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Richard Stallman : « Avec Hadopi, la France n'est pas un pays libre »

Richard Stallman : « Avec Hadopi, la France n'est pas un pays libre »
L’informaticien et activiste Richard Stallman est le père du logiciel libre. Ses combats : le respect de la vie privée et les libertés informatiques. Entretien. L’utilisation des données personnelles de ses abonnés par Facebook, le long combat contre la loi Hadopi, le rôle des réseaux sociaux lors de révolutions arabes... Les batailles pour les libertés numériques et le respect de la vie privée sur Internet ont marqué l’actualité cette année. Ce combat, l’informaticien et activiste Richard Stallman l’a commencé il y a trente ans, en inventant les logiciels libres : libres d’être copiés, examinés, distribués et modifiés. A 58 ans, l’Américain incarne le visage alternatif, libertaire et anarchiste de l’informatique. Que pensez-vous de la loi Hadopi ? La loi Hadopi relève de la guerre contre le partage. Ils ont modifié l’Hadopi pour introduire un faux procès, qui ne peut rien faire sauf vérifier qu’il y a une accusation. « Voter pour celui qui supprimera Hadopi » Related:  Sources articles

La Cantine Richard M. Stallman fera une conférence sur le thème : "Copyright vs communauté dans l'ère des réseaux informatiques" Présence gratuite et ouverte à tous, <<<--- Inscription en ligne (sur cette page, à gauche) <<<--- www.gnu.org Liberté, Egalité, Fraternité par Stallman Richard Matthew Stallman (né à Manhattan, le 16 mars 1953), connu aussi sous les initiales rms (en minuscules, ainsi qu’il sied aux informaticiens des années 1970 pour qui l’avènement du bas de casse sur les écrans informatiques représenta une vraie conquête), est un programmeur et militant du logiciel libre. Depuis le milieu des années 1990, il consacre la majeure partie de son temps à la promotion du logiciel libre auprès de divers publics un peu partout dans le monde.

Wikileaks, vraiment à court d'argent ? Le site Wikileaks, qui avait dominé l’actualité en 2010 avec ses révélations à répétition, a annoncé dimanche qu’il mettait temporairement fin à ses activités, en raison du « blocus financier » imposé par plusieurs services, dont Visa, Mastercard, Bank of America, Paypal et Western Union. Ce blocage a débuté en décembre, au moment où l’organisation procédait à la publication des télégrammes diplomatiques américains. Dans son communiqué, l’organisation explique : « Wikileaks survit sur ses réserves d’argent depuis onze mois. Plusieurs éléments laissent cependant planer un doute sur ces annonces : Un préjudice loin des « dizaines de millions » A supposer que les virements via Paypal, Mastercard et Visa n’aient pas été bloqués dès le 4 décembre, et que Wikileaks ait continué à recevoir des donations au même rythme de décembre jusqu’en août (alors que l’attention médiatique allait en déclinant), l’organisation aurait touché au mieux 7 à 8 millions de livres. Des réserves de cash importantes

Open Access Africa: Spreading Knowledge, Increasing Collaboration In August 2011, the Malaria Journal published a 12-author study called, “Strict adherence to malaria rapid test results might lead to a neglect of other dangerous diseases: a cost benefit analysis from Burkina Faso.” Just a few months earlier in May, the journal Health & Place published, “Malaria, environmental change, and a historical epidemiology of childhood ‘cold fevers’: Popular interpretations from southwestern Burkina Faso.” Two similar topics, published just months apart. But they come with a big difference. Disseminating ideas The internet opened up new methods to disseminate information and, for users, to access it. David Apinga, a blogger from Ghana points out: Currently, Sub-Saharan Africa remains the least developed region of the world in the area of research. Open Access scholarship also offers scientists and researchers a chance for greater collaboration. Open Access Week (in Africa) Benefits for Africa In this video by Leslie Chan, Dr. Charles J.

Le droit de copier des élèves L'enseignement à l'heure du numérique, c'est pas gagné. Et les lacunes ne portent pas seulement sur le nombre (dérisoire) d'ordinateurs dans les écoles. En théorie, les évolutions légales de ces dernières années permettent aux écoliers et aux profs du XXI° siècle de recycler toutes les connaissances sur supports numériques sans risquer d'enfreindre la législation sur le droit d'auteur. Mais dans la pratique... Enseigner et étudier implique en effet souvent de reproduire et diffuser des textes, des images, des vidéos, de la musique. Dans le contexte actuel, ces usages collectifs d’oeuvres en milieu scolaire passent de plus en plus souvent par le recours aux technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement (TICE, dans le jargon de l’administration), dont le développement constitue un enjeu important au niveau national. État d’urgence Exception Accords sectoriels Dysfonctionnements Casse-tête Etc, etc, etc… ad nauseam… Réforme Photos par Esteban Martinena [CC-byncnd] Réforme

Wikipédia hors-la-loi : comment montrer l'architecture en France | Hotel Wikipedia Le logo de Wikipédia et ses différentes versions (Wikipédia) Si vous avez le temps, pensez à jeter un coup d’œil aux articles de la Wikipédia francophone sur le Viaduc de Millau ou la Tour Montparnasse. D’ici un mois, ils perdront peut-être un de leurs attributs essentiels : leurs illustrations. Leur présence (ou absence) reste suspendue au résultat d’un référendum wikipédien (dans le jargon local, on appelle ça une Prise de décision). L’enjeu de ce référendum : savoir si Wikipédia.fr restera hors-la-loi. La liberté de panorama Car Wikipédia.fr est hors-la-loi. La position de la France sur le sujet n’est pas ordinaire. C’est ce qui se produit en France. Plus étrangement encore, le Choix du chaos soulignait que la Tour Eiffel est publique le jour, mais privée la nuit. Francophone n’est pas français On peut certes arguer que la Wikipédia francophone n’étant pas la Wikipédia française et que, de plus, ses serveurs étant situés aux Etats-Unis, elle n’a pas à suivre la loi française.

Colloque : Nouveaux usages d’Internet, nouvelle gouvernance pour l’Etat La rediffusion du colloque est en ligne Encore en construction, les nouveaux modèles économiques permis par internet transforment radicalement les processus d’innovation auparavant en vigueur. D’abord limitées à la sphère économique et scientifique, ces technologies sont en train de réinventer les organisations sociales traditionnelles. C'est le cas notamment des réseaux sociaux, à travers leur développement, ils transforment radicalement la manière dont les citoyens s’approprient l’information et évaluent le travail de l’État. Ces nouveaux usages d’Internet bousculent nos systèmes démocratiques et appellent à un renouveau. C’est maintenant au tour des gouvernements de prendre acte de ce changement de paradigme : l’ouverture, à la fin de l’année en cours, du site data.gouv.fr, visant à mettre à disposition librement les données publiques, montre l’engagement de l’État dans ce changement. Programme 8h30 : Accueil 10h15 : Pause

Pour que vive le domaine public numérique Il n'y a pas qu'Hadopi dans la vie. Pour Calimaq, l'équipe de François Hollande devra aussi repenser la question du domaine public dans son ensemble. Quelques pistes ici, inspirées d'une initiative européenne, "Communia". Alors que le gouvernement annonce le lancement d’une grande concertation sur le numérique et les droits d’auteur avant l’été, il paraît urgent d’élargir la perspective et de prendre du recul, afin que le débat ne tourne pas exclusivement autour de la question de la réponse au piratage et du financement de la création, comme on peut craindre que ce soit le cas. Hadopi, en définitive, n’est que l’arbre qui masque la forêt d’une réforme plus générale de la propriété intellectuelle, qui devrait être pensée comme profonde et globale, si l’on veut que se produise un véritable changement. Dans cette optique, le réseau européen Communia a publié ces dernières semaines le rapport final de ses travaux, qui présente une série de propositions particulièrement stimulantes.

Data Reveals That “Occupying” Twitter Trending Topics is Harder Than it Looks! While the Occupy Wall Street (OWS) movement has been gaining momentum, growing in terms of visibility, media coverage and sheer numbers of participants, it has had a difficult time “occupying” the Twitter trending topics (TTs) list. #OccupyWallStreet, the movement’s dominant hashtag, has never once hit the New York TTs list. Similarly, #OccupyBoston has trended all across the world, but never in Boston, which only saw the phrases ‘Dewey Sq’ and ‘Dewey Square’ trend. Some point the blame at Twitter for censoring content, yet what seems to be happening is purely algorithmic. There’s often more than meets the eye when it comes to algorithmically generated TTs. In this post we dissect some of the dynamics at play, looking at all OWS related terms that have trended on Twitter since the start of the movement, their volume of appearance in tweets, and the times and locations they’ve trended. What’s in a Trend? Censorship? Interesting. #OccupyWallStreet – A closer look Competing for Attention

What You Need To Know About The New Copyfight This guest post comes from Eliot Van Buskirk of Evolver.fm. You may have heard rumblings and grumblings about a Senate bill that would “effectively destroy” YouTube, Twitter, Facebook, Myspace, Google+, and any other service that lets people post things on the internet. If a “directory, index, reference, pointer, or hypertext link” is found to distribute content without permission, the PROTECT IP Act (.pdf) would allow copyright owners or the Attorney General to sue for the deletion of that Internet service from the United States internet, by rendering it unsearchable on search engines and impossible to access with United States DNS servers. Certain protections are available — for example, the offending site has to be determined not to have significant non-infringing uses, which would appear to cover most of the services listed above. You can find the remastered Beatles catalog on Rapidshare, but not on Spotify. Internet services can’t perfectly block copyrighted content from appearing.

Artistes contre le droit d’auteur En renonçant à certains droits sur leurs œuvres, quelques artistes ont fait œuvre de pédagogie. En militant pour un domaine public volontaire, ils ont contribué à repenser le droit d'auteur à l'ère numérique. “Rien n’est à nous”, c’est le titre de ce court poème écrit par Henri-Frédéric Amiel en 1880 et paru dans le recueil “Jour à jour, poésies intimes” : Source : Gallica/BnF Ces quelques vers pourraient paraître anodins, mais ils font écho à des questions fondamentales, comme celle de l’originalité, véritable clé de voûte de l’édifice du droit d’auteur, qui devient de plus en plus problématique à l’heure du retweet, du like, de la curation, de l’agrégation, du remix et du mashup. Plus encore, l’expression “domaine commun” employée par le poète est intéressante, car elle renvoie à la fois au domaine public et aux biens communs, deux catégories essentielles pour penser la création et la diffusion de la connaissance aujourd’hui. Léon Tolstoï gratuit Portrait de Léon Nikolayevich Tolstoï.

The mesh : de la propriété à l’accés Article co-publié sur le portail français de la consommation collaborative. Suite au passage de Lisa Gansky, auteure de « The Mesh – Why the future of Business is Sharing » le 3 octobre dernier à La Cantine à Paris, voici une interview réalisée à la fin de l’évènement par Antonin Léonard. Traduit dans plus de 15 langues, The Mesh explore les récents développements de l’économie du partage et les nouveaux business models de la fonctionnalité. Lisa, qu’est-ce que The Mesh ? The Mesh représente un changement fondamental dans notre relation aux personnes, aux objets, aux services et impacte presque tous les éléments de notre vie : notre travail , notre vie personnelle. Existe-t-il des spécificités géographiques du phénomène collaboratif ? C’est un phénomène global. Dans quelle mesure la collaboration fait-elle effectivement du sens ? La collaboration est un aspect fondamental : qu’on le veuille ou non, nous sommes tous connectés les uns aux autres. Faut-il légiférer et encadrer ce modèle ?

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