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Paramédical : des besoins massifs

Paramédical : des besoins massifs
Une demande de soins accrue du fait du vieillissement de la population, de nombreux départs à la retraite prévus… Les métiers du paramédical ont besoin de renforts. En ligne de mire, des postes aux responsabilités élargies et aux modes d’exercice variés. © Laurence Prat/Onisep - Le paramédical, des métiers qui allient techniques et humain, et des débouchés… Salarié ou libéral Le paramédical emploie plus de 1 million de personnes, dont 80 % de femmes. La liste des recruteurs potentiels est longue : fonction publique hospitalière et d’État, collectivités territoriales, maisons de retraite, associations, cabinets privés, centres de rééducation, agences d’intérim… Les professionnels de soins (infirmiers, aides-soignants, puériculteurs…) sont majoritaires à l’hôpital, tandis que les spécialistes de la rééducation (orthophonistes, ostéopathes…) exercent surtout en libéral. Le marché de l’emploi des diététiciens et des techniciens en analyses biomédicales est par contre beaucoup plus réduit. Related:  santé qdg

Une bourse pour attirer les jeunes médecins Le Parisien | Et si le retour des médecins en Seine-et-Marne passait par la jeunesse? Alors que le département est bon dernier d'Ile-de-France en matière d'offre médicale — avec 28% de généralistes en moins que le reste de la région —, 2 médecins fraîchement diplômées viennent de s'installer à Compans grâce à un dispositif porté par le conseil général. Le cabinet de Joke Peeters et Aurélie Vinante ouvre aujourd'hui. « Le dispositif s'appelle OK Doc : il s'agit d'une bourse de 1000 € par mois, versée aux étudiants en médecine pendant les trois dernières années de leur cursus, résume Lydie Autreux, vice-présidente (PS) du conseil général. En échange, une fois diplômés, ces médecins doivent s'installer pendant au moins cinq ans dans un canton déficitaire en matière d'offre de généralistes. » En Seine-et-Marne, sur 43 cantons, une quinzaine sont des déserts médicaux. 40 projets de maison de santé à l'étude Pour Joël Marion, le maire (PC), « ce service manquait à la commune ».

Infirmière - Infirmier © Fotolia/Leah Anne Thompson Présents à l’hôpital dans tous les services, les infirmiers et les infirmières dispensent les soins prescrits par les médecins. Les conditions de travail sont réputées difficiles. Les infirmiers travaillent aussi en cabinet libéral. Le diplôme d’ Etat d’infirmier est obligatoire pour exercer la profession. Description métier Au sein de l’hôpital, l’infirmier et l'infirmière sont un maillon important de l’équipe médicale. Il procède aux soins spécifiques et d’hygiène nécessités par l’état de santé du malade : prise de la tension et de la température, pose de pansements, prélèvements sanguins et injections, préparation et distribution des médicaments, préparation du patient pour le bloc opératoire... L'infirmier assure également des tâches administratives : suivi des dossiers médicaux... Il fait le lien entre le malade et le milieu hospitalier. L’organisation du travail implique une présence permanente auprès des malades. L’admission se fait sur concours.

Médical : assurer la relève Médecins, pharmaciens, dentistes et sages-femmes rencontrent peu de difficultés d’insertion après leurs longues études. Dans certaines spécialités ou régions, on manque même cruellement de praticiens. © Laurence Prat/Onisep - Médecins, dentistes, sages-femmes et pharmaciens : les blouses blanches sont très demandées. Des besoins contrastés selon les régions Avec un peu moins de 200 000 médecins, plus de 74 000 pharmaciens, 40 000 chirurgiens-dentistes et 20 000 sages-femmes, la France est l’un des pays européens les mieux dotés en personnel médical. En cause, de fortes disparités régionales. Le risque de pénurie concerne surtout les généralistes et les ophtalmologistes installés en libéral, de même que certains spécialistes hospitaliers, exposés en termes de risques et de rythme : anesthésie-réanimation, chirurgie… D’autant que l’augmentation du nombre de places à l’entrée des formations ne suffit pas à compenser les nombreux départs à la retraite. Cabinet, hôpital, industrie…

Métiers de la Santé Dans un rapport rendu public en mai 2012, l’Inspection générale des Affaires Sociales (IGAS) avait mis en lumière un encadrement insuffisant des conditions d’agrément des écoles et une importante hétérogénéité de la qualité des formations dispensées. Elaboré au terme d’une concertation avec l’ensemble des représentants de la profession, ce nouveau cadre réglementaire définit des critères précis et exigeants sur la base desquels l’ensemble des établissements, quel que soit le public accueilli, devront solliciter un nouvel agrément d’ici juin 2015. Un nouveau référentiel de formation est en cours d’élaboration par le ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des Femmes et le Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche. Il sera applicable dans tous les établissements à compter de la rentrée 2015.

Santé Recherche Thématique Les champs marqués d'un * sont obligatoires. Onisep.fr, l'info nationale et régionale sur les métiers et les formations Sommaire du dossier Accueil du dossier Médical : Métiers et emploi Médical - Formations Médical - Quiz Paramédical - Métiers et emploi Paramédical - Formations Dossier Santé Publication : 19 septembre 2018 Le secteur de la santé regroupe les métiers et les formations du médical et du paramédical. Les articles du dossier Les métiers et l'emploi dans le médical Médecin généraliste ou spécialiste, pharmacien dans l'industrie pharmaceutique ou en officine, dentiste ou sage-femme : les professions médicales offrent de nombreuses possibilités d’exercices, et des débouchés assurés. Les formations pour exercer dans le médical Les études de santé, c’est plusieurs filières de formation d’une durée de 5 à 12 ans au total : maïeutique (sage-femme), médecine, odontologie (chirurgie dentaire) ou pharmacie. Quiz : Les métiers du médical Téléchargez nos guides Pour

Les salons de recrutement sont-il vraiment efficaces ? Publié le 21/10/2014 Attention, cet article a été publié le 21/10/2014. Ce dispositif d'archives vous donne accès à l'ensemble des publications du site FocusRH. Assurez-vous de lire les dernières dépèches et dossiers publiés en utilisant notre moteur de recherche Les salons de recrutement offrent l’opportunité aux entreprises d’aller à la rencontre d’un grand nombre de candidats, mais aussi de faire passer plusieurs entretiens d’embauche dans un laps de temps réduit. Quelles sont les principales difficultés rencontrées par les entreprises dans un salon de recrutement ? La principale difficulté, qui est aussi la plus sérieuse, est que les salons de recrutement ne permettent pas d’obtenir un taux de conversion satisfaisant (faible nombre de candidats recrutés par rapport au nombre de CV reçus ou d’entretien réalisés). Comment éviter ces écueils ? Il est d’abord nécessaire de préparer l’événement en amont. "Les Rendez-Vous du Succès" se veulent un événement privé, à taille humaine.

Comment attirer (et retenir) les médecins à l’hôpital public ? Comment attirer les jeunes médecins et retenir ceux déjà en poste ? Confronté à la concurrence du secteur privé qui promet à ses recrues des rémunérations plus attractives, une organisation plus souple, voire une meilleure qualité de vie, l’hôpital public cherche comment pallier la forte pénurie de praticiens qui l’affecte depuis plusieurs années dans certaines spécialités. Selon les organisations syndicales, qui parlent d’un « drame sanitaire en train de se dessiner », il manquerait aujourd’hui près de 1 500 anesthésistes et 1 200 radiologues dans les établissements publics français et ce, alors même que près d’un tiers des médecins en exercice à l’hôpital devrait partir à la retraite d’ici à 2020. Le plan d’action de 250 millions d’euros sur quatre ans dévoilé lundi 2 novembre par la ministre de la santé, Marisol Touraine, sera-t-il suffisant pour ressusciter une « envie de carrière » à l’hôpital public ? Un plafond pour les médecins mercenaires

Comment les réseaux sociaux changent les pratiques de recrutement ? Seuls 8% des recruteurs français utilisent les réseaux professionnels pour trouver des candidats ; chiffre sorti récemment du sondage mené par l’institut Harris pour Viadéo et l’Association des agences de conseil en communication pour l’emploi (ACCE). Surprenant ! Alors que les médias annonçaient la mort des process plus traditionnels de recrutement. Alors quelle est la réelle place des réseaux sociaux dans le recrutement ? L’institut Harris Interactive a interrogé 600 actifs et 401 recruteurs sur leur utilisation des réseaux sociaux professionnels. RH Cloud >> Quand on parle des recruteurs, de qui parle-t-on ? Clémence Rouart >> Les 400 recruteurs interrogés lors de l’étude menée par Harris Interactive sont représentatifs des personnes en charge du recrutement dans toutes les entreprises françaises (méthodes des quotas et redressement appliquée aux variables suivantes : taille d’entreprise, secteur d’activité et région). R.C. >> Qu’ont-ils changé dans la pratique votre métier?

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