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Internet est-il bon pour l'environnement et la planète?

Internet est-il bon pour l'environnement et la planète?
Faire ses courses assis devant son ordinateur, lire son magazine préféré sur une tablette, son polar sur une liseuse, se mettre à la visioconférence... La cause semble entendue : toutes ces activités seraient bonnes pour l'environnement, permettant d'économiser les transports, donc d'épargner les forêts et de réduire les émissions de CO2. Comme toujours, les choses ne sont pas si simples. Mais ce n'est pas tout. Tout commence avec les puces électroniques. Miniformat mais maxidégâts: l'impact écologique d'une puce électronique Des machines de plus en plus puissantes et énergivores En revanche, leur fonctionnement est de plus en plus "vert" : "La consommation électrique des microprocesseurs a été divisée par quarante en soixante ans, et le nombre de calculs effectués par kilowattheure double tous les dix-huit mois depuis 1946." Pour ne rien arranger, ces évolutions conduisent à l'obsolescence accélérée du matériel, donc au renouvellement du parc informatique. Related:  INTERNETVeille informative sur Internet

Finalement, Internet a-t-il tué l'industrie de la musique ? Ce billet a été rédigé par Elaine Sirois et Annick de Vries dans le cadre du cours Économie du document. L'année 2011 marque un point tournant pour l'industrie de la musique dans le monde. Selon l'International Federation of the Phonographic Industry (IFPI), dans plusieurs pays les lois anti-piratages commencent à faire leur effet sur le comportement des internautes et sur les ventes. Par exemple en France, la loi Hadopi permet d'envoyer des notices aux usagers qui utilisent des services d'échanges de fichiers en ligne (peer-to-peer ou P2P). D’autres mesures concernent la collaboration avec les ISP (Internet Sercice Providers). Des ventes en ligne en force La vente de musique en ligne commence à rapporter. Un nouveau joueur de taille : le streaming Mais ce n’est pas la manne (encore) Cependant, et c'est là le problème, les droits versés par ces sites de streaming aux compagnies de disques sont très faibles. Une adaptation continue 1.

Internet pollue autant que le trafic aérien mondial Selon un rapport publié par la Global e-Sustainability Intitiative (GeSI), la consommation internet pollue autant que le trafic aérien. Selon une étude, les serveurs informatiques utilisés par les géants du web produisent 2 % des émissions de C02 à l’échelle mondiale, ce qui représente à peu près autant que le trafic aérien. Une étude qui risque de faire beaucoup de bruit à deux mois de la COP21. Internet pollue autant que le trafic aérien Selon le GeSI (Global e-sustainability Initiative), Internet générerait 2 % des émissions de CO2 mondiales soit, à peu de chose près, la même quantité que le trafic aérien. A l’échelle de l’individu l’émission de CO2 est plutôt infime, mais le chiffre monte rapidement si l’on prend en compte les milliards d’utilisateurs à travers le monde. Les géants du web s’engagent à faire des efforts… Les résultats de cette étude risquent donc d’alimenter le débat lors de la COP21 qui se déroulera à Paris, du 30 novembre au 11 décembre. Source

Ecologie : Internet est-il respectueux de l’environnement ? Nombreux sont les internautes à ne pas avoir conscience de l’impact d’internet sur l’environnement, ou plus exactement ceux des serveurs web et de l’infrastructure en place pour faire fonctionner ces derniers. Cet état des choses étant selon toute vraisemblance et de façon compréhensible lié à la méconnaissance du fonctionnement du web. Dans un souhait de sensibiliser les non-professionnels à l’architecture du web et à l’important rejet de CO2 engendré par cette activité, la vidéo How Green Is Your Internet? Comme dévoilé, chaque seconde de vidéo regardée en ligne correspond à l’émission de 0.2 gramme de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre. Globalement, les 44 millions de serveurs correspondent à 2% du rejet total de la planète, soit l’équivalent de l’aviation ou d’un pays de la taille de l’Argentine ou la Suède. Source : Blog du Modérateur Baptiste Simon aka TiChou

Flash Eco : Google Maps/iPhone : succès en 2 jours L'application de cartographie Google Maps pour l'iPhone d'Apple, attendue avec impatience après l'échec du système concurrent du groupe à la pomme, a été téléchargée plus de 10 millions de fois dans les deux jours suivant sa sortie, a indiqué hier Google. L'application était sortie jeudi et il y a eu "plus de 10 millions de téléchargements en moins de 48 heures", se félicite Jeff Huber, l'un des vice-présidents de Google, dans un message posté lundi après-midi sur le réseau social du groupe internet, Google+. Google Maps était jusqu'à récemment intégré directement dans iOS, le système d'exploitation mobile d'Apple. Mais le groupe à la pomme l'avait expulsé de la toute dernière version d'iOS, faisant notamment fonctionner l'iPhone 5, et remplacé par son propre système de cartographie, Apple Maps. Au-delà de la simple question d'image, les systèmes de cartographie sont stratégiques pour les groupes technologiques.

Comment utiliser efficacement les moteurs de recherche ? Si Internet représente une masse d'informations colossale, il peut être fastidieux de trouver le renseignement que vous recherchez. Pourtant, il est possible d’optimiser ses requêtes pour des résultats plus précis. De même, si Google domine le marché français, il n'est pas seul et d'autres recours peuvent être plus efficaces en fonction de ce que vous souhaitez. Bien choisir son moteur de recherche En effet, en plus des gros moteurs généralistes Google, Yahoo, Msn Search, Voila, il existe un grand nombre d'outils spécialisés sur certains sujets. Comment fonctionne un moteur de recherche ? Connaître les bases du fonctionnement d'un moteur s'avère intéressant pour utiliser celui-ci au mieux. Ces critères sont dits in the page, c'est à dire qu'ils concernent le contenu de la page. Les résultats proposés par le moteur sont donc issus d'une équation prenant en compte tous ces paramètres. Bien choisir ses mots clés Les moteurs ne sont que de simples robots. La syntaxe +politique +france

Mails et recherches Internet ont un impact sur l’environnement Spammer, googler, c’est aussi du CO2 émis et des ressources consommées: l’Ademe publie une étude sur l’impact des TIC, loin d’être anecdotique, et égrène plusieurs recommandations. L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) publie ce jeudi une étude sur l’impact environnemental des TIC, mesuré pour le courrier électronique, les requêtes Web et les clés USB. Elle a été réalisée par Bio Intelligence Service (BIOIS). BIOIS avait réalisé en 2008 un rapport pour la Commission européenne (« Impacts of Information and Communication Technologies on Energy Efficiency »), qui estimait que les TIC contribuaient, en 2005, à 2% des émissions européennes de gaz à effet de serre, et pourraient atteindre d’ici 2020 près de 4% des émissions en poursuivant sur les mêmes tendances. L’étude menée pour l’Ademe amène l’agence à faire plusieurs recommandations – souvent de bon sens – pour limiter cet impact environnemental des technologies de l’information. Clés USB Et l’ordinateur alors?

Chiffres : le nombre d’internautes a doublé en 5 ans dans le monde Il y a actuellement 2,27 milliards d’internautes dans le monde dont plus de la moitié (53,8%) se trouvent en Asie. Ces chiffres proviennent de Royal Pingdom qui a mesuré la croissance entre 2007 et 2012. Il y a 5 ans, la population des internautes s’élevait à 1,15 milliard. C’est en Asie (de 418 millions en 2007 à plus d’1 milliard en 2012), en Afrique (de 34 à 140 millions), en Amérique latine (de 110 à 236 millions) et au Moyen-Orient (de 20 à 77 millions) que la progression du nombre d’internautes a été la plus forte. L’Europe a également connu une croissance importante, passant de 322 à 501 millions. C’est donc en Asie que se trouve plus de la moitié des Internautes (53,8%) suivie de l’Europe (16,1%), l’Amérique latine (11,3%), l’Afrique (9,6%), le Moyen-Orient (5,2%) et l’Amérique du Nord (3,6%).

Rechercher sur Internet Décembre 2016 Rechercher sur Internet Etant donné le nombre de pages web présentes pour le Web, il est nécessaire d'utiliser un outil pour rechercher une page spécifique correspondant à des critères de recherche: le moteur de recherche. Pour utiliser un moteur de recherche, il suffit de saisir des mots-clés dans un champ prévu à cet effet, de valider et d'attendre les réponses du moteur. Le moteur cherche les pages contenant ces mots clés ou pointées par des sites à l'aide de liens hypertextes contenant ces mots-clés. Si le moteur ne trouve aucun résultat et renvoie un message du type « Aucune réponse ne correspond à vos critères », il faut alors élargir la recherche avec d'autres mots clés en rapport avec le sujet de votre recherche, ou bien en enlever certains. Dans le cas contraire, c'est-à-dire trop de réponses, il faut resserrer la recherche en ajoutant des contraintes, comme l'obligation de donner les réponses contenant uniquement tous les mots demandés ou bien en excluant des mots.

Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 7 juin 2012. La première révolution engagée par la culture numérique est culturelle La culture du livre est une culture de l’un, dominée par une conception verticale du savoir : celui qui sait écrit un livre pour ceux qui ignorent. Par le livre, ils accèdent à la connaissance du clerc, ou du savant. La seconde révolution engagée par la culture numérique est cognitive. Si la culture du livre était capable de relayer toutes nos possibilités psychiques, la culture numérique n’aurait jamais été inventée ! La troisième révolution engagée par la culture numérique est psychique. Les technologies numériques modifient enfin le fonctionnement psychique de plusieurs façons. 1. Ces trois révolutions ne font pas de la culture des écrans une « sous culture » inférieure celle du livre, mais une culture différente, chacune avec ses points forts et ses faiblesses, ses excès et ses impasses.

Des chiffres pour les Facebook-couillons (F-couillons) Ce matin je regardais la toujours très réussie revue du lundi de WAS, quand je suis tombé sur ce chiffre : 89% des agences de publicité s’apprêtent à utiliser Facebook pour leurs clients… Cela m’a laissé un sale goût dans la bouche. L’impression que les agences (et les annonceurs qui les écoutent) ne lisent que les chiffres qui les arrangent. L’impression d’être revenu à l’époque SecondLife où les investissements étaient réalisés n’importe comment, “pourvu qu’on y soit”. Alors, j’ai décidé de vous donner d’autres chiffres. Les status des pages Facebook de marque ne toucheraient que 17% des fans. Vous devez donc enlever 83 % de vos fans quand vous comptez votre audience ! C’est la baisse des impressions moyenne des articles sur Facebook depuis juin 2011. En clair : Impressions = Reach * Frequency Et cette impressions baisse. Espérons que vos articles ne vous ont pas coûté trop cher à produire… Seulement 1% des fans s’engagent avec la marque sur Facebook nous dit l’Institut Ehrenberg-Bass.

Document sélectionné pour la première partie, car il pose les bases de notre thème et présente la pollution liée à l'utilisation d'internet. L'auteur présente le problème, en s'inspirant d'un ouvrage de chercheurs (CNRS), ce sont donc des recherches fiables. by bascobearnais Mar 17

Document sélectionné pour la première partie, car il nous informe sur les impacts environnementaux causés par internet et toutes ses infrastructures. L'auteur renseigne et informe, en se référant à un ouvrage du CNRS, ce sont donc des valeurs sûres et des recherches poussées. by matmae2 Mar 3

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