Karen Hudes employée de la Banque mondiale, révèle comment l’élite dirige le monde Vers une « affaire Snowden » puissance 10! Karen Hudes est diplômée de la Yale Law School et elle a travaillé dans le département juridique de la Banque mondiale depuis plus de 20 ans. En fait, quand elle a été congédiée pour avoir dénoncé la corruption à l’intérieur de la Banque mondiale , elle occupait le poste de Conseillère Senior. Elle était dans une position unique pour voir exactement comment l’ élite mondiale dirige le monde , et les informations qu’elle révèle maintenant au public sont absolument stupéfiantes. Selon Hudes , l’élite utilise un noyau très serré des institutions financières et des méga -sociétés pour dominer la planète. Le but est le contrôle. Rappelez-vous, ce n’est pas une » théorie du complot » qui dit ces choses. Auparavant , j’ai écrit au sujet de l’étude suisse que Hudes mentionne . Mais l’élite mondiale ne se contente pas de contrôler ces méga-entreprises. Au sommet de ce système se trouve la Banque des règlements internationaux.
Surveillances et lutte contre la criminalité en ligne | Concertation nationale sur le numérique Peut-on réellement règler la question de l'équilibre entre Liberté et Sécurité ? Je ne le crois pas. C'est bien la quadrature du cercle que l'on recherche dans un monde "numérique". Le seul moyen que j'entrevoie pour le moment serait "une loi ?" qui définirait plusieurs niveaux de surveillance en fonction du niveau des risques constatés. Un peu comme le plan Vigipirate. Cela suppose entre autre qu'il faille que chacun souhaite agir pour le bien commun et pas seulement individuel, un positionnement qui aille au-delà de l'opinion, le respect de principes qui fondent le vivre ensemble (la liberté doit trouver ses limites dès lors qu'il y a autrui, violence et intimidation bannies etc…) et une bonne dise de confiance en nos institutions ( le citoyen lambda ne peut être au fait des dangers internationaux par ex).
Les trusts agro-alimentaires sont en train d'avaler le bio Les grandes entreprises agro-alimentaires des Etats-Unis achètent de plus en plus de petits producteurs de produits d’agriculture bio, révèle une étude. La concentration des entreprises de la chaîne alimentaire a été largement cachée aux consommateurs. Les choses changent, grâce à des outils infograhiques comme celui de Philip Howard, publié pour la première fois en 2003. Mis à jour le 13 février, le tableau donne un aperçu de la structure de l’industrie alimentaire biologique, montrant les acquisitions et les alliances des cent plus importants fabricants de produits alimentaires en Amérique du Nord. Le tableau permet aux consommateurs de voir en un coup d’oeil quelles entreprises dominent le marché du bio aux Etats-Unis. Les principaux changements depuis la dernière version, en mai 2013, montrent l’acquisition en décembre 2013 par WhiteWave de la firme Earthbound Farm, le plus grand fournisseur de produits biologiques de la nation, pour 600 millions de dollars.
Olivier Desbiey (CNIL) : « Fournir ses données auto-mesurées à une assurance est comparable à ouvrir une boîte de Pandore » Qu’est-ce qui a poussé une autorité comme la CNIL à étudier la thématique du « corps connecté » ? Dans le cadre de ses travaux d’innovation et de prospective, la CNIL s’est penchée sur les enjeux éthiques et de protection des données que soulèvent les nouvelles pratiques et les nouveaux services liés au corps, au bien-être et à la santé. Nous voyons émerger de nouveaux usages dans la société avec la démocratisation des objets capteurs et capteurs connectés. Certaines entreprises d’assurance utilisent-elles ces données ? Le rôle des assureurs et des mutuelles dans cet écosystème est particulièrement intéressant à observer. En Europe nous n’en sommes qu’aux prémices, mais qu’en est-il outre-Atlantique où la pratique est plus répandue ? Aux États-Unis, c’est une nouvelle fois le monde des mutuelles et des assurances qui est particulièrement actif au travers des programmes de « corporate wellness ». Peut-on imaginer que les entreprises européennes tendent demain vers ce modèle ?
« EuroGendFor » – l’armée privée de l’UE, prête au départ pour la Grèce Il y a des articles après lecture desquels le lecteur se dit : « Ce n’est pas possible, je m’informe régulièrement et je pense être au courant des actualités la plupart du temps, pourquoi je ne sais rien de cela ? » Le présent article est un tel article. Ceux qui pensent qu’il s’agit dans le contexte d’Euro-Gend-For d’un terme lié à la notion anglaise « gender » – définition artificielle et très à la mode du « genre », du « sexe social » – se trompent. Le nom est un morceau de magnificence issu du pouvoir d’innovation intellectuelle des Français : au lieu d’une troupe de l’UE de malfrats violents à la Rambo, ou des Bodyguards à la paie de Goldman-Sachs selon le modèle Blackwater, est née une armée privée dénommée « Force de gendarmerie européenne » (FGE). Les Allemands du camp d’Angela Merkel pourraient ainsi détourner sur les Français le « mécontentement » que l’Europe de l’euro, prétendument si amoureuse de la liberté, déclenche dans les pays où elle intervient. External Links icon
Toad Data Analysts Community Quand la science découvre les 1% qui dirigent l’économie Dimanche 13 janvier 2013 7 13 /01 /Jan /2013 22:29 Quand la science découvre les 1% qui dirigent l’économie Trois chercheurs suisses ont récemment décortiqué le réseau mondial des multinationales en se servant d’une base de données de l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques) regroupant plus de 30 millions d’acteurs du marché économique. Les scientifiques sont parvenus à une synthèse en les regroupant sous forme d’un réseau de 43060 multinationales. Le réseau qui apparait détient une structure générale assez commune dans les systèmes naturels : certains acteurs sont des points de convergence de pouvoir, alors que d’autres ne sont qu’en périphérie et n’exerce que peu de contrôle sur les autres. La question posée par ce travail scientifique était à l’origine de déterminer s’il existait une « tête » au système financier actuel. Retrouver ici l’article original de Stefania Vitali, James B. Via journal-audible.org Partager l'article ! inShare
Guide PL/SQL - Club d'entraide des développeurs francophone Ces types de données n'existent qu'en PL/SQL et n'ont pas d'équivalent dans la base Oracle Il n'est pas possible de stocker un enregistrement directement dans la base Les collections Une collection est un ensemble ordonné d'éléments de même type. Elle est indexée par une valeur de type numérique ou alphanumérique Elle ne peut avoir qu'une seule dimension ( mais en créant des collections de collections on peut obtenir des tableaux à plusieurs dimensions) On peut distinguer trois types différents de collections : Les tables (INDEX-BY TABLES) qui peuvent être indicées par des variables numériques ou alpha-numériques Les tables imbriquées(NESTED TABLES) qui sont indicées par des variables numériques et peuvent être lues et écrites directement depuis les colonnes d'une table Les tableaux de type VARRAY, indicés par des variables numériques, dont le nombre d'éléments maximum est fixé dès leur déclaration et peuvent être lus et écrits directement depuis les colonnes d'une table 5.1. 5.2.
Les usurpateurs - Le pouvoir des entreprises transnationales Avec : Susan George, écrivain, conférencière, présidente d'honneur d'Attac-France Plateforme citoyenne européenne contre le TAFTA : Bastamag : Le collectif citoyen les Engraineurs est un collectif informel (pas une association) En cliquant ci-dessous, retrouvez la revue de web environnement d'Anne Gouzon, de la Documentation de Radio France :REVUE DE WEB : ENVIRONNEMENT – 19/12/2014 Références musicales : Paris V interprète : Orchestre National de Jazz
Qui dirige l’entreprise privée appelée Etats-Unis d’Amérique Les États-Unis, ce beau pays de liberté. Depuis 1776, les colonies anglaises ont perdu le pouvoir sur cette contrée (selon la fable écrite dans les livres d’Histoire par une ribambelle de francs-maçons)… En réalité, vous découvrirez dans cet article que les citoyens américains commettent une monumentale erreur en considérant le 4 juillet comme la célébration de l’indépendance de leur entreprise… euh… nation. Et comme toute entreprise, elle appartient forcément à quelqu’un… à la main invisible que voici… J’ai découvert cette information complètement par hasard lorsque je me suis intéressé au fonctionnement du système social américain. Asseyez-vous confortablement. Prenez une tisane (je pense que vous en aurez besoin)… surtout si vous vivez aux États-Unis… Ce que vous allez lire peut vous choquer… Il vaut donc mieux pour vous de ne pas vous blesser à la lecture de ces quelques lignes. Ne brûlez pas tout de suite vos livres d’Histoire et ne faîtes pas peur à vos enfants… Comme qui dirait :
Qui finance Obama et Romney ? Le financement de la politique américaine est faiblement réglementé et très opaque, et ses éclairs de transparence interroge. Le tableau ci-contre liste les contributeurs des campagnes électorales de Barack Obama et Mitt Romney pour l’élection présidentielle de 2012. Qui sont les plus gros contributeurs ? Essentiellement des banques. Le mouvement Occupy Wall Street appelle à défaire les liens entre l’argent de compagnie privé et la politique, et à accorder le même montant de ressources à tous les candidats pour que l’argent ne soit pas le critère déterminant. Dans le tableau ci-contre, on voit que les montants en faveur de Barack Obama sont plus élevés que ceux de Mitt Romney, ce dernier n’étant officiellement le candidat républicain que depuis peu. Parmi les autres gros contributeurs d’Obama on compte de nombreuses universités : University of California, Harvard, Stanford, Columbia. Source : ZeroHedge Financial Times New York Times Le Monde