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Les stéréotypes de genre sont dangereux pour la santé

Les stéréotypes de genre sont dangereux pour la santé
Le 16 janvier 2014, rediffusé dans le cadre d’un partenariat avec le Centre Hubertine Auclert (notre Manifeste) Les stéréotypes de genre, #OnEnParle ! madmoiZelle est la fière partenaire de la campagne #OnEnParle, pour déconstruire les stéréotypes de genre. Aux côtés du Centre Hubertine Auclert, qui lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes en Île de France, nous nous engageons pour un avenir sans injonctions à la masculinité ni à la féminité. Si tu veux en savoir plus, rends-toi sur le minisite du Centre Hubertine Auclert ou participe au quizz sur l’Instagram de Rose Carpet. Et en attendant, découvre cet article qui témoigne des débats autour des stéréotypes de genre en 2014, et surtout de pourquoi ils sont mauvais pour la santé… Littéralement. En 2018, les stéréotypes de genre sont (encore) dangereux pour la santé Lutter contre les stéréotypes filles — garçons est un enjeu d’égalité et de mixité, selon le rapport du Commissariat général à la stratégie et à la prospective. Related:  Liberté, égalité, féminitéA LIREGenre

Inégalités filles-garçons : l'UNICEF livre des chiffres qui devraient nous alarmer Est-ce que vous vous souvenez avoir eu des copains ou des copines du sexe opposé, en primaire ? Et plus tard, au collège, aujourd’hui au lycée ? Êtes-vous team « l’amitié filles-garçons est possible » ou team « impossible » ? Une enquête de l’UNICEF sur les inégalités filles-garçons Pour moi, cette question cristallise l’apparition du genre dans la vie des enfants, des jeunes en général. Considérer qu’on ne peut pas vraiment avoir d’ami·es du sexe opposé, c’est considérer qu’on est fondamentalement différents… et c’est la première pierre posée au mur des inégalités de genre. L’UNICEF s’est justement penché sur la question des inégalités filles-garçons dans sa dernière enquête, publiée ce 6 novembre. « Les conditions de la socialisation et de l’apprentissage des savoirs ne sont pas forcément identiques pour les deux sexes et une partie des inégalités entre les femmes et les hommes adultes peuvent s’expliquer par l’écart initial déjà visible dans l’enfance. »

Les fondements anthropologiques de la domination masculine Cet article est un résumé et une réflexion autour des travaux de Françoise Héritier sur les fondements anthropologiques de la domination masculine. Sa théorie est la colonne vertébrale et je la croise avec d'autres lectures et mes interrogations. Je serai amené à souligner l'importance scientifique du rapport entre le biologique et le culturel. A/ L'évidence de la différence entre l'homme et la femme : un donné biologique élémentaire et un premier butoir de la pensée Personne, depuis l'aube de l'humanité, n'a pu ne pas constater l'évidence de la différence entre mâles et femelles, que la différence soit anatomique : pénis et vulve ; ou physiologique : production d'humeurs corporelles différentes. Je pense qu'il est bon de souligner ici que le regard de l'homme n'englobe pas la totalité de la réalité existentielle du vivant. Bien entendu par un regard anthropocentré, l'Homme ne voit essentiellement que ce qui lui ressemble et projette sa spécificité sexuelle sur ce qu'il voit. Edward B.

Mais que veulent vraiment les Black Blocs ? Entretien avec Francis Dupuis-Déri - Les Inrocks : magazine et actualité culturelle en continu La tactique du black bloc a donné aux manifestations contre la « loi travail » des allures insurrectionnelles au printemps dernier. Mais d’où vient-elle ? Quels sont ses objectifs et ses effets sur la mobilisation ? Le professeur de science politique Francis Dupuis-Déri, auteur du livre « Les black blocs » et de « La peur du peuple », décrypte ce phénomène. Cagoulés, vêtus de noir et prêts à en découdre avec la police, les black blocs ont donné aux manifestations du printemps dernier en France contre la "loi travail" des allures insurrectionnelles. Dans un livre qui vient de paraître et qui prolonge cette réflexion, La peur du peuple (Lux), il interroge le mépris que suscitent les mouvements qui se revendiquent de la démocratie directe - des Indignés à Nuit debout, en passant par Occupy. En 2003 lors de la première édition de votre livre Les black blocs, La liberté et l'égalité se manifestent, vous étiez pessimiste sur la persistance de cette tactique. Tout à fait. Oui.

La fabrique des garçons : sanctions et genre au collège J'ai reçu en cadeau le livre La fabrique des garçons. Sanctions et genre au collège dont je vais vous proposer le résumé. Sylvie Ayral a étudié le nombre de sanctions dans 5 collèges très différents et a constaté que 75.7% à 84.2% des élèves punis ou sanctionnés étaient des garçons. 84.2% à 97.6% des élèves punis pour violences sur autrui étaient des garçons. Dans une première partie, l'auteure explique ce qu'est le système de punitions et de sanctions. L'effet pervers de la sanction est que pour arrêter la violence, on fait soi même preuve de violence. Depuis 2005, a été créée la note de vie scolaire qui récompense l'assiduité et la ponctualité, le respect des dispositions du règlement intérieur, la participation à la vie de l'établissement, l'obtention de l'attestation de sécurité routière et de l'attestation de formation aux premiers secours. Dans les collèges, le principe de proportionnalité est souvent non respecté. Voici les résultats par collège des punitions selon le genre.

#OnEnParle : la campagne pour déconstruire les stéréotypes de genre Article initialement publié le 2 novembre 2018En partenariat avec le Centre Hubertine Auclert (notre Manifeste) Ce n’est pas la première fois que madmoiZelle te parle stéréotypes de genre : en dépit de tous leurs aspects négatifs, ils persistent à s’insinuer, de manière plus ou moins évidente, dans ton quotidien. Ne serait-il pas temps de les envoyer valser une bonne fois pour toutes ? #OnEnParle, la campagne pour déconstruire les stéréotypes de genre C’est le projet du centre Hubertine Auclert auquel madmoiZelle a choisi de s’associer. Ce centre d’action pour l’égalité entre les femmes et les hommes en Île de France a lancé une campagne, intitulée #OnEnParle, avec d’autres partenaires comme la communauté de youtubeuses Rose Carpet. Cette campagne a pour objectif de questionner et d’informer au sujet des stéréotypes de genre. Alors garde l’œil bien ouvert : tu verras très prochainement sur les différents canaux de madmoiZelle des contenus estampillés #OnEnParle et en lien avec ce sujet.

Contre le mythe autogestionnaire Dans sa lutte aux quatre coins de la planète contre la barbarie du Capital, le prolétariat porte en lui la destruction radicale des fondements du monde bourgeois. L’Etat, la propriété privée, l’argent sont remis en question par une multitude de pratiques allant de la résistance quotidienne aux grèves ou émeutes, parfois jusqu’à l’insurrection généralisée, pratiques qui sont autant de moments de négation des conditions de survie. Contre cette perspective de négation, la bourgeoisie ne reste pas inactive et sait mettre en avant telle ou telle solution qui correspond le mieux à la défense de ses intérêts. Ici nous n’allons pas nous arrêter sur la “solution” qui consiste à écraser brutalement toutes les révoltes, parce que celle-ci arrive toujours après d’autres qui sont d’autant plus pernicieuses qu’elles se présentent comme proche de nous (par la posture, le verbiage) en proposant de réformer le monde. 1936 : L’Espagne autogestionnaire ? La nature de ces actes est révolutionnaire.

Des black blocs pas vraiment sans Gênes... Collectif (première parution : novembre 2001) Mis en ligne le 14 février 2003 Thèmes : Contre-sommets (15 brochures) Insurrections, révoltes, émeutes (72 brochures) Mouvance autonome (42 brochures) Des black blocs pas vraiment sans Gênes... Sur le contre-sommet de juillet 2001 à Gênes : "Introduction" par Zanzara athée "Blindés, frontières fermées, armée dans les rues... "Déclaration d’activistes du black bloc" "Communiqué d’un groupe affinitaire actif au sein d’un black bloc lors de la journée d’actions et de la manifestation des 20 et 21 juillet 2001 à Gênes" "Lettre de l’intérieur du black bloc" par Mary Black "Critique du mouvement "anti-mondialisation" : Gênes : lutte de classe ou marché du militantisme ?" Bibliographie Glossaire Brochures subversives à lire, imprimer, propager

Androcentrism: It’s Okay to Be a Boy, but Being a Girl… Sociologists use the term “androcentrism” to refer to a new kind of sexism, one that replaces the favoring of men over women with the favoring of masculinity over femininity. According to the rules of androcentrism, men and women alike are rewarded, but only insofar as they are masculine (e.g., they play sports, drink whiskey, and are lawyers or surgeons w00t!). Meanwhile, men are punished for doing femininity and women… well, women are required to do femininity and simultaneously punished for it. Illustrating this concept, much more concisely, is this altered photograph of James Franco in drag. * So Caro Visi, where I found the image, credits Virus, but I can’t find it there. UPDATE: Sarah and John, in the comments thread, pointed out that the language is borrowed from a movie titled The Cement Garden. Clip from The Cement Garden:

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