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C'est fou comme le "corps parfait" a changé en 100 ans

C'est fou comme le "corps parfait" a changé en 100 ans
Une femme au corps parfait en 1930 obtiendrait aujourd’hui à peine un regard d’un producteur hollywoodien ou d’un agent de mannequins. Le site Rehabs.com (consacré à la guérison de la dépendance et des troubles alimentaires) a travaillé avec l’agence Fractl sur un projet observant les origines de l’Indice de masse corporelle (IMC) et la façon dont le corps de la femme idéale avait changé avec le temps, comparé à la moyenne nationale. Et leurs résultats ont montré que les mannequins et les stars de cinéma deviennent de plus en plus minces, comparées à la femme américaine moyenne. Bien que les mesures de l’IMC ne fassent pas la distinction entre graisses et muscles, ce qui ne les rend donc pas vraiment fiables pour établir si quelqu’un est obèse ou non, les données IMC par le passé donnent d’intéressants points de comparaison. La Gibson Girl, 1900-1910 La "Gibson girl" est une création de l’illustrateur Charles Dana Gibson, une femme qui symbolisa l’idéal féminin au tournant du siècle. Related:  Médias, arts, références

La revanche  des super-héros français On l'oublie souvent, mais la figure du super-héros est née et s'est développée en France avant d'être kidnappée par les Anglo-Saxons. En exclusivité, Le Figaro Magazine vous révèle le projet grandiose d'un jeune réalisateur, Julien Mokrani, qui pourrait bientôt bouleverser le paysage cinématographique. Source Le Figaro Magazine «Ce n'est pas notre culture.» Malgré cela, quelques irréductibles Gaulois continuent de résister et de croire en leurs projets. Cette série, dont trois tomes ont déjà paru et qu'on pourrait rebaptiser Robocop chez les Poilus, a pour cadre initial les mois précédant la Première Guerre mondiale. La lecture de la BD a fortement impressionné Mokrani. Lors d'un voyage à Los Angeles, elle lui présente même un compatriote qui va très vite s'intéresser au projet au titre de producteur associé: Alexandre Aja. L'esprit conquérant, justement: c'est ce qui semble animer Julien Mokrani, qui croit dur comme fer à son film, à ses personnages et à leur potentiel commercial.

INTERVIEW • Rob Brezsny : "Je n'étais pas programmé pour écrire des horoscopes" A 57 ans, Rob Brezsny est l'un des astrologues américains les plus lus de la planète. Pour la première fois, ses horoscopes sont traduits en français et publiés sur le site de Courrier international. Rob Brezsny, comment êtes-vous devenu astrologue ? ROB BREZSNY Je suis issu d’une famille d’intellectuels de la Côte Ouest des Etats-Unis, j’ai étudié à l’Université. Vos horoscopes sont remplis de références culturelles. J’aime beaucoup la littérature et la poésie américaines : Emily Dickinson, S.S. Comment vous y prenez-vous pour rédiger vos horoscopes ? Ma méthode consiste à être le plus réceptif possible au monde et aux personnes qui m’entourent. L'horoscope de Rob Brezny traduit par Courrier international HOROSCOPE“De la poésie aux apparences trompeuses”

HOROSCOPE. “De la poésie aux apparences trompeuses” Repris dans toute la presse internationale, et à partir d’aujourd’hui sur le site de Courrier international, les horoscopes de l’Américain Rob Brezsny nous obligent à revoir notre jugement sur un genre très décrié. Il dit que sa spiritualité est un mélange de “tradition ésotérique occidentale, de soufisme, de tantrisme, de macho-féminisme et de certains aspects du christianisme”. Il dit aussi que sa philosophie de l’existence est la pronoïa, un antidote à la paranoïa : selon lui, le monde – malgré un certain nombre de preuves du contraire trop longues à énumérer – conspirerait à notre bien. Et “il ne nous arrive que ce que nous croyons qu’il nous arrivera”. A découvrir : L'horoscope de Rob Brezny traduit par Courrier international Et puis, surtout, il dit et répète qu’il a toujours considéré “les horoscopes des journaux comme une abomination. Lui, c’est Rob Brezsny. —Riccardo Staglianò Publié le 7 janvier 2011 dans La Repubblica (extraits) Rome 23.01.2014 |Courrier international

Jean Paul Gaultier : “Les a priori sur le chic tuent la mode française” - Sortir A 62 ans, le facétieux couturier fait l’objet d’une rétrospective au Grand Palais, jusqu'au 3 août. Lui qui a toujours mis en valeur les différences n’a pas fini d’envoyer valser les préjugés. Et s’inquiète du retour au puritanisme. Générosité. Vous souvenez-vous de votre premier défilé ? Je n'avais pas de moyens, ma famille cousait pour m'aider. Comment avez-vous découvert la mode ? A la télévision, en regardant Falbalas, de Jacques Becker, un vieux film des années 1940. La mode, chez beaucoup de créateurs, semble une forme de revanche... Pas pour moi, car j'étais aimé de mes parents, qui s'aimaient eux-mêmes. Comment avez-vous débuté ? Le jour de mes 18 ans, je suis entré chez Cardin. Et ensuite ? Au début des années 1970, je suis passé par Jacques Esterel, une petite maison. D'où vient votre attrait pour la rue ? Cela peut paraître bizarre, mais peut-être du fait d'avoir été rejeté en classe. Jusqu'aux années 1980, la façon de s'habiller restait très codifiée... J'aime avoir ma liberté.

Pourquoi mon cerveau est-il si affamé de beauté? Nos penchants esthétiques ont-ils une base biologique? Une revue des mécanismes à l’œuvre dans notre amour du beau Pourquoi cet objet me paraît-il beau? Pour des raisons qui remontent loin dans l’évolution de mon espèce? Pour les échos qu’il trouve dans mon histoire personnelle et mon apprentissage culturel? L’attraction sociale Commençons par le plus simple: «Le cerveau ne produirait pas de réaction esthétique si cela ne servait à aucun but utile pour la survie», note Dahlia W. Il y a autre chose, poursuit la chercheuse. Le miroir et l’ordre cosmique Qui dit mieux? Son hypothèse se nourrit d’un constat étonnant: la région cérébrale corrélée à l’expérience de la beauté (la zone A1 du cortex orbitofrontal médian, associée à un circuit de la récompense) est toujours la même, quelle que soit la source de l’émotion esthétique. Mais comment notre cerveau sait-il qu’il est en présence d’une vérité? Le rythme et l’effet Doppler Et le rythme? Le choc des images Le monde et moi

Werner Herzog Talks Virtual Reality “I’m a skeptic of 3-D, but when I saw the paintings I knew I had to use it,” Werner Herzog told Judith Thurman in 2010, after the New York première of his documentary “Cave of Forgotten Dreams.” The film examines some of the world’s earliest known paintings, which cover the walls of the Chauvet-Pont-d’Arc Cave, in France. For Herzog telling a story about the Paleolithic required the technology of the Anthropocene. Recently, I spoke with him about how the rules of cinema might translate to yet another new form—virtual reality. His next film, “Lo and Behold, Reveries of the Connected World,” which is about the Internet, will première at the Sundance Film Festival later this month, along with more than thirty V.R. shorts. Our conversation is presented below, in slightly condensed form. Could you describe your experience with V.R. so far? It was a variety of elements, some of it realistic—documentary material in some ice floes near Greenland. No. It’s not convincing yet. No.

Typographie & Cinéma Database Kickstart your creative writing — Use the proven structure of mainstream Hollywood screenwriters Three act structure One of the oldest — and most used — form of outlining is the Three Act structure. It dates back as long as humans have been telling stories and is still used today. Why? Think of your story as a circle divided into four equally large sizes. If you are writing a regular feature-length screenplay of 100 pages, the math is simple. 25 pages for Act I, 50 pages for Act II and 25 pages for Act III. But, by thinking about the story as a complete circle, you can also clearly see where the mid-point of the story should be — right in the middle of Act II. The story starts at the top — at noon if you will — and moves forward like a clock returning to 12:00 as it finishes. Why is it useful to view the story as circular? The vast majority of mainstream movies and story are like this. Going on “The Hero’s Journey”? “The Hero’s Journey”, or Monomyth as it’s sometimes referred to, is a term coined by mythological historian professor, Joseph Campbell. The beats

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