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Pourquoi Facebook est-il interdit aux moins de 13 ans ? - 1 jour, 1...

Pourquoi Facebook est-il interdit aux moins de 13 ans ? - 1 jour, 1...
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Twitter inaugure une nouvelle fonction de résumé En octobre dernier, Twitter avait annoncé son intention de proposer un tri par pertinence pour présenter le fil d’actualité. Cette fonction commence à être déployée pour les utilisateurs anglophones. Baptisée “While your were away”, elle présente une synthèse des tweets reçus depuis la dernière ouverture de l’application. L’algorithme se sert de critères de pertinence dont Twitter ne donne pas le détail. Cette approche non chronologique a déjà suscité beaucoup de débats et d’opposition au sein de la tweetosphère. Selon TechCrunch, cette nouveauté est actuellement déployée à large échelle, ce qui laisse penser qu’elle devrait être officialisée et généralisée sous peu.

Tutoriel comment utiliser Pinterest Mes réseaux sociaux et moi : brochure conseil d’éducation au numérique (Académie de Versailles) A l’occasion du Safer Internet Day (journée de l’Internet sans crainte), le SCEREN-CRDP de l’Académie de Versailles via sa d’éducation aux médias plateforme Citoyen de l’Internet a mis en ligne un nouveau MemoTICE (brochure conseil) intitulé Mes réseaux et moi qui s’intéresse aux pratiques des enfants et adolescents sur les médias sociaux. Ce document pédagogique et didactique est librement téléchargeable et diffusable (sous licence Creative Commons). A télécharger (en pdf) : ici sous la forme d’une brochure et ici au format 21 x 29,7 cm (4 pages). Ce mini-guide pose des jalons d’éducation au numérique avec des conseils mais aussi la volonté de faire réfléchir les jeunes, les enseignants et les parents sur quelques points essentiels de leur présence sur ces outils en ligne : A quoi me servent les réseaux sociaux ? Licence : Creative Commons by-nc-saGéographie : Île-de-France

Les réseaux sociaux polarisent-ils ou élargissent-ils le débat public En juin dernier, le Pew Research Center, ce think tank américain “non partisan” dédié à l’étude “des faits et tendances qui transforment notre monde”, a livré une impressionnante étude sur la montée de la polarisation du débat public aux Etats-Unis. L’étude montrait combien l’animosité partisane avait progressé sur 20 ans entre démocrates libéraux et républicains conservateurs, notamment chez les plus actifs politiquement… Elle mettait en avant la progression des chambres d’échos idéologiques – c’est-à-dire le fait que les partisans discutent de plus en plus entre eux -, renforçant ainsi leurs propres convictions, ainsi que la montée de l’antipathie mutuelle entre ce qu’on pourrait rapidement qualifier de droite et de gauche américaine. Le Pew Research Internet Project, la branche technologique du think tank vient de la compléter en s’intéressant particulièrement au rôle des médias sociaux dans la montée de cette polarisation politique. Hubert Guillaud

La place des réseaux sociaux dans l'information journalistique / E-dossier de l'audiovisuel : Journalisme, Internet, libertés Arnaud Mercier est Professeur en Sciences de l’information et de la communication. Responsable de la licence professionnelle "journalisme et médias numériques" à l’Université de Lorraine, ses thèmes de recherches concernent, notamment, la communication politique, les traitements médiatiques, la sociologie du journalisme et du webjournalisme. Il est membre du comité scientifique des Cahiers du journalisme et du comité de rédaction de la revueQuestions de communication. ______________________________Médias et réseaux sociaux sont devenus des espaces d’expression pour des millions de gens sur Internet. S’il n’est pas encore majeur, le poids de ces réseaux sociaux, tels Twitter ou Facebook, dans l’interaction entre journalistes, sources et lecteurs, la progression des usages informatifs et la croissance rapide du nombre d’inscrits préfigurent un support pour l’information. Une tribune libre : le réseau social comme espace d’expression non contraint L’avènement du « Twiléspectateur »

Introduire les réseaux sociaux à l’école : prenons des risques! (réfléchis) « From Pennylane to… La table ronde à laquelle j’ai assisté à Ludovia « Les politiques e-éducatives à mettre en place face aux enjeux de la mobilité et de l’ouverture » à Ludovia, a tourné en fin de session sur le vieux débat « pour ou contre Facebook à l’école ». Thème abordé à cause de cette question sondage: Question mal posée puisqu’il y avait deux sous-questions et que de fait, cela ne se prêtait pas à une seule réponse. Le 1er rang de la salle réservé aux bloggueurs/twetteurs/facebookeurs a vivement réagi aux propos tenus sur l’estrade par le rang d’officiels politiques qui s’y tenait. Au réseau social « grand public » (délibérément nommé Facebook) semblait s’opposer l’Environnement Numérique de Travail (ENT). Comprenez : danger contre sécurité, réseau ouvert contre réseau fermé, pédagogie raisonnée contre « grand n’importe quoi ». Le projet (ou juste une tendance?) Sécurisé/restreint/bloquerait/interférences = tout le vocabulaire négatif est réuni. Imaginer un autre réseau me semble inutile. J'aime :

Comprendre les réseaux sociaux numériques - Prestations DSI-SEM Facebook et l’école peuvent-ils faire bon ménage ? De plus en plus de jeunes utilisent les réseaux sociaux numériques tels que Facebook ou Twitter. Face à cette nouvelle manière de communiquer et de tisser des liens, les adultes – parents et enseignants – sont parfois dépourvus. Pour contribuer à la réflexion, la DSI-SEM propose Un enjeu pour l’enseignement. Conseils pratiques, explications contextuelles, exemples divers : s’il n’a pas pour ambition de tout dire sur les réseaux sociaux, le document proposé par la DSI-SEM souhaite favoriser une réflexion sur un phénomène qui n’a pas fini de faire parler de lui. Au même titre que son précédent guide Comprendre l’identité numérique, ce nouvelle publication s’insère dans une volonté de la DSI-SEM d’apporter des éclairages sur les enjeux du numérique dans l’enseignement. En savoir plus : Télécharger le document Un enjeu pour l’enseignement. Le document synthétique A lire également : Comprendre l’identité numérique

Sur la carte mondiale des tweets, on repère les gares, les aéroports, les aires d’autoroute… Dans quels lieux publics tweete-t-on le plus souvent ? Réponse : dans les halls de gare, sur les aires d’autoroute, dans les terminaux d’aéroports. C’est l’un des enseignements de la carte publiée par le programmeur américain Eric Fischer. Ce geek de 41 ans s’amuse depuis quelques années à cartographier divers phénomènes sur le fond libre de droits d’Openstreetmap. Densité et richesse. La Part-Dieu éclaire Lyon. Tweetland. Tourisme, affaires et transports. Les halls, les quais, les trains. Idéogrammes. Autoroute et LGV. Ville, gare, aéroport, autoroute. Ferry. Gare et ski. Olivier Razemon Les transports, c'est de plus en plus une affaire de données : La SNCF divulgue la géolocalisation de ses trains (octobre 2014) En voiture, en TGV ou en avion, les Français voyagent de plus en plus (juin 2013) Le difficile art de prévoir les embouteillages (janvier 2013) Bonus : Francfort et son aéroport, presque aussi lumineux que la ville... Signaler ce contenu comme inapproprié

Faut-il combattre les trolls ? La sagesse populaire des réseaux nous rappelle qu’il ne faut pas nourrir les trolls (don’t feed the troll), ce qui signifie qu’il est plus avisé de ne pas répondre à des commentaires haineux afin de ne pas engendrer un discours de haine encore plus violent et plus nourrit. Pourtant, nous rappelait déjà le sociologue Antonio Casilli, « Le trolling ne doit pas être considéré comme une aberration de la sociabilité sur l’internet, mais comme l’une de ses facettes ». En fait, la radicalité des Trolls est une réponse aux blocages des formes d’expression publiques, qu’elles soient en ligne ou pas. On s’énerve pour affirmer son propos, pour le faire exister, pour se faire entendre des autres. « L’existence même des trolls montre que l’espace public est largement un concept fantasmatique », insiste avec raison le sociologue. Engager le dialogue avec les trolls D’où l’adage qui veut de ne pas répondre aux trolls. Mais la technique n’est peut-être pas la seule arme pour leur répondre.

12 vidéos didactiques sur les réseaux sociaux et le numérique La firme Orange via le blog Le Collectif a eu la bonne idée de mettre à disposition des internautes et mobinautes des vidéos courtes didactiques et avec un brin d’humour sur des services en ligne (Twitter, Pinterest, Klout, Foursquare, Google Plus…) et notions de l’Internet (cloud computing…) et du monde connecté (TV connectée, voiture connectée…) d’aujourd’hui afin de mieux les comprendre et les appréhender. Appréhender, comprendre, apprendre En moins de 2 minutes, l’ensemble de ces vidéos intitulées 60 secondes présentent de petits films d’animation pour mieux visualiser ce que recouvrent les outils en ligne et les pratiques qui sont le sujet de ces médias ; une voix off fournissant des explications et d’actions pour ces différents thèmes évoqués. Ces vidéos peuvent être utiles à des néophytes de l’informatique, de l’internet, des smartphones ou à des personnes qui souhaitent découvrir l’utilité de pratiques ou services numériques. Liste des 12 vidéos courtes didactiques 60 secondes

Avantages de Pearltrees | Petites Profs - Cartes heuristiques: Pearltrees est en quelque sorte fait sous forme de carte heuristique, car il s’agit d’un réseau qui est connecté en fonction de différents liens. Cela permet donc de créer des réseaux qui faciliteront la compréhension de certains éléments. - Outil de classement: À l’image des dossiers dans un ordinateur, cet outil permet de créer des perles qui sont ensuite classées dans des Pearltrees. Cela permet de retrouver facilement la trace des idées inscrites et de les remanier encore et encore. - Personnalisation du classement et organisation conviviale: Lorsque nous créons des Pearltrees, on nous demande de donner un titre à ce nouvel espace et une nouvelle perle apparaît avec l’image du pearltree racine. - Organisation dynamique: En raison des images insérées dans des cercles classés en arbre, il est facile de se situer et de repérer le contenu en un clin d’oeil (bien sûr, si l’espace est ordonné). - Faire équipe: permet d’enrichir la bibliothèque grâce à la communauté.

Facebook : données c’est donner L’écriture de cet article a nécessité quelques vérifications préalables sur Facebook. Rien de bien sorcier : on a jeté un œil aux conditions d’utilisation du site -- c’était l’histoire de cinq minutes. Ironiquement, en ce laps de temps, le réseau social tout bleu a eu l’occasion de rassembler beaucoup plus d’informations sur nous que nous sur lui... Il sait par exemple qu’on a utilisé un PC tournant sous Windows Seven, connecté à Internet via le navigateur Firefox avec l’adresse IP 82.138.108.81, et que cette machine est sans doute celle d’une entreprise car elle a déjà été utilisée par une dizaine d’autres membres de Facebook, dont une majorité indique travailler ou avoir travaillé à Libération. Pfiou ! Inventaire des données aspirées – en gardant à l’esprit que la plupart d’entre elles ne sont jamais supprimées des serveurs californiens, et que la liste est en perpétuelle évolution. Des techniques de Sioux La première astuce est de jouer la carte sécuritaire. Et demain ?

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