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SensCritique et Babelio : comment la lecture sociale évolue-t-elle

SensCritique et Babelio : comment la lecture sociale évolue-t-elle
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Everitouthèque Qu'est-ce que la lecture sociale Hier « lecture 2.0 », aujourd’hui « lecture sociale » (et ses variantes : « livre 2.0 », « livre social », etc.) : la « lecture sociale » semble suivre les évolutions sémantiques du « web 2.0 », devenu « web social ». Trop chargées idéologiquement, trop flottantes, ces expressions doivent néanmoins être prises au sérieux. Elles sont en effet au croisement de mondes sociaux (monde des institutions, monde des entreprises, etc.) qui parviennent à se réunir et à se comprendre, malgré les différences qu’ils attachent aux significations de ces expressions. Si le chercheur doit se montrer critique face à leur mobilisation, qui peut être le signe d’une pénétration de discours d’accompagnement, il peut aussi y trouver un ressort méthodologique. C’est ainsi moins à la définition de ces expressions que l’on s’attachera qu’aux discours qui les légitiment, qu’aux lieux où ils s’épanouissent et aux acteurs qui les crédibilisent. La recommandation est à ce titre exemplaire. [4]. [12].

Mediamus Le livre, partagé entre papier et numérique Le livre numérique multiplie les possibilités d’innovations en matière de consommation : « achat à l’unité, abonnement à des sites, à des collections ou selon des thématiques, lecture seule, offre multiformat avec téléchargement, offre limitée au format de l’appareil, location, acquisition d’extraits (…), achat pérenne ou simplement lié à un nombre limité de téléchargements, streaming (…), financement par la publicité ou par un tiers ». Au-delà de ces modes de consommation aussi nombreux que variés, le numérique rend également possible le piratage, qui se porte surtout vers les best-sellers, la littérature de genre (SF, fantastique, fantasy), les livres pratiques et de sciences et techniques. Dans ce contexte, quelles sont les stratégies adoptées dans le secteur de l’édition pour proposer une offre numérique ? [6], grâce auxquels des internautes peuvent s’associer pour financer divers projets.

D'Allociné à SensCritique : la course aux étoiles Dans le monde numérique 2.0, le cinéma se recompose un visage et le spectateur est plus que jamais acteur d’opinion pris dans le flux des informations et plans marketing mêlés. Visite en trois sites de tailles et de natures différentes. Le rouleau compresseur Allociné C’est l’une des plus belles cash-machines du cinéma français. Elle s’est installée au cœur d’un nouvel écosystème qu’elle a inventé de toutes pièces et qu’elle occupe quasiment à 100% : celui de la «relation» entre le public et le monde du septième art sur Internet. Au commencement, en 1993, Allociné n’était qu’un simple numéro de téléphone permettant de connaître les horaires des salles. Allociné est très prisé par les internautes parce qu’ils peuvent réagir à chaud aussi bien au visionnage des bandes-annonces qu’aux films eux-mêmes. Le site n’entend pas sortir de son rôle d’intermédiaire et se garde bien d’émettre le moindre contenu éditorial critique propre (hors celui des internautes). SensCritique en embuscade

Les métiers du livre face au numérique Aujourd’hui, « le numérique modifie tous les aspects de la chaîne de l’imprimé et remet en perspective le métier de tous ceux qui y travaillent (…). Tous ces acteurs sont fidèles au livre physique mais doivent dorénavant diversifier leurs rôles et leurs offres »[1]. De fait, les bibliothécaires font face à un bouleversement des écosystèmes documentaires qui voient notamment émerger des bibliothèques « numériques » et de nouvelles pratiques quotidiennes (écrire un blog, gérer sa page Facebook, son fil Twitter…). Les libraires sont quant à eux confrontés à de multiples missions nouvelles (gestion d’une communauté virtuelle, formats multiples, mise en concurrence renforcée…) et à la reconfiguration de leurs modèles économiques. Les propositions de communication, en prenant le numérique comme facteur de transformations, pourront porter au choix : Les propositions devront préciser pour chaque auteur : Ses nom, prénom, statut et qualité Son institution de rattachement Une adresse électronique

Qui veut la peau du livre numérique ? - Tech L’ebook va mourir ! Mais si, vous l’avez lu un peu partout dans la presse il y a quelques semaines. Les études le prouvent : le marché du livre numérique serait au point mort quand le livre papier reviendrait en force. Pour certains, l’affaire est pliée, le bon vieux bouquin a gagné et la technologie a perdu. En septembre dernier, l’association des éditeurs américains balançait une étude incendiaire pour l’e-book. Ainsi, après des années de fulgurante progression dans le monde anglo-saxon, le marché de l’e-book subirait maintenant un fort ralentissement au profit du livre papier. Il n’est pas le seul. Ceux qui font la pluie et le beau temps sur ce marché, et aménagent un peu les chiffres comme cela les arrange, ce sont bien évidemment, les éditeurs. Pour l’agitateur culturel, la situation du marché américain peut s’expliquer de plusieurs manières. « Aux États-Unis, il est très difficile de trouver un livre.

Les métiers du livre face au numérique Pour sa 3e édition, la Biennale du numérique, organisée par l'Enssib, était consacrée aux transformations que le numérique fait subir aux métiers et à l'organisation du travail des différents acteurs de la chaîne du livre 1. Le succès était plus que jamais au rendez-vous avec une salle comble de 180 participants, convaincus que c'est bien du débat interprofessionnel que naîtra la nécessaire définition des adaptations à mettre en oeuvre pour répondre aux enjeux posés par le numérique dans nos métiers. L'intérêt d'associer des chercheurs à cette réflexion a été souligné. Or, la prise en compte du numérique dans les politiques publiques du ministère s'est faite en plusieurs étapes : des premières campagnes de numérisation ciblée dans les années 1990, aux dispositifs de soutien à la numérisation de masse au milieu des années 2000, avec un objectif d'autonomie stratégique pour relever le défi lancé par Google Books. Des librairies de plus en plus connectées La désintermédiation en question

L'Apprimerie : “aller plus loin” en couplant livre papier et ebook interactif L’Apprimerie est, à l’origine, spécialisé dans la conception et la fabrication de livre interactif. Pour quelles raisons passez-vous au livre papier ? Julie Guilleminot : Dès l’origine de L’Apprimerie, nous souhaitions garder le lien entre le papier et le numérique. Elle nous a donné l’occasion d’exploiter chacun des médias : le livre papier, et le livre numérique dans leur dimension propre, les illustrations et la narration dans l’album papier, l’animation et l’univers sonore dans la version numérique. Nous espérons aussi que le livre papier puisse être une passerelle vers la version numérique enrichie et permette de faire connaître et de faciliter l’accès à ce nouveau genre de livre. Enfin, cette collection, inspirée du cinéma d’animation d’auteurs à destination des jeunes publics est l’occasion de faire le lien entre les salles de cinéma et les librairies et de mettre en lumière la richesse et le dynamisme de cet art. Ces livres sont des adaptations de courts-métrages.

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