été rédigée et un wiki a vu le jour (dans lequel vous trouverez une carte mondiale des Fab labs). Et les bibliothèques françaises me direz-vous ? Thomas Fourmeux.

Bibliothèques et humanités numériques - Episode 1 Conservateur de bibliothèque depuis 2014, Elydia Barret est actuellement en poste au Campus Condorcet où elle est chargée de mission archives. Elle revient pour enssibLab avec beaucoup de perspicacité sur un mouvement complexe qui interroge de plus en plus la profession, les Humanités Numériques. Son mémoire d'étude soutenu en 2014 à l'enssib sous la direction d'Isabelle Westeel, pose justement la question cruciale : Quel rôle pour les bibliothèques dans les humanités numériques ? Délibérément axées sur l’une des facettes multiples des DH, les lignes qui suivent ont vocation à défricher un terrain qui s’étend et se reconfigure sans cesse. Les Digital Humanities (DH) ou humanités numériques, qui conjuguent sciences humaines1 et technologies numériques, sont par essence transversales et collaboratives. 1- Qu’est-ce que les DH ? Une définition problématique À lui seul, toutes éditions confondues, le corpus des DDH réunit quelque 1200 énoncés. Un concept récent 3- Un mouvement engagé Un défi

Atelier d'information sur les Pôles Territoriaux de Coopération Economique Afin d’informer les porteurs de projets qui envisageraient de candidater au second appel à projets national PTCE annoncé pour 2015, Brest métropole organise deux ateliers d’échanges et d’information. Des membres de PTCE labellisés lors du premier appel à projets organisé par l’Etat en 2013, seront présents pour partager leur expérience. Pour encourager le développement d’activités et d’emplois ancrés localement, l’Etat souhaite soutenir l’essor de projets de coopération et de mutualisation entre les acteurs de l’économie sociale et solidaire, notamment par le lancement d’un second appel à projets de soutien au développement des PTCE en 2015. Afin d’informer les porteurs de projets qui envisageraient de candidater au second appel à projets, Brest métropole organise deux ateliers d’information et d’échanges sur les PTCE : La participation est libre et ouverte à tous mais l’inscription obligatoire afin de préparer au mieux cette réunion.

Bibliothèques et humanités numériques - épisode 3 Trois approches graduées et cumulatives des humanités numériques en bibliothèque ont été identifiées par Jennifer Vinopal et Monica McCormick2 (New York University Libraries). La première approche tire parti de la numérisation et consiste, suivant un principe de mutualisation, à mettre à la disposition des chercheurs ou d’autres services les infrastructures et workflows mis en place par la bibliothèque pour l’accès aux ressources produites au format numérique. La deuxième voie repose sur une offre de services dédiés à la recherche et à la publication numérique : création d’une archive institutionnelle, hébergement d’une revue en ligne, aide à la production de vidéos ou d’enregistrements audios, prestation de conseil sur la numérisation, les métadonnées ou le droit d’auteur…Quant à la troisième, incarnée par les Digital Humanities centers, elle se caractérise par une forte composante recherche et développement. Pour I. Numérisation du patrimoine scientifique et corpus numériques

Les digital natives existent-ils Dans ce cadre conceptuel renouvelé privilégiant le continuum entre technique et culture plutôt que l'opposition binaire entre mythe et réalité, il nous faut considérer les digital natives comme une figure performative, un être de papier qui fait agir et qui par-là se trouve doté d'une existence empirique. Ainsi, parce qu'ils sont évoqués dans les représentations de l’échelle des âges imaginaires du numérique, les digital natives remplissent un rôle fonctionnel bien réel, celui de passeur d’usage intergénérationnel : « Le téléphone mobile avec le clavier non tactile, j'ai commencé à en être addict quand mes filles habitaient loin de moi. « Il a bien fallu. Et du côté des jeunes praticiens endossant le statut mythique des « digital natives », ils se doivent de cultiver l'immanentisme de leur littératie numérique. Le mythe des « digital natives » peut donc paradoxalement autant faire écran à la compréhension des pratiques que les éclairer. Crédit photo : Maurizio Pesce / Flickr

Controverses numériques Pour la 4ème édition de ce cycle d'analyse prospective des différentes questions relatives au numérique, plus de 400 décideurs, innovateurs et autres chercheurs se sont penchés sur 75 questions relatives au monde digital d'aujourd'hui et de demain organisées selon plusieurs thématiques : Innovation, économie et industrie, Éducation et culture, Données et vie privée, Politique et numérique, Politiques du numérique, Lien social, Travail et emploi, Territoire, Écologie et environnement, Questions éthiques et morales, Santé et corps. Afin d'essayer de comprendre et d'anticiper les mutations présentes et futures, les auteurs proposent un recensement (« controversarium ») des nombreuses controverses afférant aux technologies du numérique. Pour aider à mieux saisir la complexité des débats liés à telle ou telle controverse, le cahier contient également de nombreuses références à des travaux de recherche sur support imprimé ou numérique. Sources et références complémentaires FING.

La veille à travers les jardins fermés du web Google fermera Google Reader en Juillet prochain. Comme des dizaines de millions d’internautes je l’utilisais depuis des années. On ne compte plus les articles sur les « alternatives à Google Reader » mais ils me semblent tous manquer l’essentiel. un serveur de stockage et de synchronisation d’une collection de flux : aucune alternative ne le propose : la richesse de Google Reader tenait à sa position de coeur d’écosystème sur lequel venait se connecter via des API des services existants (Feedly, Flipboard, Newsify, etc.). C’est sur ce dernier point que je souhaite insister ici, tant il me semble symptomatique des évolutions du web, bien au delà de Google Reader. Exigence numéro 1 : exporter les commentaires et le lien vers l’article sans captation de trafic par une page intermédiaire pour les disséminer. La démarche est la suivante : je lis un article, j’en sélectionne un passage et je souhaite le partager le plus largement possible sur plusieurs médias sociaux. Solutions : 2. 3.

Livre blanc "Le numérique, une chance pour la culture" A l'occasion du Forum de Tokyo (02/12/14), LE rendez-vous des acteurs de la culture et du numérique, l'AFDEL et Renaissance Numérique se sont associés pour rédiger le livre blanc "Le numérique, une chance pour la culture". Ce rapport s'intéresse à la mutation des usages culturels sous l’effet du numérique et propose des recommandations pour dynamiser l'écosystème culturel. Publics, artistes, diffuseurs, éditeurs, attachés de presse. Livre, musique, cinéma, radio, télévision, photographie, musée et spectacle vivant. Tous les acteurs, dans toutes les disciplines, sont appelés à remettre leur position en question face aux bouleversements induits par les nouveaux usages qui se sont développés ces dernières années, grâce aux technologies numériques.

Thomas Fourmeux, le bibliothécaire militant Difficile de passer à côté de Thomas Fourmeux. Assistant multimédia à la bibliothèque Dumont d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), il fait partie de cette nouvelle génération de professionnels pour qui l'engagement, voire le militantisme, se pratique au quotidien et sur tous les fronts. Chez Archimag, c'est par l'intermédiaire de son blog ouvert il y a deux ans, Biblio Numericus, que nous l'avons repéré. "notre crédibilité est en jeu" Si nous gardions un oeil sur lui, c'est le 6 mai 2015, journée internationale contre les DRM (Digital rights management), qu'il nous donne envie de le connaître. Car les DRM, ces petits verrous destinés à contrôler l'usage et à interdire le partage d'une oeuvre numérique, Thomas Fourmeux les a dans le nez. C'est pourquoi le dispositif de partage de ressources numériques tombées dans le domaine publique ou sous licence libre Bibliobox l'a tout de suite intéressé. Faire tomber la crispation du numérique Contre les injustices Il like : Daryl dans Walking Dead.

Homo numericus Vous avez remarqué? Il y a plein de nouveaux mots en français. Selfie, cloud, big data, etc. Les géants mondiaux du numérique ont tissé une toile inextricable et nous nous y sommes gaiement précipités, comme des abeilles attirées par le miel du savoir immédiat et de la communication planétaire. L’Homo Numericus en devenir nage comme un poisson dans l’environnement numérique… mais parfois il s’y noie. Specimen se plonge dans l’ère du numérique et explore les changements qu’elle induit. Nos ordinateurs, nos tablettes, nos téléphones intelligents et autres dispositifs ont modifié nos comportements et notre manière d’être et de communiquer a changé. On sait aujourd’hui que les jeux vidéo d’action améliorent nos facultés cognitives. L’addiction aux écrans existe bel et bien. Petite ballade numérique ensuite, là où l’on découvre que la musique est l’art le plus transformé par les nouvelles technologies. La question est posée, enfin: de l’homme ou de la machine, que sera l’Homo Numericus?

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