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Museedelaguerre.ca - Histoire de la Première Guerre mondiale - La vie au front Les pertes élevées, une nourriture de piètre qualité et le manque de sommeil étaient certains des nombreux facteurs qui menaçaient constamment de saper le moral, et par conséquent de diminuer l'ardeur au combat des armées de la Première Guerre mondiale. Les désertions La désertion, lorsqu'un soldat décidait de quitter son unité militaire, était peut-être le signe d'un mauvais moral et souvent d'un excès de stress, d'une dépression mentale ou de traumatismes dus aux bombardements. Certains soldats abandonnaient directement le front alors que d'autres choisissaient simplement de ne pas retourner dans leur unité après une permission. L'automutilation L'automutilation était un autre moyen utilisé par les soldats pour échapper aux tranchées. La simulation La simulation, similaire à l'automutilation, consistait à faire semblant d'être malade ou simuler un traumatisme dû aux bombardements, ou à s'infliger volontairement une blessure. Voir plus d'objets et de photos sur ce sujet :

Trouvé aux puces à Paris, un film muet autrichien de 1924 annonce la Shoah Un Juif est battu dans la rue. Les maris juifs sont séparés de leurs épouses et enfants non juifs et déportés dans des trains. Une communauté juive, dirigée par des rabbins portant des rouleaux de Torah, marche sur une route sombre alors qu’elle est expulsée de la ville. Ces instantanés semblent faire partie de l’histoire de la Shoah – mais ce n’est pas le cas. Recevez gratuitement notre édition quotidienne par mail pour ne rien manquer du meilleur de l’info Inscription gratuite ! Le film de 1924 « City Without Jews » est basé sur un roman populaire de 1922 de l’écrivain et journaliste autrichien Hugo Bettauer. Le film a été conçu comme une réponse satirique à l’antisémitisme qui a gagné en popularité et en force politique en Autriche au début de l’entre-deux-guerres. Dans la vie réelle, les Juifs d’Autriche ont été déportés à partir d’octobre 1939, et la plupart d’entre eux ne sont pas revenus. A l’origine, « City Without Jews » [Ville sans juifs] était sensé être perdu à jamais.

Berlin 1945 und heute Berlin 1945 und heute Kurz nach dem Krieg liegt Berlin in Schutt und Asche. Bilder eines sowjetischen Korrespondenten zeigen das Ausmaß der Zerstörung. 70 Jahre später besucht der Berliner Fotograf Fabrizio Bensch die Orte noch einmal. Samariter-/Rigaer Straße (Friedrichshain) Verschieben Fotos: Georgiy Samsonow / Fabrizio Bensch Reichstag (Tiergarten) Alexandrinenstraße (Kreuzberg) Auguststraße (Mitte) Blick auf das Reichstagsgebäude (Tiergarten) Borsigstraße (Mitte) Blick auf das Marie-Elisabeth-Lüders-Haus (Tiergarten) Frankfurter Allee (Friedrichshain) Voßstraße (Mitte) Kadiner Straße (Friedrichshain) Fotos: Georgiy Samsonow / Reto Klar Hintergrund 1945 kam der sowjetische Fotokorrespondent Georgiy Samsonow mit der fünften Stoßarmee unter Generaloberst Bersarin nach Berlin. Fotograf Fabrizio BenschBensch nahm alte Straßenkarten, Luftbildaufnahmen und Telefonbücher zur Hand, um die Orte ausfindig zu machen.

YAHAD - IN UNUM Content This map indicates the sites of mass execution sites located by Yahad teams at which the Nazis and their allies murdered Jews in towns and villages throughout Eastern Europe. Each site includes a link to a brief profile and research findings for each location. Site profiles are being added incrementally each month as information is prepared and new sites identified. Use of content This website is a non-commercial educational tool. The content of the website may be used for personal, educational and non-commercial purposes. Estimated number of victims 1 to 500 victims 500 to 10 000 victims more than 10 000 victims Archives Soviet archives: Soviet archives used in the villagers’ profiles are taken from the Soviet Extraordinary State Commission, after war reports about the occupation lead by the Soviet authorities in order to investigate crimes committed by Nazis on the Soviet territory and from the State Security archives of former Soviet republics.

Les derniers Compagnons de la Libération - FRANCE 24 Vos données personnelles, vos choix, notre responsabilité Nous et nos partenaires utilisons des cookies ou technologies similaires pour accéder et stocker des informations non sensibles telles que votre adresse IP.Le traitement de vos données nous permet par exemple l’amélioration de votre expérience utilisateur, la mesure d’audience du site, les fonctionnalités de réseaux sociaux, ou l'affichage de publicités personnalisées.En cliquant sur "Accepter", vous consentez au dépôt de cookies ou technologies similaires par France Médias Monde et ses partenaires.Vous pouvez à tout moment modifier vos choix en cliquant sur "Paramétrer" ci-dessous ou depuis le lien "Centre de préférences" présent dans le menu. Voir nos partenaires Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes en nous basant sur votre consentement : Cliquez pour naviguer Sur les 1 038 Compagnons de la Libération, ils ne sont plus que 10 à être encore en vie, âgés de 96 à 103 ans. “La liberté est le soleil de la vieˮ H.

Mémoires des déportations 1939 - 1945 Rarely seen photos record World War II in brilliant, immersive color Though color photography was invented decades before World War II, it was still a rather niche process, more complicated and expensive than black-and-white photography. The scarcity of color film was compounded by the hazards of shipping in wartime and the difficulties of reproduction and printing. Nevertheless, thousands of color images were created during the global conflict. 3,000 of those were assembled by the British Ministry of Information and eventually ended up in the collections of the Imperial War Museums, which now hold over 11 million photos of conflict from the first World War to the present day. A new book of never-before-published photos drawn from the IWM’s archives, The Second World War in Colour, surveys myriad aspects of the war, from frontline combat among flamethrower tanks and paratroopers to factories and hospitals on the homefront — all in vividly immersive color.

1939 : l'inattendu pacte germano-soviétique - Presse RetroNews-BnF Le 23 août 1939, Paris-Soir fait état de la surprise des gouvernements et de la population face à cette nouvelle inattendue : "Les gouvernements de Londres et de Paris sont en état d'alerte et les délibérations d'aujourd'hui, de demain et de jeudi, consacrées aux premiers échanges de vues entre les membres du cabinet français et du cabinet britannique, seront vraisemblablement suivies de décisions importantes. [...] Les nombreux travailleurs qui se rendaient, ce matin, à leurs chantiers, à leurs usines ou à leurs bureaux, se frottaient les yeux en lisant la nouvelle sensationnelle du pacte de non-agression germanorusse". Le Populaire du même jour voit la signature de ce traité comme une manœuvre d'Adolf Hitler visant à retrouver sa supériorité militaire et diplomatique en Europe. "Avec un effort de réflexion, on peut se représenter les mobiles de Hitler. Nécessité n'a pas de loi. Le Figaro considère ce pacte comme l'achèvement, pour l'URSS, d'un objectif diplomatique de longue date.

LES ETRANGERS DANS LA RESISTANCE A PARIS Collin Claude, « Les Italiens dans la MOI et les FTP-MOI à Lyon et Grenoble » in : Guerres mondiales et conflits contemporains, n°218, 2005. Consultable en ligne sur Cairn : www.cairn.info/revue-guerres-mondiales-et-conflits-contemporains-2005-2-page-67.htm. Collin Claude, Carmagnole et liberté : les étrangers dans la Résistance en Rhône-Alpes, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2000. Collin Claude, Le Travail allemand, une organisation de résistance au sein de la Wehrmacht, Paris, les Indes savantes, 2013. Collin Claude, «Le « Travail allemand » : origines et filiations» in: Guerres mondiales et conflits contemporains, n°230 2008. Koehn Barbara, La résistance allemande contre Hitler 1933-1945, Paris, Presses universitaires de France, 2003. Knopper Françoise, Ruiz Alain, Les résistants au IIIe Reich en Allemagne et dans l'exil, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 1997. Peschanski Denis, Des étrangers dans la Résistance, Paris, les Ed.

L'histoire des enfants sauvés de Vénissieux "Mercredi 26 août 1942. 7h les gendarmes viennent nous chercher, disant que l'on serait déporté en Pologne." Il a tout noté, quelques semaines plus tard. Les cinq pages ont jauni, la couverture a été rafistolée, mais jamais il ne s'est séparé du petit carnet. Comme une preuve irréfutable des événements survenus cet été-là. Jean Stern, alors âgé de 15 ans, faisait partie des 1.016 juifs étrangers internés au camp de Vénissieux. Tout le monde connaît la rafle du Vel d'Hiv, pas celle de Vénissieux. "Il y avait là de hauts murs, des barbelés, des guérites et des gardes mobiles, comme dans une prison" Difficile d'imaginer à quoi ressemblait le lieu. C'est donc ici, en l'espace de deux jours et demi, qu'a été organisé le "plus grand sauvetage d'adultes et d'enfants juifs en France", dit l'historienne. Le camp d'internement de Vénissieux. Une nuit de cauchemar D'après ses investigations, le vendredi 28 août, les sauveteurs apprennent que Vichy réclame désormais un minimum de 800 juifs.

Les âmes errantes des soldats nippons morts pendant la guerre du Pacifique Lettre de Tokyo. C’est un petit cimetière dans la banlieue au nord de Rangoun. Les maisons et les paillotes se sont faits plus rares, laissant place à la végétation tropicale. Au-dessus du portail est écrit en idéogrammes « Cimetière des Japonais ». A droite en entrant, au milieu de flamboyants, de bougainvilliers et de gracieux frangipaniers, une centaine de tombes toutes semblables sont celles de civils. A gauche, des monuments sont dédiés aux soldats inconnus morts en Birmanie pendant la seconde guerre mondiale. Près de soixante-dix ans après la défaite, les Japonais continuent à venir prier pour leurs morts à travers l’Asie et à rechercher les restes de centaines de milliers de soldats encore portés disparus. Dans un célèbre roman, La Harpe de Birmanie, publié en 1946 (Le Serpent à plumes, 2002), Michio Takeyama (1903-1984) retrace la vie d’un jeune caporal japonais qui réconfortait ses camarades combattant en Birmanie en jouant de la harpe.

Parcours d'histoire : 1940-1944, Paris au temps des rafles - lesite.tv lesite.tv est une offre destinée aux enseignants. Pour accéder gratuitement à son catalogue connectez-vous sur Éduthèque.Si la création de votre accès est antérieure au 12/01/2017, veuillez-vous inscrire sur Éduthèque.Besoin d'aide? Consultez la FAQ Eduthèque Galilée Publié le 18/03/03 - Mis à jour le 21/06/17 Ce programme est consacré à la déportation des juifs de France à travers l'exemple du camp de Drancy. Goupil Catherine Issy-les-Moulineaux : La Cinquième, 1998; Paris : CNDP, 1998 En partenariat avec Réseau Canopé édite des ressources pédagogiques transmédias (imprimées, numériques, mobiles, TV), répondant aux besoins de la communauté éducative.

19 août 1942, le raid de Dieppe – LaContempo.fr 19 août 1942, des troupes canadiennes tentent un débarquement à Dieppe, petit port de la côte normande occupé par les Allemands. L’opération Jubilee est un échec qui se solde par de lourdes pertes. Le but de ce raid n’était pas, comme l’affirme la propagande allemande de l’époque, d’ouvrir un second front en Europe occidentale mais de remplir des objectifs tactiques très précis tout en donnant des gages aux Soviétiques et aux Américains. Cette infographie revient sur les origines et le déroulement de cette journée. Bucourt N., Jeanne F., Vallet Th., Dieppe, le raid, 19 août 1942, Bayeux, Heimdal, 2012 ; Delmas J., Dieppe, août 1942, opération Jubilee, Saint-Cloud, Soteca, 2013 ; Ministère de la Défense. Recherches et conception : Jérémie Halais – 2020 – LaContempo.fr WordPress: J'aime chargement…

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