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Les 5 meilleurs restaurants japonais de Paris

Les 5 meilleurs restaurants japonais de Paris
SÉLECTION - À l'occasion de la deuxième édition de Japan Eat Good, zoom sur nos adresses du moment pour déguster sushi, donburi, gyoza, udon et izakaya. Jusqu'à fin mars, la deuxième édition de Japan Eat Good, initiative soutenue par le ministère de l'Agriculture, des forêts et de la pêche japonais, bat son plein dans la capitale. À travers des cours de cuisine, des circuits shopping et des dégustations, l'objectif est de faire connaître au grand public la diversité des produits culinaires japonais (dashi, yuzu, miso, saké ou sauce soja). Parcours Japan Eat Good, du 17 février au 23 mars à Paris. Le Figaroscope profite de cet événement pour vous livrer ses cinq adresses du moment où déguster certaines spécialités nippones dans la capitale. Pour des sushi: Isami Au coeur de l'île Saint-Louis, loin de Little Japan et des circuits médiatisés, ce bar à sushi reste une adresse d'habitués, de connaisseurs. Isami. 4, quai d'Orléans, IVe. Pour un donburi: Peco Peco Pour des gyoza: Gyoza Bar Related:  restauJapon

düo | restaurant galerie librairie Paris, perle du Japon M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Lili Barbery-Coulon IL SUFFIT DE LIRE PARIS-TOKYO. ALLÔ LA TERRE ?, DE NADÈGE FOUGERAS (HACHETTE), ou Nââândé ! ? Elle est d'ailleurs chargée de l'exposition ambitieuse consacrée au Japon qui aura lieu au Bon Marché en septembre 2014. Mais l'obsession des Français pour les traditions japonaises ne se borne pas à l'art culinaire. Après avoir ouvert le Pavillon Miwa fin 2012, un club privé pour les nippophiles, l'agence japonaise Rightning Paris inaugure, le 22 janvier prochain, sa nouvelle galerie Nakaniwa. Nakaniwa, 12, rue Jacob, Paris 6e. Devant la vitrine de cet institut de la rive gauche, un étrange parfum intrigue les passants, celui du yuzu, un agrume japonais au goût subtil. Yuzuka, 62, avenue Bosquet, Paris 7e, 70 € le massage. Encore méconnue, la pâtisserie japonaise colonise les rues parisiennes. Ciel, 3, rue Monge, Paris 5e. www.patisserie-ciel.com On ne vient pas chez Yasu Kakegawa pour la décoration de sa minuscule boutique.

Mes bocaux Marc Veyrat - Plats gastronomiques Jules et Shim | 22 rue des Vinaigriers 10e | Restaurants & Cafés L’avis de Time Out Publié le: Lun août 26 2013 Rendez-vous dans cette petite cantine coréenne au bord du canal Saint-Martin pour déguster un traditionnel bibimbap, mélange de riz au sésame, de viande et de légumes croquants. Tous les jours, Jules et Shim – les propriétaires – proposent ce plat dans différentes versions : porc épicé, bœuf mariné, poulet, gambas au curry rouge ou encore végétarien. A la commande, on choisit également sa sauce : sésame soja, piquante ou très piquante. Une fois votre plat bien au chaud dans sa jolie boîte en carton, évitez les deux petites tables à l’intérieur ou en terrasse : ici, on prend à emporter. Niveau tarifs, 8,50 euros pour le plat, 10 euros le menu entrée + plat. Auteur : Alix Eliard

Bilan après un an au Japon en Working Holiday Visa | Japanoob.fr Ça y est, mon working holiday visa est officiellement terminé. J’ai passé plus d’un an au Japon, et j’y suis encore pour trois mois en visa touristique. Il est temps de faire le bilan de mon année passée au Japon. Mes objectifs de départ Mon objectif numéro un était de voir si je serais capable de ‘survivre’ au Japon. Objectif numéro deux: apprendre le japonais. Enfin, mon objectif numéro trois: travailler sur mes blogs de voyage et essayer de gagner un peu d’argent grâce à ça. Boulot et argent Pour le boulot, j’ai eu du ‘bol’ de trouver en arrivant même si c’était vraiment un travail à l’ambiance et au salaire merdique. Il faut dire aussi que les salaires minimum à Osaka sont vraiment bas: 800 yen de l’heure… de quoi me payer un repas à Yoshinoya et une glace au 7Eleven du coin. Concernant les cours de français: j’ai démarré de zéro. Je me suis fait aussi un peu d’argent grâce à mes blogs de voyage, ce qui faisait parti de mes objectifs de départ donc mission accomplie. La vie au Japon

Burger paris Si vous avez envie d’une petite cure détox, voilà votre planque : le Hope Café, un resto bio, végétarien et sans gluten à Montmartre où l’on se fait du bien au corps et à l’esprit. Au menu : jus d’orange-carotte frais, burger végétarien et moelleux au chocolat sans gluten. [Note du 31 mars - Sur Facebook le clan des anti-bio a sorti les kalachnikovs, ce qui mérite du coup une petite mise au point : c'est pas parce que c'est bio que c'est light, c'est pas parce que c'est sans gluten que c'est sans goût - bien au contraire. Le Hope Café a des airs de bar berlinois avec son esprit simple et décontracté, loin du côté m’as-tu vu des cantines healthy & hipster style Nanashi.

Haï Kaï De loin on pourrait se dire encore un énienne restau concept sur le canal, c'est bon déjà vu, déjà fait. Sauf que ce n'est pas ça du tout. De dehors d'ailleurs cela ne paye pas de mine avec sa devanture tagguée et son enseigne au masking tape. Haï Kaï104 quai de JemmapesParis 10éme

HISTOIRE DU JAPON 1926 : Hirohito Empereur. 1933 : le Japon quitte la SDN. Est créé (1932-1934) sous l'instigation des japonais en Mandchourie un nouvelle état le Mandchukuo vassal du Japon. 1934 : le Japon envahit la chine du nord. 1937 : le japon déclare la guerre à la chine. De 1937 à 1939 le Japon va connaître une valse ministérielle et se montrer indécis quant à son alliance avec les alliés ou les membres de l'axe. 1940 : signature d'un pacte tripartite avec les membres de l'Axe. 1941 : signature d'un pacte de non-agression avec la Russie 1941 : le 7 décembre la flotte américaine de Pearl Harbor est quasiment anéanti.

Voici douze bons restaurants à moins de 30 euros à Paris Il n’y a pas que les bistrots de quartier (Allard, Benoit, l’Assiette…) qui maintiennent des prix sages au déjeuner et quelquefois au dîner. De bonnes tables de réputation s’y mettent aussi, crise oblige et aubaines pour de bons palais. Voici une sélection à inscrire sur vos tablettes. 1.La Closerie des Lilas À la Brasserie de l’établissement cher à Hemingway, Sartre et Beckett, le patron Miroslav Siljegovic et son fils ont démocratisé les tarifs des classiques maison: le pâté en croûte, le foie de veau poêlé, l’os à moelle gratiné, le tartare de saumon, les gnocchis sardes, le haddock à l’anglaise, le baba au rhum et quelques plats du jour comme le cassoulet maison du chef Johann Staskiewicz. • 171, boulevard du Montparnasse 75006 Paris. Fricassée de rognons, déclinaison autour du petit pois à la Closerie des Lilas 2.Anicia Le «bistrot nature» de François Gagnaire, très bon cuisinier, étoilé au Puy-en-Velay. • 97, rue du Cherche-Midi 75006 Paris. Radis-beurre chez Anicia 4.L'Office 6.Uma

Les japonais - rue Sainte-Anne 75001 Note :Cet article commence à dater, mars 2008!, je le laisse tel quel car il raconte le parcours classique de qquun qui s'aventure dans les japonais de la rue Sainte Anne et de plus il est l'un des plus lus du blog c'est donc qu'il suscite un intérêt.Sachez que depuis j'ai viré de 716 des restos dont la qualité a baissé comme Higuma ou d'autres qui ne m'intéressent finalement pas comme Kinutoraya. Je fréquente les restos de la rue Sainte Anne depuis un bon moment maintenant. Quand on pense que la rue homosexuelle de Paris a laissé la place à des japonais, ça fait partie des curiosités parisiennes, une communauté remplace une autre même si le mélange se fait parfois, ainsi un sauna gay coincé entre deux restos jap'. Bref, mon parcours initiatique se fit en plusieurs étapes. Et d'abord une précision, car vous êtes nombreux à me demander des informations sur les sushis. Sapporo 37, rue Sainte-Anne 75001 Paris Tel : 01 42 61 48 38 Hokkaido 14, rue Chabannais 75002 Paris Tél : 01 42 60 50 95

Abandoned Kansai | All abandoned: Chernobyl / Pripyat, Nara Dreamland, Anti-Zombie Fortress, Japanese Sex Museum – and many, many more! Plus: North Korea Special – 2 trips, 16 days / 14 nights! As seen on CNN… Restaurant Düo à Paris « Düo ». Non, ce n’est pas le dernier canapé Ikea, mais un espace hybride, baigné de lumière, où cohabitent une galerie d’art (qui a crânement titré sa première expo « Foutre »), un coin librairie et une cantine de quartier. Derrière le comptoir carrelé métro de sa cuisine ouverte, la Franco-Japonaise Maori Murota (qui épatait la galerie avec ses bento à La Conserverie), mouille son riz dans un bouillon de volaille, marine ses viandes et signe ses plats de graphiques racines de lotus.

Denis Rouvre . Low Tide Texte de Christian Caujolle Après chaque photographie, il y a un silence. Un autre temps s’installe, dont on connaît mal la nature, qui peut sembler verser l’instant à l’éternité, qui peut nous donner l’illusion du prélèvement de l’infime dans le flux qui s’écoule. Un temps qui nous dit simplement qu’il y eut un avant et que nous sommes après. Que l’avant, définitivement, a disparu. Que nous n’y aurons plus accès. Ici, nous sommes après. Dans un après moins immédiat que le constat du désastre dans le cadre de l’information un photographe, français, est venu à deux reprises dans la région de Tohoku, là où le tsunami avait dévasté 600 kilomètres de côtes et où les habitants avaient tout perdus. S’il n’y avait au départ pas de projet précis, il y a bien, à l’arrivée, deux séries dont la cohérence s’articule. Dans leur frontalité, dans leur unité de couleur subtile mais sans aucune stridence, les deux séries d’images entretiennent des relations profondes.

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