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Fortuitement !!! Une étude découvre l’imposture de la chimiothérapie

Fortuitement !!! Une étude découvre l’imposture de la chimiothérapie
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Ce vaccin contre le cancer... qui ne sera pas commercialisé Le journal Nature a récemment raconté une histoire extraordinaire*. On y voit à l'oeuvre le meilleur de la démarche scientifique : la capacité d'observation, l'intelligence de l'analyse et l'audace de l'expérimentation. En 1924 William Coley, chirurgien des os et cancérologue, observe le cas d'un patient qui souffre à la fois d'un cancer gravissime, le sarcome, et d'une infection cutanée, la scarlatine. Mais, au sortir de son épisode de scarlatine, le malade guérit de son sarcome, sans traitement spécifique, et il ne rechute plus jamais. À partir de là, le cancérologue américain s'est mis à "vacciner" des patients atteints d'un sarcome avec des streptocoques vivants, puis avec des streptocoques morts. Cette stratégie originale, qui a fait l'objet d'une publication, a été oubliée, remplacée par des protocoles agressifs et coûteux qui empilent parfois chimiothérapie, radiothérapie et chirurgie lourde.

Une étude révèle l'imposture de la chimiothérapie Une équipe de chercheurs de l'état de Washington a récemment ont poussé un mémorable ''oups !'' quand elle a découvert par hasard la vérité mortelle sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Comme on le constate, en réalité la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, selon les découvertes de l'étude, mais active plutôt la croissance et l'étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée. On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l'industrie conventionnelle du cancer. Selon l'étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

Chimiothérapie: 3 médecins sur 4 la refusent pour eux-mêmes!! Une équipe de chercheurs a cherché à savoir pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont difficiles à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Et là, stupeur! On a découvert que la chimiothérapie ne traite ni ne guérit le cancer, mais favorise plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que lachimiothérapie a déjà été démarrée. Publiées dans le journal Nature Médecine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées dela communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses. Selon l'étude, la chimio libère des protéines qui favorisent la croissance des cellules cancéreuses et endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines. Dr.

De l’aspirine pour traiter le cancer du sein "Nous croyons qu’il pourrait être possible de traiter le cancer du sein - le plus meurtrier chez les femmes - avec un médicament qui se trouve dans les armoires à pharmacie du monde entier : l’aspirine." Telle est la première phrase de l’article de Michelle Holmes et Wendy Chen, deux professeurs de la prestigieuse université de médecine d’Harvard publié dans le New York Times cette semaine. Une déclaration qui donne espoir, surtout dans notre pays qui détient un triste record dans le domaine. Pour étayer leur point de vue, les deux chercheuses citent des études scientifiques qui ont mis en évidence un lien entre la consommation d’aspirine et la diminution du risque de décès par cancer du sein. Pendant des années, des recherches plus poussées pour développer des traitements à base d’aspirine n’ont jamais été menées. Il aura fallu attendre 2012 pour que des essais cliniques plus poussés soient entrepris.

Mélanome : deux traitements révolutionnaires pour bloquer le développement des tumeurs La recherche sur le plus grave type de cancer de la peau, le mélanome, vient de franchir un grand pas. Des chercheurs ont présenté les résultats des tests de deux nouveaux traitements capables de bloquer le développement des tumeurs et d'allonger la durée de vie des patients. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter La nouvelle a fait sensation au sein de la communauté scientifique : des expériences menées en Grande-Bretagne sur des patients atteints de mélanomes avancés ont prouvé l’efficacité de deux nouveaux traitements visant à neutraliser les tumeurs. Le mélanome est un des cancers de la peau les plus rares, mais aussi l’un des plus graves. Mais deux nouveaux traitements testés sur un nombre limité de malades ont permis d’allonger leur espérance de vie de un à deux ans. Des anticorps pour bloquer la progression de la tumeur “Le mélanome ne peut croître qu’en trouvant un moyen d’échapper à la vigilance du système immunitaire. Le Dr.

Elle guérit son cancer avec des jus de fruits et légumes bio - Société En mai 2010, la Terrebonnienne apprend qu'elle est atteinte d'un cancer du sein. Mais pas n'importe lequel: un triple négatif grade 3. C'est le plus mortel, et il s'était répandu dans les ganglions. Marie-Josée Campagna a alors 43 ans et 4 enfants. Les médecins lui proposent le traitement habituel. Mais il fallait bien faire quelque chose. D'autant que cette méthode est interdite en Amérique du Nord. Débuts difficiles Marie-Josée Campagna se rend à Tijuana, au Mexique, dans la clinique Baja nutri care, dépendante de l'Institut Gerson. Son corps a du mal à accepter cette discipline alimentaire. L'énergie remonte, et de retour chez elle, Marie-Josée continue d'appliquer la méthode. Le pire? «Les gens ont le choix» Marie-Josée Campagna maintient cette discipline alimentaire pendant 18 mois. Elle souhaite désormais partager son expérience. Des experts en parlent: la bouffe est déterminante pour la prévention; rien n'est prouvé pour traiter le cancer

Le corossolier, un véritable miracle anti-cancer Cela fait maintenant de nombreuses années que le traitement de certaines maladies souvent mortelles, comme le cancer, se tourne vers des formes « scientifiques » dont l’efficacité est souvent douteuse ou remise en question. Le cancer effraie la population, et la médecine moderne (tout comme les laboratoires pharmaceutiques) exerce une forte pression sur les patients qui doivent faire face à cette terrible maladie et qui n’osent pas toujours opter pour des solutions moins agressives et plus naturelles. Néanmoins, on peut retrouver parmi les médecines plus traditionnelles certains remèdes à l’efficacité prouvée et vérifiée qui commencent à trouver leur place face aux traitements officiels. Origine, exploitation et caractéristiques du corossolier On ne connaît toujours pas l’origine exacte du corossolier, même si l’on suppose qu’il s’agit d’une plante méso-américaine dont la culture s’est étendue à toute l’Amérique tropicale et même à l’Afrique. Les propriétés anti-cancer du corossolier

Cancer : le remède oublié Nous sommes en 1890 à New York. Il fait nuit. Le Dr William Coley se tourne et se retourne dans son lit. Au petit matin, il sort de chez lui. C’est dans ce gisement prodigieux que le Dr Coley va rechercher des cas de « sarcome » semblables à celui qui a tué sa patiente. Plus de deux semaines durant, ses recherches sont vaines. Guérison mystérieuse Le Dr Coley a mis la main, sans le savoir, sur un cas qui va révolutionner le traitement du cancer. Aussitôt après avoir attrapé l’érysipèle, le sarcome de ce patient a donc brutalement disparu. Il découvrit que d’autres pionniers de la médecine comme Robert Koch (qui découvrit le fameux bacille de Koch, responsable de la tuberculose), Louis Pasteur, et le médecin allemand Emil von Behring, qui reçut le premier prix Nobel de médecine en 1901, avaient eux aussi observé des cas d’érysipèle coïncidant avec la régression spontanée de cancers. Le Dr Coley créa une mixture de bactéries mortes, donc moins dangereuses, appelée Toxines de Coley.

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