background preloader

Google Night Walk

Google Night Walk
Related:  WebdocumentairesGéographie

B4 B4 / fenêtres sur tour un webdocumentaire de Jean-Christophe Ribot avec la collaboration de Vincent Voulleminot & Sarah Gruhier une production de Mosaïque films RÉSUMÉ Une façade d'immeuble, 12 étages, 12 locataires, 12 portraits qui se dessinent, de la cuisine au salon, devant l'embrasure d'une fenêtre ou un écran de télévision. Du portrait intime au repas de famille, les fenêtres de ce grand ensemble regorgent de vie, de moments singuliers et d'atmosphères particulières. L'EXPÉRIENCE B4 La navigation B4 c'est 8 morceaux de vies de 12 habitants de banlieue d'Ile-de-France, soit 96 petits films : une mosaïque de fenêtres qui forment un grand ensemble et dessinent le portrait sensible d'un immeuble où les trajectoires personnelles se croisent, où la diversité des caractères et des regards sur le monde s'éclairent les uns les autres. 12 LOCATAIRES À DECOUVRIR À TRAVERS 8 FILMS. 3) L'embrasure d'une fenêtre prend vie lorsque la silhouette d'un habitant se profile.

Amsterdam, une ville plus intelligente que les autres ? Energie, transports, habitat, communications... Révolutionner l'organisation urbaine grâce au numérique : l'idée fait son chemin depuis une dizaine d'années. Avant-goût à Amsterdam, métropole pionnière. C'est un péril imperceptible, et pourtant il pourrait faire sombrer Amsterdam, ville de carte postale aux canaux quatre fois centenaires, dans un cauchemar sans issue. Selon les Nations unies, 75 % de la population mondiale vivront dans des villes et des conurbations en 2050. Plus efficace, moins dépensière Le bureau de Maaike Osieck donne sur le port, à l'arrière de la gare centrale. La dénomination de smart city (en français, plutôt maladroitement, on dit « ville intelligente ») s'est imposée partout dans le monde depuis huit ans. Deux grands secteurs sont prioritairement concernés lorsqu'une municipalité investit dans des protocoles pilotés par des technologies numériques : la circulation routière et la consommation d'énergie. Ecoconception et recyclage L'âge du télétravail

Le souffleur - Promenades Sonores Photos : Christophe Perruchi À la nuit tombée, muni d'une petite lampe torche, le marcheur observe ces trésors cachés que sont les pochoirs. Alors que la ville retient son souffle, celui des bombes aérosol s'accélère. Pour comprendre l'enjeu du « pocheur », entre rapidité d'exécution et qualité de l'oeuvre, une petite séance de gymnastique est proposée qui lie gestes et sons du pocheur. Repartir. Un peu plus tard, les battements sourds de la ville, des usines, de l'ordre imposé et du désordre qui s'en suit prennent peu à peu le dessus. Demain nous reviendrons, suivre d'autres traces au son du souffle du pocheur. Accessoiriste plateau sur des long-métrages, compositeur et musicien pour le théatre, le cinéma et la scène. De projets inconnus (La Boucle) aux plus connus (Noir Désir), du théatre (Cie Tandaim, Marseille) au cinéma (Zabou Breitman), je mélange mélodies, voix, instruments et matières sonores juste parce que j'adore ça.

Anne Frank au pays du Manga - ARTE L’explosion des villes C'est en 2007 que la planète a changé de monde. Depuis cette année, la majorité de ses habitants vit en ville. La rupture a été relativement rapide. En 1950, 30 % des Terriens seulement (750 millions de personnes) résidaient en zone urbaine. Dès 2030, les citadins représenteront 60 % des habitants de la planète (5 milliards) et les deux tiers (6,3 milliards) vingt ans plus tard. Population urbaine et rurale dans le monde, en milliards Nations unies, division de la population Une progression continue qui s’explique à la fois par la croissance démographique naturelle des villes, par la poursuite de l’exode rural et par la conquête de nouveaux espaces en périphérie des zones déjà citadines. Pour autant, l’intensité de la transformation varie d’un pays à l’autre. Part de la population urbaine en 1950 et en 2030, en % L’aspect le plus spectaculaire de ce basculement urbain est l’apparition de mégapoles (plus de 10 millions d’habitants).

SoundMap Quoi ? La cartographie sonore de Bruxelles fait émerger l’identité, polyphonique, de la ville. Ses paysages sonores sont en constante évolution. Les sons que vous pouvez écouter ont été enregistrés dans le cadre de collectes thématiques ou spontanées, collectives ou individuelles, professionnelles ou amateurs. Prises de son brutes ou montées, elles ont toutes en commun d'avoir été enregistrées in situ. Cette carte est participative : tout le monde peut facilement y contribuer. Comment ? Enregistrez un son à Bruxelles et postez-le sur la carte, soit par pointage du curseur, soit en entrant une adresse. Pourquoi ? L’objectif est de créer, ensemble, une carte sonore qui soit véritablement représentative de Bruxelles : polyphonique, polyglotte, connue ou inédite, intrigante, résonnante, susurrante, assourdissante, inaudible... Contact : any AT bna-bbot DOT bewww.bna-bbot.be

Missions Printemps - ARTE Missions Printemps est la plus grande enquête de sciences participatives sur le printemps 2012. 12 missions à réaliser pour aider les scientifiques à comprendre les effets du changement sur la flore et la faune. L'opération s'est déroulée entre février et juin 2012 sur le site d'ARTE en collaboration avec le CNRS et Universcience. Du 28/02/2012 au 01/05/2012 Pour cette première mission, rendez-vous sous terre ! Découvrir les vers de terre au printemps. Urbanisation en hausse, agriculture intensive, usage de pesticides, réchauffement climatique... Le grand recensement des vers de terre : Une seule carte de la répartition des vers de terre a été réalisée à ce jour dans l’histoire de France. Les conditions idéales de la mission « vers de terre » : Quand : de janvier à mars (avril pour les zones enneigées ou humides), lors de la période d’activité maximale pour les vers de terre. Météo : température entre 6 et 10°C. Moment de la journée : De préférence le matin, par temps couvert. Daniel Cluzeau :

Au cœur de Bombay : le bidonville de Dharavi Le bidonville de Dharavi situé en plein cœur du Grand Bombay, et le gigantesque projet de re-développement visant à le métamorphoser en quartier huppé de classes moyennes aisées, sont une illustration parfaite de l’orientation néolibérale de la classe politique indienne dans son ensemble, qui reste obstinément sourde et aveugle aux besoins des pauvres, représentant pourtant plus de 60% de la population urbaine de la mégapole indienne. Démonstration. I - Dharavi, un bidonville hors du commun Les bidonvilles (1) s’étalant au ras du sol font partie de l’image d’Epinal de Bombay (rebaptisée Mumbai), au même titre que les gratte-ciels de la capitale financière et commerciale de l’Inde. Une des voies d’entrée dans Dharavi, depuis la station de train de Mahim Parmi cette multitude de bidonvilles, celui de Dharavi est réputé pour être l’un des plus grands d’Asie mais c’est surtout l’un des plus anciens. Aujourd’hui, Dharavi occupe une superficie de plus de 200 hectares. « 90 Feet Road »

Écoutez le Paris du XVIIIe siècle Paris comme vous ne l’avez jamais entendu ! C’est l’expérience que propose la musicologue Mylène Pardoen, du laboratoire Passages XX-XXI, à travers le projet Bretez. Un nom qui n’a pas été choisi par hasard : la première reconstitution historique sonore conçue par ce collectif associant historiens, sociologues et spécialistes de la 3D1, a en effet pour décor le Paris du XVIIIe siècle cartographié par le célèbre plan Turgot-Bretez de 1739 – Turgot, prévost des marchands de Paris, en étant le commanditaire, et Bretez, l’ingénieur chargé du relevé des rues et immeubles de la capitale. 70 tableaux sonores C’est plus précisément dans le quartier du Grand Châtelet, entre le pont au Change et le pont Notre-Dame, que la vidéo de 8 minutes 30 transporte le visiteur. « J’ai choisi ce quartier car il concentre 80 % des ambiances sonores du Paris de l’époque, raconte Mylène Pardoen. Valoriser le patrimoine « Tous les sons sont naturels, précise Mylène Pardoen. Tous les sons sont naturels.

Fukushima - Monsieur et madame Kowata ont deux enfants : Kento a 12 ans et Yuka 10 ans. Ils habitaient à Minamisoma. Le réacteur N°1 explose. Ils évacuent. Ils reviennent le lendemain pour reprendre des affaires. Et là le réacteur n°3 explose à son tour. Lilie, sans domicile fixe à Quimper : « Juste qu'on me dise bonjour » « Je suis révoltée. Il faut que les choses avancent. » Lilie a aujourd'hui 38 ans et un grand ras-le-bol. Depuis son enfance, elle a connu toutes les galères : placement, viol et la rue pendant sept longues années. Pourtant elle reste debout, souriante. Ses phrases percutantes n'ont d'égal que sa combativité. « La rue ce n'est pas un choix. Personne ne veut vivre dans la rue. » Petite, cheveux courts et grisonnants, les traits tirés par la fatigue, elle marche dans le centre historique. Mon compagnon de galère À force de marcher, elle a parfois l'impression de ne plus appartenir à la société. Un jour, il y a un an, elle en a eu marre. Pas de toit mais des milliers d'idées Seul hic : comment trouver un travail ou un logement quand on a un compagnon à quatre pattes ?

Home Une contre-histoire des internets - ARTE

Related: