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Le destin des Tsiganes pendant la Seconde Guerre mondiale

Le destin des Tsiganes pendant la Seconde Guerre mondiale
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Historienvirtuel - Reportage choc : les conditions de vie des Juifs d'Europe au temps d'Hitler* | The Virtual Historian Imaginez-vous en janvier 1933. Adolf Hitler vient d'être nommé Chancelier de l'Allemagne. Quelques mois plus tard, à Dachau, Hitler ouvre le premier camp de concentration pour prisonniers perçus comme "ennemis du peuple". Puis ce sera le boycott des commerces juifs, l'interdiction d'enseigner dans les universités ou de travailler dans la fonction publique. L'Allemagne nazie tira parti de l'instabilité politique en Europe pour étendre ses ambitions territoriales. C'est à grand renfort de propagande et d'idéologie raciste et antisémite que l'Allemagne et ses pays voisins seront alors le théâtre d'une des plus sombres pages de l'Histoire du XXe siècle: la ségrégation et l'assassination systématique des Juifs d'Europe (plus tard connue sous le nom d'Holocauste ou de Shoah). Cette activité en est une d'apprentissage et de mise en perspective des réalités entourant les conditions de vie des Juifs de l'époque de l’Allemagne nazie.

"Jusqu'au dernier", la destruction des juifs d'Europe Ces dernières décennies, l'histoire de la destruction des Juifs d'Europe s’est enrichie de nouveaux éclairages. Jusqu’au dernier porte la voix d’une soixantaine d’historiens internationaux de renom. Ils sont le coeur de cette série documentaire en 8 épisodes de 52 minutes consacrée à l’anéantissement des Juifs d’Europe. Notre objectif est d’appréhender ce sujet dans une vision d’ensemble : nous remontons à ses racines dans les années 30, puis nous analysons comment l’extermination des Juifs d’Europe a été mise en oeuvre et exécutée à l’échelle de tout un continent. Enfin, nous nous intéressons à ce qui a suivi l’ouverture des camps en nous interrogeant sur ce qu’a produit le destruction des Juifs d’Europe, depuis soixante dix ans, à travers le monde.

Les deux albums d'Auschwitz Chefs de projet Cyril Roy et Dominique Trimbur Chef de projet web Olivier Martzloff Un webdocumentaire écrit par Olivier Martzloff, Cyril Roy, David Tessier Conception Olivier Martzloff, Cyril Roy, Vianney Sicard, David Tessier Développement Olivier Martzloff, Vianney Sicard Création graphique David Tessier Sound Design David Tessier Infographie Aurélie Jaumouille Montage vidéo et encodage Bernard Taillat Analyses des photos Album d’Auschwitz : Marcello Pezzetti, Sabine Zeitoun (sauf photos 26 : Alexandre Bande) Sur les photographies présentées ici, des personnes ont pu être identifiées grâce aux chercheurs de l’Institut Yad Vashem de Jérusalem. Album de Höcker : USHMM, traduction Peggy Frankston, Cyril Roy. Notices historiques et fiches pédagogiques Alexandre Bande, Gilles Gaudin, Emmanuelle Hamon, Danielle Simon Voix Hélène Archereau Interview Lili Jacob Les interviews de Lili (Jacob) Meier (1996) sont issues des archives de l’USC Shoah Foundation. Ce site respecte le droit d'auteur.

L’affiche rouge Vidéo L’affiche rouge Contexte historique Une opération de propagande d’envergure Constitué et organisé entre la fin de l’année 1942 et février 1943, le réseau Manouchian fait partie du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée » (F.T.P.-M.O.I.). Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. Réalisée par les services de propagande allemands en France, « Des libérateurs ? Analyse des images L’armée du crime L’image est organisée en trois parties. Six photos (attentats, armes ou destructions) représentent enfin la menace qu’ils constituent à travers certains des attentats qui leur sont reprochés. Interprétation L’ennemi de l’intérieur « L’affiche rouge » entend d’abord présenter les membres du réseau Manouchian comme de dangereux terroristes. L’image insiste aussi sur le fait que cette « armée du crime » est constituée d’étrangers. Bibliographie

The Shoah Memorial Video Les camps de la mort notice archives video ina.fr Mémorial de la Shoah Le 7 avril 1994 au matin, le génocide des Tutsi au Rwanda débutait à Kigali et allait faire en trois mois plus d'un millions de victimes. Cette date a depuis été désignée par l'ONU Journée internationale de réflexion sur le génocide de 1994 au Rwanda et permet chaque année de se souvenir pour être capable de continuer à agir. En 1994, alors que la France commémorait le 50ème anniversaire des sombres épisodes de la Seconde guerre mondiale, comme la rafle des enfants d'Izieu le 6 avril 1944, et que le "plus jamais ça" résonnait dans tous les esprits, un nouveau génocide débutait au Rwanda. Tout ce qui est mort comme fait, est vivant comme enseignement écrivait Victor Hugo. En savoir plus

Le Louvre : Collections et Départements Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Soutenez le Louvre Accueil>Œuvres & Palais>Collections et départements Collections et départements Le musée du Louvre présente des œuvres de l'art occidental du Moyen Âge à 1848, des civilisations antiques qui l'ont précédé et influencé et des arts d'Islam. Rechercher une œuvre Œuvres : recherche spécifique Informations pratiques Visites & Activités Expositions & Actualités Œuvres & Palais Arts & éducation Soutenez le Louvre Missions et fonctionnement Le Louvre dans le monde Les bases de données Presse Editions et Productions audiovisuelles Média en ligne Rubriques transverses Espace personnel S’inscrire Haut de page © 2005-2011 Musée du Louvre - Tous droits de reproduction réservés AddToAny En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services adaptés à vos centres d’intérêts et réaliser des statistiques de visites

Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky En 2010, lors d’un déménagement au sein du lycée Jean-de-La-Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d’années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille. Internés à Drancy, le père, la mère et les quatre enfants ont été déportés à Auschwitz. Informée de cette découverte, Stéphanie Trouillard, journaliste de France 24, a prêté main forte à Khalida Hatchy, une professeure de l’établissement qui souhaitait reconstituer le parcours de cette jeune fille.

Les expériences medicales dans les camps nazis Compte-rendu du Commandant RAPHAËL, du Service Cinématographique des Armées. « Le vendredi 1er décembre 1944, au cours d'une visite à l'Hôpital Civil de Strasbourg pour rechercher du matériel photographique provenant de l'Institut allemand, le Commandant Raphaël, du Service Cinématographique de l'Armée, a constaté la présence dans le sous-sols du bâtiment de l'Institut d'Anatomie de cadavres entassés, dans des cuves peines d'alcool. Ces cadavres étaient destinés aux expériences du Professeur Hirth, Directeur de l'Institut. D'après les déclarations des employés alsaciens : Peter, Wagner et Gabel, ces corps auraient été livrés à l'Institut, sur la demande du Professeur Hirth, par un camp d'internés politiques (Schirmeck ou Struthof). Sur 120 cadavres commandés, 86 ont été livrés (dans la même journée, en plusieurs fois) à 5h du matin. Les corps étaient transportés nus, à raison de 50 par camion. Mr Bong devait être fusillé, et n'a pas été exécuté, afin de servir de témoin.

STRUTHOF, l'ancien camp de concentration de Natzweiler en Alsace | déportés, déportation et résistance Présentation de la Bataille de Verdun - Mémorial de Verdun La bataille de Verdun commence le 21 février à 7h15 avec un déluge de feu sur les forts et les tranchées. Pendant 10 mois, Français et Allemands vont s'affronter. Le chef de l'état major allemand Erich Von Falkenhayn veut en finir avec une guerre de position qui dure depuis la bataille de la Marne, commencée dix-huit mois plus tôt. Les Poilus résistent mais perdent le fort de Douaumont. Le 1er juillet, l'offensive sur la Somme est lancée.

« Solution finale ». Expression et projet Cet article a été publié avec le soutien de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah. L’expression « solution finale de la question juive » (Endlösung der Judenfrage) désigne, dans la langue nazie, le traitement des populations juives européennes, promises à la disparition. Cette disparition a revêtu, selon une chronologie fine, plusieurs modalités : l’émigration, l’expulsion-déportation, puis l’assassinat. Avant d’entrer dans la chronologie des politiques nazies, enjeu central de l’historiographie en ce qu’elle engage une interprétation globale du nazisme et du IIIème Reich, il est indispensable de revenir sur l’histoire de cette expression, née en Europe au XIXème siècle. Qu’est-ce que la « question juive » ? Qui dit « solution » dit « problème » ou « question ». Avec les progrès de l’émancipation, la « question juive » (comment faire des Juifs pleinement des citoyens ?) Quelle « solution » à la « question juive » ? L’antisémitisme nazi La politique nazie Le durcissement de 1938

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