background preloader

Une grande question d'aménagement urbain en 3e

Une grande question d'aménagement urbain en 3e
Il s’agit là d’un projet de classe inversée, conduit avec une classe de 3ème en géographie. Cette proposition offre une possibilité de diversification des modèles d’apprentissage pour prendre en compte la diversité des élèves et elle permet d’approfondir le contenu des cours de géographie, tout en exploitant les possibilités de l’ENT (Environnement Numérique de Travail). Elle s’inscrit dans le thème 1 du programme ("De la ville à l’espace rural, un territoire sous influence urbaine") et correspond à l’étude de cas attendue ("une grande question d’aménagement urbain"). Elle utilise enfin Edugéo. Vous pouvez vous appuyer sur les deux documents joints : le premier, "présentation de la séquence", offre une réflexion d’ensemble sur la classe inversée en collège puis se centre sur le cas étudié (l’étalement urbain et l’aménagement du centre de Nantes), le second, "Diaporama" indique le déroulé précis de la séquence, menée en partie par les élèves à domicile. Related:  G4 - Villes et développement durable

Les chercheurs et la ville durable Le Journal du CNRS publie un article, « Les défis de la ville durable », 7 janvier.2016. « Les scientifiques réfléchissent à des solutions pour faire de la ville un modèle de développement durable ». Les défis sont immenses. Ils touchent aux questions de l’énergie, du climat, de l’eau, de la biodiversité, des transports, des déchets. Les géographes Denise Pumain et Jean-Yves Toussaint sont, parmi d’autres chercheurs, mis à contribution par l’article du Journal Sont évoquées les questions du climat, de l’habitat, de l’eau, de l’énergie. Le réseau « Approches critiques du développement durable » réunit depuis 2012 des chercheurs et des acteurs désireux « d’avoir une approche réflexive s’interrogeant à la fois sur les appuis théoriques, les démarches empiriques, les corpus utilisés et les objectifs visés. » Pour aller plus loin :

Raconte ta ville - réseau Canopé - Accueil DIRECTRICE DE PUBLICATIONMarie-Caroline Missir, directrice générale de Réseau Canopé RESPONSABLE ÉDITORIALPascale Didine (délégation éducation et société, Canopé) GESTION DE PROJETJean-Pierre Auclaire (délégation éducation et société, Canopé) DIRECTION ARTISTIQUEThomas Cussonneau (direction édition transmédia et pédagogie, Canopé) CONCEPTION DE LA PRÉSENTATION DES WEBDOCS 2012/2013Oliver Pagani et la société HonkyTonk CONCEPTION DE LA PRÉSENTATION DES WEBDOCS 2014/2019Thomas Cussonneau RÉALISATION TECHNIQUEGrégory Béal (division des systèmes d'information, Canopé) GESTION JURIDIQUECharline Besse (direction des affaires juridiques, Canopé) RÉDACTIONJean-Pierre Auclaire SECRÉTARAT DE REDACTIONNathalie Bidart (direction édition transmédia et pédagogie, Canopé)

A Quito, 193 pays explorent la ville, « invention la plus complexe de l’humanité » Pour la troisième fois de leur histoire, les Nations unies organisent une conférence internationale sur la croissance des villes, Habitat III, du 17 au 20 octobre. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Simon Roger (Quito (Équateur), envoyé spécial) Déploiement policier imposant, avenues fermées à la circulation et barrières de sécurité délimitant, dimanche 16 octobre, l’entrée du parc du centre-ville de Quito (Equateur). Le quartier de Mariscal n’a sans doute jamais connu un tel dispositif sécuritaire, mais l’événement qu’il s’apprête à accueillir est exceptionnel lui aussi. Urbanisation anarchique Amorcé en 1975 avec la création d’une Fondation des Nations unies pour l’habitat et les établissements humains, le principe d’un rendez-vous onusien sur l’urbanisation est acté l’année suivante à Vancouver (Canada) à l’occasion d’Habitat I. Nouvel agenda urbain 70 % d’urbains en 2050 « Pourquoi tenir une conférence ONU Habitat tous les vingt ans, pourquoi ne pas choisir un intervalle plus court ?

Travail collaboratif sur la ville ... - Clio-Collège Géographie, 6ème. Coruscant, Star wars. Thème 1 - Habiter une métropole : La ville de demain. Les élèves sont invités, dans le cadre d’une initiation à la prospective territoriale, à imaginer la ville du futur : comment s’y déplacer ? Pour lutter contre la pollution et le réchauffement, 4 projets de revégétalisation des villes La façade du Quai Branly (Crédit : Lauren Manning/Wikimedia) En 2030, 70 % de la population mondiale sera urbaine. Pour limiter la concentration de gaz à effet de serre et de particules dans des espaces à très forte concentration humaine, une solution simple mais efficace se développe : le verdissement. Selon l'Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique (APPA ), les végétaux contribuent à "atténuer les températures, piéger les polluants de l’air et améliorer la santé de la population". À Madrid, la nouvelle maire Manuela Carmena a annoncé que la municipalité allait "multiplier les murs et les toits végétalisés", en plus "d'implanter un potager dans chaque établissement scolaire". Des ruches au milieu des buildings (Crédit : Mairie de Paris) À Paris, une toiture végétalisée grande comme un terrain de foot Plus de 900 arbres ont été hissés sur ces deux tours par des grues (Crédit : Luca Nebuloni/Wikipédia Commons) À Milan, un hectare de forêt verticale sur deux tours

Cartographie. Les villes prennent le pouvoir Les mégalopoles sont les nouveaux moteurs de l’économie mondiale. De la Californie au delta de la rivière des Perles, en Chine, l’avenir s’écrit dans des pôles urbains tentaculaires. D’ici à 2025, il y aura au moins quarante de ces villes ultra-connectées dans le monde. Par-delà les frontières, elles inventent une autre forme de gouvernance et d’économie, affirme Parag Khanna, l’auteur de Connectography : Mapping The Future of Global Civilization (éd. Dans ce livre, l’auteur, que le New York Times décrit comme “l’homme le plus connecté du monde” en raison de ses collaborations avec des universités du monde entier, décrit un futur où les frontières nationales reculeront et où les agglomérations – ainsi que les personnes – les plus connectées prendront le pouvoir. Ce constat, c’est aussi celui de l’Institut Mc Kinsey.

Donner à voir et faire réfléchir : les photographies de grands ensembles Le compte Twitter de Renaud Epstein, sociologue et maître de conférences à Sciences-po Saint-Germain-en-Laye, rencontre un certain succès dans la communauté de géographes utilisateurs de ce réseau social avec une série de tweets intitulés « Un jour, une ZUP, une carte postale ». Le but est de publier au fil de l'eau ses archives personnelles constituées notamment d'une collection de cartes postales représentant des grands ensembles à une époque où leur construction, nec plus ultra de la modernité, fascinait les français. Jour après jour, l'auteur livre par petites touches un véritable portrait d'une France des années 1960-1970 qui misait sur le logement social et l'habitat collectif. Si on ne connaît pas toujours le nom du photographe, certaines de ces cartes portent la signature de la société éditrice comme Yvon ou encore Combier, Iris, Lapie, Cim, As, Lyna, Guy, Mage, La Cigogne...

Des mangroves dans la ville Paris comprend 13 mangroves urbaines, de Gallieni à La Défense-Grande-Arche. © Girodo / Mangin Marion Girodo s’est intéressée au réseau du métro parisien lors de ses études à l’école d’architecture de Marne-la-Vallée. Elle y a suivi le cursus du master Métropoles, dans lequel David Mangin (Grand prix de l’urbanisme 2008) dirigeait le séminaire Paris Babel. Il invitait ses étudiants à réfléchir aux problématiques liées à la métropole du Grand Paris. C’est en analysant le pôle Haussmann – Saint-Lazare que Mario Girodo a « découvert » d’un oeil neuf les « connexions entre les bâtiments et les métros. » La gare Saint-Lazare accueille un centre commercial dans la salle des pas perdus depuis 2012. © Girodo / Mangin Le sujet, vaste, est encore largement inexploré. L’idée botanique de la connexion « Il y a des gens qui ignorent la ville du dessus et d’autres qui ignorent celle du dessous » déplore Marion Girodo. Passer du dessous au dessus de manière continue

Londres Mexico : aménager la ville. Géographie 2de. Objectifs Objectifs de contenus prendre en compte la diversité des situations des sociétés, celles des pays riches où les politiques de développement durable progressent selon des modalités diverses, et celles des pays émergents ou en développement confrontés au double défi du développement et de la durabilité. Montrer la diversité des situations et les contraintes communes qui définissent les politiques et les stratégies de développement (durable ou non) de la ville. Mettre en scène les différents acteurs qui agissent dans la définition et l’application de politiques d’aménagement urbain. Objectifs méthodologiques On se reportera au tableau des capacités situé dans le préambule du programme de 2de : changer d'échelle, sélectionner et hiérachiser l'information, exercer son esprit critique, réaliser un croquis. Description Pour aborder la question "aménager la ville", le professeur est libre du choix de ses deux études de cas. Place dans le programme Thème 3 : "aménager la ville".

Salauds de bobos… ou pas : l’étude qui montre que la gentrification ne fonctionne pas comme le pensent les urbanistes “bienpensants” Atlantico : L'étude menée à Philadelphie montre que les populations pauvres ne quittent pas forcément leur quartier quand des habitants plus aisés arrivent dans le processus de gentrification. Du moins leur mobilité n'est pas plus grande que quand les quartiers ne subissent pas la gentrification. Comment peut-on l'expliquer ce phénomène qui va à l'encontre des idées reçues ? Laurent Chalard : Tout d’abord, il convient de noter que nous avons affaire à une étude de cas, ce qui sous-entend que le modèle de Philadelphie n’est pas extrapolable à l’ensemble des quartiers connaissant un processus de gentrification aux Etats-Unis. Le cas de Philadelphie semble donc aller à l’encontre de l’idée reçue d’inspiration marxiste, qui voit la gentrification uniquement comme un processus d’expulsion des pauvres remplacés par des plus riches. Cette étude américaine montre aussi que les populations les moins aisées profiteraient de la gentrification.

À Milan, un hectare de forêt planté sur deux tours Deux tours d'environ 100 mètres de haut viennent d'être primées par le prestigieux International Highrise Award 2014. Leur particularité: abriter sur les balcons de chaque façade une véritable forêt d'arbres et d'arbustes, sans oublier insectes et oiseaux. Les Parisiens rêvent de verdure en ville, de murs végétalisés et de potagers sur leurs balcons? Pouvoir anti-polluant Presque 900 arbres, mais aussi des milliers d'arbustes et de petites plantes ont été cultivés dans des pépinières avant d'être hissés par une grue avec leur motte de terre jusqu'à leur balcon de destination. Test en soufflerie Ces façades qui rappellent dans leur simplicité fantasque un dessin d'enfant, cachent bon nombre d'innovations technologiques et de solutions ad hoc mises au point pour accueillir et faire perdurer cette forêt urbaine. Papillons, coccinelles et chauves-souris Bosco verticale est doté de panneaux solaires et exploite l'énergie géothermique.

Les représentations complexes des tours d’habitat populaire Dossier : Le retour des tours dans les villes européennes L’image de la tour est en France encore fortement attachée à celle du logement populaire, du fait notamment de la présence de ce type d’édifice dans les grands ensembles. Or, si l’on parle des tours d’habitat populaire depuis 2003, c’est essentiellement à propos des démolitions : l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) incite les bailleurs à détruire prioritairement dans les zones urbaines sensibles les immeubles les plus imposants, dont les tours les plus hautes. Mais l’image négative du « problème des banlieues » et de ses dysfonctionnements est-elle la seule associée aux tours d’habitat populaire ? Ne tend-elle pas à laisser dans l’ombre d’autres représentations attachées à ces édifices ? Une réflexion sur la tour Plein-Ciel à Saint-Étienne est, sur ces points, riche d’enseignements. Acte 1 : la tour Plein-Ciel, symbole de modernité L’image la plus ancienne identifiée date de 1970. Figure 1. Figure 2. Figure 3.

Le Top 10 des villes éco-intelligentes - Le Parisien Elles se sont lancées un grand défi : devenir des villes éco-citoyennes, respectueuses de l'environnement et de l'humain. Qui sont-elles ? Suivez le guide ! San José, en Californie : 100% bio, de l’assiette à la poubelle Si vous passez par San José, il vous sera impossible d'échapper à ses innombrables jardins partagés et ses marchés fermiers bio. San José ne s’arrête pas là : l'entreprise Zero Waste Energy Development Company (ZWEDC) y a récemment ouvert un centre de « digestion anaérobie » ou méthanisation — un établissement qui permet de traiter les déchets organiques pour générer de l'énergie renouvelable. Vancouver, au Canada : objectif « premier de la classe » Le maire de Vancouver, Gregor Robertson, s’est lancé un défi de taille : faire de la ville qui a vu naître le mouvement Greenpeace la ville la plus écologique du monde d’ici 2020. Des objectifs qui peuvent paraître démesurés et pourtant, Vancouver est déjà sur la bonne voie. Auckland, en Nouvelle-Zélande : larguez les voitures

Related: