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Coronavirus : le mécanisme de la perte d'odorat enfin expliqué Depuis les premiers cas d’infection à Wuhan, les médecins savent que la perte d’odorat (anosmie) est un des principaux symptômes de l’infection au coronavirus SARS-CoV-2. Cependant, contrairement à d’autres processus lésionnels engendrés par le virus, la dynamique de l’anosmie était très peu comprise car peu d’études se sont penchées sur le sujet. Mais après plusieurs mois de travaux cliniques et d’analyses, les chercheurs pensent enfin avoir un modèle physiologique expliquant l’anosmie dans le cadre du COVID-19. L’une des causes les plus courantes de perte d’odorat est une infection virale, comme le rhume, les sinusites ou d’autres infections des voies respiratoires supérieures.

Des prédispositions génétiques pour les formes sévères du Covid-19 ? Mais pourquoi une telle disparité des symptômes dans l’infection par le SARS-CoV-2 ? Pourquoi, pour la majorité des individus atteints, la maladie reste bénigne voire asymptomatique, alors que pour d’autres, elle dégénère en une forme sévère, se traduisant par une insuffisance respiratoire aiguë, parfois mortelle ? Ces questions, parmi de nombreuses autres liées au Covid-19, taraudent les médecins et les biologistes depuis l’apparition du nouveau coronavirus fin 2019. David Ellinghaus, de l’université Christian-Albrechts, à Kiel, en Allemagne, et ses collègues, apportent des éléments de réponse.

Covid-19 : ce que les tests sérologiques peuvent et ne peuvent pas nous dire Des dizaines de tests sérologiques pour le SARS-CoV-2 (le virus responsable du Covid-19) sont devenus disponibles dans le monde ces dernières semaines. Et les premiers résultats des études épidémiologiques utilisant ces tests sérologiques ont fait la une des journaux. Ces tests sont vus par beaucoup comme la clé d’un retour à la vie normale. Mais la réalité est plus nuancée et dépend de la façon dont les résultats de ces tests seront utilisés. Les tests sérologiques aideraient les scientifiques à comprendre l’étendue de la propagation du coronavirus dans les populations. Cependant, en raison des limites sur leur fiabilité et des nombreuses inconnues sur l’immunité au Covid-19 elle-même, au niveau individuel, ils sont moins informatifs sur une exposition passée et sur la protection contre une infection future.

Nos fiches explicatives sur la maladie à coronavirus Covid-19 Assurer un rôle d'expertise et de conseil English Espace presse Coronavirus : ce que sait la science ! Chez certains patients, le Covid-19 présente des formes particulièrement sévères. Ainsi, le risque de complications est beaucoup plus important chez les sujets âgés. Certains facteurs aggravants, ce qu’on appelle « comorbidité », ont été identifiés, comme l’obésité, les antécédents cardiovasculaires, l’insuffisance rénale, le diabète ou encore la présence de pathologies respiratoires chroniques. Cependant, des individus relativement jeunes, dont quelques enfants, ont également présenté des formes graves de la maladie en l’absence de ces facteurs. Voilà ce qui pousse les chercheurs à identifier quels sont les autres paramètres aggravants. Certaines formes graves de Covid-19 se traduisent par un emballement de la réponse immunitaire.

How does coronavirus kill? Clinicians trace a ferocious rampage through the body, from brain to toes Science’s COVID-19 reporting is supported by the Pulitzer Center. On rounds in a 20-bed intensive care unit one recent day, physician Joshua Denson assessed two patients with seizures, many with respiratory failure and others whose kidneys were on a dangerous downhill slide. Days earlier, his rounds had been interrupted as his team tried, and failed, to resuscitate a young woman whose heart had stopped. All shared one thing, says Denson, a pulmonary and critical care physician at the Tulane University School of Medicine. “They are all COVID positive.” Coronavirus found in Paris sewage points to early warning system Science’s COVID-19 reporting is supported by the Pulitzer Center. By sampling sewage across greater Paris for more than 1 month, researchers have detected a rise and fall in novel coronavirus concentrations that correspond to the shape of the COVID-19 outbreak in the region, where a lockdown is now suppressing spread of the disease. Although several research groups have reported detecting coronavirus in wastewater, the researchers say the new study is the first to show that the technique can pick up a sharp rise in viral concentrations in sewage before cases explode in the clinic. That points to its potential as a cheap, noninvasive tool to warn against outbreaks, they say. “This visibility is also going to help us predict a second wave of outbreaks,” says Sébastien Wurtzer, a virologist at Eau de Paris, the city’s public water utility. Wurtzer and his colleagues posted the study, which has not been peer-reviewed, on the preprint repository medRxiv on 17 April.

Détection de SARS-CoV-2 : la spectrométrie de masse montre son potentiel de rapidité La méthode de référence actuelle pour détecter le virus SARS-CoV-2 dans un organisme est la PCR qui recherche une séquence génétique spécifique au virus, après prélèvement nasal. Cette approche permet un flux important d’analyses, mais reste toutefois tributaire des mutations génétiques qui peuvent apparaître dans le virus et est longue à mettre en œuvre. L’équipe du CEA-Joliot a récemment démontré la possibilité d’une autre stratégie de détection du virus, afin de compléter les moyens de diagnostic.

Covid-19 : Évaluation de la performance de plusieurs tests sérologiques de détection d’anticorps Echantillons sanguins dans la cohorte Constances et tests sérologiques de l’infection au virus SARS-Cov-2. A gauche : des cellules non infectées par le virus SARS-CoV-2, preuve que l’échantillon de sang contenait des anticorps neutralisants capable d’empêcher le virus d’entrer dans les cellules. A droite : de nombreuses cellules ont été détruites, preuve de l’absence d’anticorps neutralisants contre le virus.

SARS-CoV-2 (Covid-19) : Test Rapide IgG/IgM pour le diagnostic Clinisciences Pour une détection rapide des IgG et IgM anti-SARS-CoV-2 (2019-nCoV) en 10-15 minutes pendant l'infection Covid-19 COVID-19 (Corona Virus Disease) est une maladie infectieuse causée par le coronavirus le plus récemment découvert, le SRAS-CoV-2 (2019-nCoV). Le test rapide pour le diagnostic du SRAS-CoV-2 permet une détection qualitative des IgG et/ou des IgM dans le sérum, le sang total ou le plasma humains en 10 à 15 minutes environ. Les tests rapides sont basés sur le principe de l'immunochromatographie à flux latéral et sont disponibles sous forme de cassette.

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