background preloader

AEF, agence d'informations spécialisées

AEF, agence d'informations spécialisées
Vos préférences en matière de cookies En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement. Vous pouvez modifier ci-dessous ces consentements à tout moment. Mesurer et améliorer la performance du site Les services de mesure d'audience et d’amélioration de performance du site sont nécessaires à son fonctionnement optimal en permettant sa bonne administration. Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt L’affichage d’une publicité personnalisée par nos partenaires en fonction de votre navigation et de votre profil et la mesure de son audience nous permet notamment de financer la fourniture gratuite de services de qualité pour nos utilisateurs. Partager sur les réseaux sociaux Pour vous permettre de partager le contenu demandé sur les réseaux sociaux, notre site utilise des traceurs. Related:  Innovation socialeRéforme du baccaulauréat

The Chief Innovation Officer should be in charge of new territories. Not more. Not less. | Albert Meige Quand la réforme du baccalauréat questionne les missions du chef Le président de la République avait annoncé dans son programme électoral que le baccalauréat serait réduit à quatre épreuves finales. Le ministre de l’Éducation nationale a annoncé une réforme respectant cet objectif, mais déplacé un certain nombre d’épreuves en milieu d’année de première et de terminale. Quelles conséquences sur les tâches et missions des chefs d’établissement de lycée ? « Le bac est trop lourd… C’est une usine à gaz… Les épreuves facultatives s’y additionnent aux épreuves optionnelles qui se superposent aux épreuves communes qui, elles-mêmes… » L‘opinion publique comme les personnels de l’Éducation nationale sont enfin persuadés de la nécessaire réforme du baccalauréat. Le ministère de l’Éducation nationale s’en empare donc, et en profite, chemin faisant, pour modifier le lycée, afin que l’un soit en adéquation avec l’autre. Une consultation menée par Pierre Mathiot est installée au pas de course. L’essentiel devra-t-il passer après ? Des tâches chronophages

Agenda Les projets de développement sont souvent loin d’atteindre l’ensemble des objectifs de départ, et leurs effets à long terme, après projet, sont souvent sujets à caution. L’un des principaux facteurs limitant leur efficacité est l’insuffisante prise en compte du contexte local, des acteurs, de leurs valeurs, de leurs aspirations véritables, de leur volonté et de leurs capacités à les atteindre. La mise en œuvre de projets de développement est confrontée à des injonctions contradictoires : d’une part, la nécessité d’agir vite et celle d’appréhender soigneusement le contexte, les acteurs en présence, les déterminants du changement, etc. ; d’autre part, l’exigence de renforcer les capacités des acteurs à long terme, d’accompagner des processus endogènes et pérennes, et celle d’afficher des résultats rapides. La période actuelle voit donc – y compris au sein de l’AFD – une prise de conscience de la nécessité de faire évoluer la manière de « penser » le renforcement des capacités.

Mutuelles étudiantes : les finances malades de la LMDE Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Corentin Dautreppe et Maxime Vaudano La première mutuelle étudiante de France connaît des difficultés financières préoccupantes, selon des documents révélés par Le Monde. Chroniquement déficitaire depuis plusieurs années, elle pourrait être englobée à terme dans le groupe MGEN, la mutuelle des enseignants. La Mutuelle des étudiants (LMDE) est un grand corps malade. Au-delà des problèmes de qualité de service médiocre, pointée tour à tour par l'association de consommateurs UFC-Que choisir et la commission sénatoriale Procaccia-Kerdraon, la première des mutuelles étudiantes accumule les difficultés financières, comme le montrent les documents que Le Monde a pu consulter. Cette situation chroniquement déficitaire, la mutuelle n'a pu la surmonter que grâce à l'appui d'un "partenaire historique" : la Mutuelle générale de l'éducation nationale. Ce fatalisme n'a pourtant pas toujours existé. Le gouvernement se refuse pour l'instant à ouvrir ce nouveau front.

Pour une innovation utile ? Pour une innovation utile ? Il faut bien le dire, on vous a menti. Vous espériez une innovation moderne, adaptée, maline et progressive et paf, c’est l’inverse qui est arrivé, et vous êtes bien embêtés. Le plus génant, bien sûr, est que vous voudriez le croire. Prenons Uber au hazard. On me fait remarquer dans l’oreillette qu’en fait Uber crée des emplois dans la banlieue là où le système français crée de la ségrégation sociale, spaciale et économique à fond la caisse et que c’est un mystère de pourquoi-comment Uber est utile là bas. Tu me diras, Uber c’est du beurre, du mou, du bouzin, du pipo, de la comm pour ados. Je te disclose le truc. Arrivé à ce point, je me fais l’effet du mec fatigué, complétement usé par la vie, qui se demande à quoi ça sert tout ça, et tout cette comm de bavardage merdasse, dans le ventilo. Demain, c’est décidé, je change tout.

Conséquences sur les usages avec Pearltrees profit for Non Profit Awards Les finances des mutuelles étudiantes sur la sellette Recevez nos newsletters : La LMDE, première mutuelle étudiante de France connaît des difficultés financières préoccupantes. Alors que la situation financière de la LMDE, la première mutuelle étudiante est «fragile», comme le reconnaît sa présidente, Vanessa Favaro, la Mutuelle Générale de l’Education Nationale (MGEN) a décidé de lui prêter main forte, selon Les Echos. Un dossier a été déposé à l’Autorité de contrôle prudentiel en vue d’un adossement de la LMDE. Une solution qui apparaît assez logique au vu des liens qui unissent déjà les deux mutuelles. La MGEN sert en effet de mutuelle «substituante » à la LMDE, c’est-à-dire qu’elle assume ses obligations de solvabilité, la mutuelle étudiante née sur les décombres de la MNEF en 2000 s’étant constituée sans fonds propres. La MGEN vient de faire une avance de fonds à la LMDE de 3 millions d’euros ,selon une enquête du Monde du 19 février pour éviter qu’elle ne soit en rupture de paiement. Un portrait apocalyptique dressé par le Sénat

Le Devoir | Nouvelles, actualités, politique, culture et chroniques Les innovations sociales surgissent dans tous les secteurs d’activité, tant dans le public que dans le privé. Néanmoins, on en trouve une concentration particulière dans les services consacrés aux personnes. Or, s’il y a un domaine qui a souffert des politiques d’austérité, c’est bien celui-là, qu’on pense aux centres de la petite enfance, à l’aide à domicile ou aux (défunts) centres locaux de développement, pour ne nommer que ceux-là. « C’est certain que les coupes de l’État ont une incidence forte sur les innovations sociales », constate Benoît Lévesque, professeur émérite au Département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal et professeur associé à l’École nationale d’administration publique. « C’est grave, car nous sommes désormais dans une économie de la connaissance, rappelle-t-il. Si on ne fait pas assez de recherche, on se tire dans le pied. Les pays qui réussissent le mieux sont ceux qui consacrent plus de 2 % de leur PIB à la recherche et au développement.

Lycées : accélerer la transformation numérique Afin de répondre aux enjeux de l’école du XXIe siècle, la Région Île-de-France favorise les pratiques collaboratives entre lycées et start-up, mais aussi entre lycéens afin de les impliquer davantage dans la vie de leur lycée. La Région et les lycées pilotes ont notamment organisé 2 « hackathons » pour leur permettre d’inventer leur lycée du futur. Connexion au très haut débit et au wifi 3 lycées sur 5 seront connectés au très haut débit d'ici la fin de l'année 2017. Monlycée.net: le réseau social éducatif des lycéens Nouveau portail de services 100% mobile, accessible sur smartphone, monlycee.net propose de nouveaux outils de collaboration et va permettre une meilleure communication pour toute la communauté éducative, lycéens, professeurs, personnels des lycées et parents. Les start-up entrent dans les lycées Photo : © Ludovic Le Couster/Picturetank

Related: