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Marketing : 6 règles pour monétiser un produit

Marketing : 6 règles pour monétiser un produit
Related:  3. Produit, offre, image

Le produit 1.3. La classification des produits 1.3.1. Les produits industriels Ce sont les produits utilisés dans le processus de production. - de transformation: utilisés directement dans le cadre de la production (les matières premières, les matériaux de construction, les pièces détachées) 1.3.2. Le critère de classement principal est la fréquence d'achat. 2. 2.1. La "dénomination de vente" est la fonction principale qui permet d'identifier un produit. - Une réglementation. 2.2. 2.2.1. Sont considérés comme marque "tous signes matériels servant à distinguer les produits, objets ou services d'une entreprise". Une marque peut être matérialisée par: 2.2.2. Sur le plan de la communication commerciale, le nom d'une marque doit posséder plusieurs qualités essentielles: Euphonique: Succession harmonieuse de voyelles et de consonnes qui donne un caractère agréable, faciles à prononcer, qui facilite la lecture, qui rend la marque audible (exemple: Nevada, Samara, Sierra) 2.2.3. 2.2.4. 2.2.5. Pourquoi ? 2.3.

Valeur perçue, valeur d'usage, valeur de signe L'entreprise vend-elle un produit ou une image ? - Réviser le cours - Mercatique Le marchéage, élément central de la démarche mercatique souligne l'importance de la mise en place d'une offre claire à destination de consommateurs bien identifiés. Or, comment cerner la notion d'offre ? Celle-ci se réduit-elle à la dimension fonctionnelle du produit ou va-t-elle au-delà en touchant à sa dimension symbolique ? 1. La politique de produit impose à l'entreprise de définir les produits mis en vente. 1.1. Les produits désignent à la fois les biens et les services proposés par l'entreprise. Le service, quant à lui, est immatériel. Les entreprises ne vendent plus de manière exclusive soit des biens soit des services. 1.2. Le conditionnement étant la première enveloppe matérielle du produit, il doit être généralement distingué de l'emballage, qui lui constitue les couches supérieures du conditionnement. 1.3. 1.4. Pour l'entreprise, la marque véhicule une valeur globale évoquant des promesses de satisfaction matérielle et immatérielle qui rassurent le consommateur. 1.5. 2. 2.1.

La notion de coût d'opportunité Choisir de faire une chose revient, par définition, à renoncer à autre chose. Il est difficile d'échapper à ce dilemme. Le coût de faire ou d'avoir quelque chose est alors mesuré par la valeur maximale de ce à quoi on renonce. C'est cette valeur comparée aux bénéfices attendus de l'action que l'on veut entreprendre qui décidera si cette action doit être entreprise. Prenons un exemple simple : poursuivre sa scolarité d'une année. Si les études sont payantes (une année d'étude vaut environ 10 000 euros par an) les poursuivre revient à se priver de ce montant qui aurait pu être utilisé à autre chose (acheter une voiture) et aussi à renoncer à un travail salarié ou à des loisirs. Pourquoi les pauvres prennent-ils le train alors que les riches eux préfèrent l'avion ? La première réaction que l'on attend de vous est celle de Monsieur Tout-le-monde : les riches ont les moyens de se payer l'avion, pas les pauvres. Attention à la notion de coût du temps. Question d'évaluation Réponse : faux Réponse:

La boite à outils Marketing Contribution Développement Durable réalisée par Hélène-Claire Leboutet-Barrell L'objectif de l'éco-conception est d'améliorer la qualité écologique des produits tout en conservant la qualité d'usage. Cela consiste à prendre en compte l'ensemble des impacts environnementaux (changement climatique, pollution de l'eau, de l'air, des sols, production de déchets, de bruit...) à toutes les étapes de la vie du produit, de la conception jusqu’à sa fin de vie, en passant par l’utilisation par les clients. La prise en compte de l'environnement est une opportunité de repenser les produits. anticiper les réglementations ;faire des économies par la réduction des coûts de production (consommation d'énergie, de matières premières, réduction des déchets...) Pour commencer à réfléchir à l'éco-conception, il y a lieu de se poser les questions de "bon sens écologique" : Réflexion préalable : on n'étudie pas un produit dans l'absolu, comme une référence commerciale ou une unité de vente au client. A noter :

Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque Les consommateurs sont demandeurs de contenu ludique fourni par une marque et reconnaissent sa valeur. Ils seraient même plus disposés à vouloir en savoir plus sur elle. Et ce, notamment chez les jeunes adultes. Un tiers des Américains reconnaissent la valeur, dans la consommation, du contenu de divertissement fourni par une marque et "brandé" (34%). Des demandes claires De la même façon, 31% des consommateurs souhaitent du contenu vidéo en ligne gratuit contre 39% des jeunes adultes et 20% du contenu auquel il n'aurait eu accès sans la marque contre 31% chez les 18-34 ans. Une histoire de confiance Et pour cause, 53% de ceux qui n'ont pas d'attente particulière vis-à-vis de ce type de contenu ne sont certes pas favorables, mais ne sont pas contre non plus.

- Etude marché, Conseil en stratégie : Marketing, Communication entreprise, Relation client - La Poste entreprise : Le'Hub Qu’y a-t-il à retenir sur ces 5 dernières années ? Quelles ont été les initiatives les plus marquantes ? Et demain ? A quelles transformations faut-il se préparer ? A l’occasion de la 50e tendance du mois, le Hub est allé à la rencontre de 7 marques et influenceurs pour avoir leur vision des [r]évolutions en cours. > Retour au sommaire navigation contenu Voici 7 interviews de marques et influenceurs pour avoir leur vision des [r]évolutions en cours : Le buzzword de 2014 ? L’avenir est aux marques qui s’appuient sur leurs valeurs pour raconter une histoire par Agnès Testard, Directeur de la communication relationnelle de Bouygues Telecom Je crois au développement de la recherche du bien-être, associée à la consommation collaborative par Isabelle Musnik, Fondatrice et Directrice Générale de INfluencia Médias et points de contact sont désormais des sujets très stratégiques pour les marques par Stéphanie Sabourin, Directeur Média & Alliances Europe chez Disneyland Paris

Définition Mercator Monoprix lance une appli Facebook pour personnaliser ses packagings Personnaliser paquets de chips, plaquettes de beurre ou boîtes de céréales, puis les détourner telles des cartes de voeux pour toutes les bonnes et heureuses occasions du quotidien, c'est l'idée de Monoprix qui vient de lancer une application Facebook à cet effet : "Les messages en boîtes". L'enjeu : créer de la viralité tout en cultivant l'image décalée de la marque. Dès le lundi 16 décembre et pour la période des fêtes de fin d'année, les internautes sont invités à sélectionner, via une application Facebook en ligne des packagings siglés Monoprix, des textes pré-définis pour différentes occasions (fête, anniversaire, mots doux, réussite...), puis à ajouter soit leur prénom, soit celui d'une autre personne, avant de partager leur création sur le réseau social. Calembourgs et packagings personnalisés "Que tous tes rêves se céréalisent", "Ça vaut la penne de fêter ça", "Tous mes oeufs de bonheur"... Créer de la viralité et de l'engagement

Dossier satisfaction client et fidélisation client Dossier Spécial satisfaction client et fidélisation client sur Marketing Professionnel Les nouveaux enjeux de la relation marque-consommateur. Laurent Alexandre, Président de Longtail Value La marque et le consommateur sont un couple, régi par des droits et des devoirs. Les outils d’évaluation du ressenti client. Les entreprises face au défi de la fidélisation client. Gestion de l’expérience client : les meilleures pratiques. Optimiser la satisfaction en e-commerce (pourrait être simple). La fidélisation, nouvelle marotte des directions marketing… et financières ! Le mobile dans la gestion de la relation client. Dossier satisfaction client et fidélisation client Fidélisation client : nouvelles tactiques pour un site E-Commerce rentable. Témoignages et interviews, par Serge-Henri Saint-Michel Xerox : reproduire la satisfaction client, c’est fidéliser. Starbucks, un goût de satisfaction. Fidélisation : les conseils de Salesforce. Les deux dossiers précédents sur Marketing Professionnel :

[Table ronde Interbrand] L'actif marque, accélérateur du commerce En marge, de la publication de la quatrième édition des Best Retail Brands (lire ici notre article), Interbrand organisait une table ronde " l'actif marque, accélérateur du commerce " avec les retours d'expériences de la Fnac (Katia Hersard), de But (Frank Maassen), de Volcom (Gaëtan Le Guennec), d'Oscaro.com (Véronique Campbell), de Klépierre (Sandrine Quesnel) et des Galeries Lafayette (Julien Mercier). Pour Oscaro.com, le développement de son business de ventes de pièces détachées par le net passait nécessairement par une marque forte et reconnue. "Nous avons dès le départ largement investi en publicité, ce qui a porté ses fruits : aujourd'hui, nous affichons 76% de notoriété spontanée sur la cible des hommes de 25 à 49 ans ", explique Véronique Campbell, directrice marketing et communication du pure player. Un pré-requis pour établir une préférence de marque.. La culture de marques L'expérience de marques Donner envie...

L'indispensable mesure de la satisfaction client "Il n'y a qu'un patron : le client ", selon le fondateur de la chaîne de centres commerciaux Wal-Mart, Sam Walton. Un truisme parfois oublié. Pour conserver ses clients, il est essentiel de commencer par connaître les motifs d'insatisfaction et de les éradiquer. Cela passe notamment par l'écoute de ceux qui sont déçus par vos services ou produits et qui l'expriment (réclamations, avis postés sur la Toile...). " Le préalable est bien sûr de leur permettre d'exprimer leur insatisfaction, via un service téléphonique ou un espace sur votre site web par exemple. Cap sur l'enquête de satisfaction Tirer des enseignements des clients qui expriment leur mécontentement est évidemment la base. Le but n'est pas tant de savoir s'il est satisfait que d'identifier là où il pourrait l'être davantage. De même, il s'agit de déterminer quel échantillon vous désirez sonder. Questionnaire : faites simple Des canaux à foison Selon Véronique Godart (Activeo), " les canaux distants [e-mail, SMS, courrier...

Marque : ce qu'elle fait à l'intérieur se voit à l'extérieur La marque, longtemps confinée dans les mains du marketing, apparaît comme une terre pleine de promesse en termes de management d'entreprise. Une marque est même un formidable outil de motivation et d'alignement stratégique (1). Grâce au management par la marque, chaque salarié peut s'approprier le développement stratégique de l'entreprise et y contribuer directement. Pour mieux comprendre le management par la marque, un bref retour sur la marque est nécessaire. Ward, Light et Goldstine (2) établissent un premier lien entre marque et avantage concurrentiel. La marque représente pour eux une identité distinctive qui permet à la fois de différencier une promesse de valeur et de faire connaître la source de cette promesse. Une histoire de promesse Le management par la marque consiste à s'assurer que la promesse de la marque est effectivement tenue. Pour y parvenir, l'entreprise doit s'assurer que la promesse de la marque est bien assimilée par tous.

Seuls 20% des clients se disent satisfaits du traitement de leur réclamation 33% des Français qui ont déjà vécu une ou plusieurs insatisfactions au cours de douze derniers mois, n'ont jamais réclamé, ni par oral, ni par écrit. Tels sont les résultats d'une étude BVA pour le compte de l'AMARC (Association pour le management de la réclamation client). Si les consommateurs ne se sont pas manifestés, c'est essentiellement pour deux raisons. L'insatisfaction par secteur Pourcentage de consommateurs ayant été insatisfaits au cours des douze derniers mois : -17% dans l'énergie-20% dans l'assurance-29% dans la téléphonie mobile-35% dans le secteur bancaire Côté entreprises, la gestion de la réclamation pose encore des problèmes en termes d'organisation. Concernant les barrières techniques, qui relèvent d'un problème de savoir-faire ou de la trop forte complexité d'un système, les secteurs les plus en difficulté sont l'énergie (63%) et la téléphonie mobile (62%), loin devant la banque (38%) et l'assurance (40%). Méthodologie :

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