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Les bonnes associations de plantes au jardin

Les bonnes associations de plantes au jardin
L’association de certaines plantes entre elles permet d’obtenir de belles récoltes et d’avoir un beau jardin en excluant l’utilisation d’engrais chimiques et pesticides. Cette technique appelée « compagnonnage » consiste tout simplement à associer, au sein de mêmes cultures, des plantes compagnes l’une de l’autre qui peuvent s’échanger divers services comme par exemple avoir une action répulsive ou toxique sur des insectes spécifiques. Le compagnonnage était pratiqué principalement avant l’invention des pesticides chimiques, mais il est à nouveau utilisé depuis quelques années dans le cadre notamment de la permaculture et du jardinage biologique. La biodiversité : L’assurance santé de votre jardin potager ! Plus la diversité de légumes, de plantes aromatiques, de fleurs et de plantes à fruits est importante dans le potager, plus les risques de maladies et de présence de ravageurs diminuent. Des plantes répulsives contres les ravageurs ! Marre du désherbage ? Vous avez aimé cet article ? Related:  Permaculture

Associations de plantes | Quand l'élève est prêt, le maître arrive Les cultures associées ou l’association de culture L’alternance et l’association des cultures consistent à faire des cultures associées à leur mutuel bénéfice. Cette technique de cultures associées est aussi appelée « compagnonnage de plantes » Dans l’agriculture moderne, les associations d’espèces de plantes ont quasiment disparues : notamment les associations de graminées et de légumineuses qui sont très fréquentes dans la nature, notamment dans les systèmes prairiaux. Les associations de culture ont quasiment disparu des agrosystèmes du fait de l’agriculture intensive. Avec l’association des cultures, ce que cherche le jardinier ou l’exploitant agricoles, c’est à « minimiser les intrants » (engrais, produits phytosanitaires pesticides ou herbicides, azote, eau) et une plus grande efficacité des systèmes de production dans une logique de développement durable ou de jardinage écologique. Les plantes compagnes sont des plantes qui s’associent de manière vertueuse. Par exemple :

Comment tester le pH de votre sol Étapes <img alt="Image intitulée Test Soil pH Step 1 preview" src=" width="728" height="410" class="whcdn"> Soil pH Step 1.360p.mp4 00:00 -00:09 00:10 spaceplay / pauseescstopffullscreenshift + ←→slower / faster (latest Chrome and Safari)←→seek . seek to previous 12…6 seek to 10%, 20%, …60% 1Creusez un petit trou dans votre terre.Utilisez une truelle ou une bêche pour faire un trou entre 2 et 4 cm de profondeur. Ameublez votre sol et enlevez du trou touts les débris étrangers ou les brindilles. Méthode 1 sur 3: Tester le pH de votre sol en utilisant du chou rouge Méthode 3 sur 3: Modifier le pH de votre sol Conseils Avertissements Autres langues: 8 associations de plantes testées au potager et verger bio Qui n’a jamais entendu parler de l’association de la tomate et de l’œillet d’inde ? Du poireau et de la carotte ? Des trois sœurs ? Cette dernière est probablement un peu moins connue en France. Cette année je vais expérimenter 8 associations de plantes jamais testées dans mon potager, certaines sont bien connues par les jardiniers, d’autres moins. Les trois sœurs – Haricot Maïs Courge Maïs Haricot Courge Cette association est relativement bien connue, davantage outre atlantique car elle était traditionnellement utilisée par les ethnies amérindiennes d’Amérique du Nord et d’Amérique Centrale. Comment procéder en pratique ? Semez en ligne le maïs doux par poquet de 2 ou 3 graines tous les 30 cm. Chou – Mélisse – Cosmos Melisse La mélisse, surnommée le piment des abeilles est une plante mellifère très plaisante au potager. Les cosmos sont des fleurs à la mode dans les jachères fleuries. Capucine – Poirier – Menthe Jeunes capucines qui seront bientôt transplantées près des poiriers Souci

Des semences en accès libre pour se libérer des brevets Le mouvement des Graines en "open source" place les semences dans le domaine public, pour empêcher qu’elles soient brevetable. Le plus grand reproche qui est fait à des groupes agro-industriels ou de chimie comme Montsanto, plus encore que les techniques de plantes OGM, est sans doute celui de vouloir s’accaparer la propriété du vivant, et notamment des graines. L’initiative « Graines open source » ou « semences open sources » vise à les en empêcher. Pour éviter que de nombreuses semences de plantes usuellement cultivées, une initiative dénommée Open Source Seed Initiative ou OSSI entreprend depuis 2001 de développer des semences en " open source" , c’est-à-dire libres de droits ou brevets. Il s’agit de préserver pour chaque agriculteur ou chaque jardinier la possibilité de cultiver les espèces de leur choix sans avoir à passer par des graines dont les Du Pont, Syngenta ou Monsanto s’accaparent la propriété. L’OSSI propose actuellement 29 variétés de 14 végétaux largement cultivés.

Potager "bio": Associez des fleurs pour protéger les légumes - Vireux Rive Gauche Plantez des myosotis autour de vos pieds de framboisiers pour tenir éloigner les vers du framboisier. Les soucis ont la réputation de tenir éloignés les insectes, plantez-en dans votre potager en les mariant aux carottes, aux choux et aux laitues. Plantez des capucines entre vos rangs de tomates, choux, carottes, pommes de terre et haricots pour tenir éloigné les mouches blanches (aleurodes). Mariez les oeillets d'inde au feuillage odorant avec les tomates , les choux, les haricots, les carottes, les pommes de terre et les poireaux pour leur effet nématicide et contre les aleurodes. Leur odeur fait fuir bon nombre d'insectes et ils favorisent le développement des tomates. Déposez des branches de genêts entre vos rangs de choux pour tenir éloigné la chenille du chou. Pour augmenter votre production de haricots, plantez parmi eux des pois de senteurs qui attireront les insectes pollinisateurs. •Associez les légumes entre eux Mariez la bourrache avec l'aubergine, le chou et les fraisiers.

Un fertilisant naturel aux vertus surprenantes qui fait de plus en plus d'adeptes Des résultats surprenants, de meilleures récoltes, sans chimie ni nitrates. (PATRICIA DE MELO MOREIRA /AFP) Secret de fabrication bien gardé, unité de transformation fermée à double-tour: l'éleveur Marcel Mezy installé à Lioujas (Aveyron) commercialise depuis l'Aveyron un fertilisant naturel qui a déjà convaincu des milliers d'agriculteurs de se détourner des engrais chimiques classiques. "En finir avec les engrais chimiques" A ce jour, 5 000 exploitations sur 350 000 en France utilisent les granulés certifiés Agriculture biologique renfermant un cocktail de micro-organismes élaboré à partir de composts de matières végétales par ce chercheur-paysan dans sa ferme de Grioudas. Les clients vont du producteur d'échalotes du Finistère à l'endivier du Pas-de-Calais, en passant par les chefs Sébastien et Michel Bras, trois étoiles au Guide Michelin à Laguiole (Aveyron). "Pour la première fois, on a un produit naturel et efficace, supérieur en terme de rendement aux engrais classiques (...)

LE JARDIN DE PASCALINE: Récupération pour bouture Pour les prochains trocs j'ai besoin de beaucoup de contenants afin d'y faire des boutures à échanger. Et oui, j'ai voulu faire la maline et me suis engagée à faire deux trocs le même mois ! Alors je suis à l’affût de tout ce qui pourrait contenir une bouture ! Comme les rouleaux de papier toilette : Je l’aplati deux fois pour avoir les marques de 4 pliures face à face. Ce sont mes repères pour couper. Je trace à 2 cm sur chaque pliure Je coupe aux 4 repères Je plie à cette hauteur les 4 pattes ainsi obtenues Les unes après les autres, les unes sur les autres Après avoir plié le 4e, je force un peu pour attraper la première qui se mettra sur la 4e Pour bloquer l'ensemble Et voilà ! avec son contenant qui se dégradera dans la terre. Par contre, ils sont eux-même dans des caisses en plastique pour ne plus les manipuler car une fois humide, c'est assez fragile.

L’eau solide qui pourrait révolutionner l’agriculture mondiale Sergio Rico, ingénieur polytechnicien mexicain, est l’inventeur de la pluie solide, une potion magique très simple qui pourrait révolutionner l’agriculture mondiale. Depuis une dizaine d’années, le Mexique subit des sécheresses terribles dans le nord du pays. Sergio Rico, sensible aux problèmes de pauvreté, de famine et de migration, a cherché comment mieux utiliser les faibles pluies qui tombent malgré tout sur ces zones arides. "En travaillant sur la récupération de l’eau de pluie, déclare Sergio Rico, nous avons trouvé le moyen de la solidifier pour lui donner une autre valeur. Je me suis inspiré des couches pour bébés qui permettent d’absorber un liquide dans un minimum d’espace, et c’est à partir de là que j’ai eu l’idée de transformer l’eau de pluie en la gardant sous forme moléculaire dans un acrylate très absorbant dont la caractéristique est d’emmagasiner jusqu’à 500 fois son poids en eau sans en modifier la structure chimique." Les plantes n’ont aucun stress Like this:

Abris à insectes : les conseils d’un pro Qu’on les appelle hôtels, abris ou chalets à insectes, ils sont très tendance dans une période où l’on se préoccupe de plus en plus d’écologie. Mais ont-ils un véritable rôle dans la biodiversité ? Des questions que nous avons posées à un spécialiste, Philippe Bérenger-Lévêque, qui nous en décrit l’intérêt mais nous donne aussi des conseils. Exemple d’abri à insectes dans le jardin du Luxembourg à Paris - © J. Jardins de France : Pouvez-vous nous expliquer l’intérêt de construire un abri à insectes ? Philippe Bérenger-Lévêque : La destruction de l’environnement, des lieux de biodiversité entraine la disparition des abris des insectes que sont les bois morts, les troncs et leurs écorces, les branches, les souches, y compris les petites branches mortes sur les arbres sains. JdF : Y a-t-il des préalables avant de décider de construire un hôtel à insectes ? P. JdF : Il faut donc semer, en plus des espèces ornementales, des plantes indigènes, donc qui poussent naturellement dans la région. P.

Une forêt comestible de 7 hectares se développe à Seattle L’une des plus grandes forêts comestibles au monde établies sur un espace public pousse actuellement à Seattle. Fort de quelque 100 bénévoles, le projet vise à créer selon le principe de la permaculture un agrosystème autonome de 3 hectares. La Beacon Food Forest offrira des bénéfices environnementaux, économiques et sociaux très concrets aux habitants de la ville. © Beacon Food Forest Aux confins du nord-ouest américain, non loin de la frontière canadienne, la ville de Seattle voit germer une forêt qui pourrait faire un peu d’ombre au mondialement célèbre Central Park de New York. Jouxtant le Jefferson Park au cœur du quartier de Beacon Hill et située à 4 km du centre ville de Seattle, la Beacon Food Forest était à l’origine en 2009 un projet de fin d’étude. 120.000 dollars de subventions municipales allouées en 2010 et 2011 lui auront permis de voir le jour. Des fruits à tous les niveaux Première récolte à l’été 2014 Nicolas Blain

Papillons & Jardin • Afficher le sujet - un Hôtel à Insectes en construction voici le suite de l'hôtel 1. Paille pour les chrysopes2. bambous pour les osmies (abeilles solitaires)3. Pots à l'envers remplis de paille pour les perce-oreilles et Pommes de pins pour les carabes4. Tuiles pour que les insectes se glissent entre avec au fond de la paille5. Syporex voir si des insectes viennent , le syporex étant une matiere tres légere, qu'on utilise dans les constructions, une fois percé on dirait de la craie6. reste à mettre des fagots à tiges à moelle (ronce, framboisiers, buddleia, sureau) pour les divers hyménoptères notamment les syrphesdes roseaux des planches espacées légerement pour les coccinellesremplir un peu plus chaque case faire un toitet graver une belle planche en bois ou sera écrit hotel à insectes suite plus tard _________________Avec tout ce que je sais je ferais un livreAvec tout ce que je ne sais pas je ferais une bibliothèque

INDE: Colère après l’empois... Binette-et-cornichon.com, à vos bêches moussaillons !

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