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Quand l'agriculture paysanne arrive au cœur des quartiers populaires - Alternative

Quand l'agriculture paysanne arrive au cœur des quartiers populaires - Alternative
Terminés les paniers bios réservés aux « bobos ». Dans la ville ouvrière de Saint-Étienne, associations de quartier et paysans travaillent ensemble pour livrer des légumes de saison et des produits sains au plus près des quartiers, tout en créant des emplois. Rencontre avec les membres du projet « de la ferme au quartier », une plateforme d’approvisionnement alimentaire solidaire en circuit court, et une alternative au « low-cost » de la grande distribution. « Comment permettre au plus grand nombre, y compris aux personnes aux revenus très faibles et précaires, d’accéder à une alimentation saine ? Miser sur la solidarité entre consommateurs « La plateforme », le local où les salariés préparent et assurent les livraisons des paniers, est située dans le Marais, un ancien quartier de l’industrie lourde stéphanoise, aujourd’hui plus connu pour son Technopole ou pour le stade Geoffroy-Guichard. Lancer une activité viable économiquement et créatrice d’emplois pérennes a évidemment un coût. Related:  Education citoyenneRésistance agricole

Consommation ou partage collaboratif? Suite à la lecture de l’article d’Hubert Guillaud sur Internetactu.net qui de façon plus large traite d’usage et de mésusages & suite à la lecture de Vincent Truffy sur son blog médiapart, j’ai voulu expliquer ce qui à mes yeux fait partie de la consommation collaborative, et des valeurs que je voyais naître grâce à ce mouvement. J’ai été gêné du mélange général que j’ai pu voir entre les différentes formes de pratiques qui existent et les différences qu’elles ont. Ainsi voilà pour moi les deux améliorations, deux formes de valeur ajoutée, qu’apportent la Consommation Collaborative / Economie Collaborative que je mettrai dans cet ordre : 1) Une meilleure allocation des ressources Elle permet de redonner du service à ce qui stagnait. C’était l’ère de l’avoir. - La terre ne pourra pas supporter plus (et si on réfléchit, c’était bien débile d’en arriver là) - Le cool a changé. Ces trois raisons répondent à l’équation de l’allocation des ressources. 2) Une rencontre et un partage En conclusion

Fiche pédagogique "Je mange donc je suis" de Vincent Bruno 26’ l 2009 l CNCD 11.11.11 Résumé : Plus d’un milliard d’affamés dans le monde. Dans tous les grands colloques internationaux, une question se pose à présent : « qui va nourrir le monde ? ». Et si la question était mal posée ? Notre avis : Excellent film très pédagogique et accessible sur la mise en concurrence des agricultures du monde et les résultats qui en découlent. Questions de débat : Pourquoi souffre-t-on encore de la faim en 2010 ? Fiche pédagogique : Qui est le réalisateur ? Voir la banque de films Reinstating Local Food, Local Rules - Part 3 NOTE: This is a guest post from Siena Chrisman, Manager of Strategic Partnerships and Alliances at WhyHunger, with excerpts from Andrianna Natsoulas’ Food Voices. In the spring of 2010, WhyHunger began a partnership with Andrianna Natsoulas, longtime food sovereignty activist and author of the forthcoming book Food Voices: Stories of the Food Sovereignty Movement. Food Voices captures the testimonies and images of farmers and fisherfolks across five countries who are fighting for a just, sustainable and sovereign food system; a food system that values quality over quantity, communities over individuals, and the environment over the corporate bottom-line. Andrianna talked to Maine farmer, and WhyHunger partner, Bob St. Peter in 2011. “For me,” Bob says, “food sovereignty means being able to farm and care for a piece of land in a way that I feel is appropriate, without having market forces dictate what or how I grow.

Jardins, Art et Soin - associations - Jardins Action santé Fonds de Dotation Usages, mésusages C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative. Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation Le moteur principal de leur motivation ne me semble pas être celui-là décroissance ou du développement durable, comme semblent nous le répéter les argumentaires de tous ces services, mais bien celui de l’hyperconsommation, comme le soulignait le philosophe Gilles Lipovetsky (Wikipédia) dans son essai éponyme. Le principe de partage des services du web 2.0 a bien plusieurs acceptions.

Outils pédagogiques | Oxfam-Solidarité Alimentation, consommation durable, pauvreté et inégalités, économie mondiale… Nous vous fournissons le matériel nécessaire ! Vous pouvez utiliser nos dossiers en classe pour préparer une visite à nos ateliers d’immersion ou tout simplement en tant qu’activité indépendante. Kit d'apprentissage « Nourris tes idées ! Ce kit d’apprentissage se déroule en 3 phases : apprendre, réfléchir et agir. Commander Jeu éducatif « Consomania » « Consomania » est un jeu sur la consommation durable. Le jeu a été conçu pour les bénévoles d'Oxfam, mais peut également être utilisé à l'école ou par d'autres organisations. Durée d’une heure6-10 personnesÀ emprunter (en ne payant que les frais de port pour le renvoi) ou à acheter (22€) Film d’animation « La mondialisation dans tous ses états » Le film d’animation « la Mondialisation dans tous ses états » parle de notre mode de production et consommation actuel et commence d’abord par un aperçu de l’histoire. Envie de savoir plus de la mondialisation? Découvrir

Marre du supermarché ? Bienvenue dans La ruche qui dit oui | Rue89 Planète Voisins ou amis, ils passent commande collectivement chaque semaine des produits aux paysans du coin. S’assurant des menus plus variés que par une Amap. Eux ne parlent pas du « made in France », mais se sont organisés pour manger local. Grâce à une plateforme internet, ils commandent en groupe de la nourriture de qualité, le plus souvent bio. Ras-le-bol des les escapades familiales sous les néons des supermarchés qui finissent souvent avec les gamins qui chouinent, les mamans qui songent secrètement au divorce et les papas qui serrent les dents ? Commande groupée à un producteur local Un samedi sur deux, producteurs et consommateurs ont rendez-vous, de 11 heures à 13 heures, dans ce qui ressemble plus à une joyeuse foire qu’à un marché. La plateforme internet permet à des consommateurs de se constituer en collectifs – ou « ruches » – afin de passer des commandes groupées à des producteurs locaux qui les livrent dès lors qu’une quantité suffisante a été atteinte.

Le jardin de Cramphore au Pouliguen

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