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Dessine-moi le marketing responsable

Dessine-moi le marketing responsable
Alors que les risques de greenwashing s’amenuisent avec la multiplication et la valorisation des bonnes pratiques de communication et de publicité responsables, les enjeux se déplacent sur le terrain plus large du marketing. Les lieux de vente, les emballages, les noms de marques ou de produits sont autant d’opportunités pour les entreprises de valoriser leur démarche de responsabilité et leurs engagements en faveur du développement durable. Face à ces nouvelles tendances, l’ADEME a souhaité dresser un état des lieux de cette thématique du marketing responsable à travers une étude exploratoire que j’ai réalisée en 2012-2013. Elle se base sur l’analyse de la littérature (ouvrages, études, guides, sites web et blogs), sur une série d’entretiens avec 30 experts à l’interface entre le marketing et le développement durable ainsi que sur un sondage en ligne auquel 168 personnes ont répondu (dont 50 % de professionnels du marketing et 25 % de consultants). Marketing responsable : définition Related:  MARKETING DURABLE

Consommation collaborative et marques (opportunité ou menace ?) Le collaboratif a le vent en poupe. Bien plus qu’une simple mode, ce mouvement challenge les modes de consommation traditionnels. Nathalie Damery (Obsoco) explique les raisons de l’émergence de la consommation collaborative ; Antoine Jouteau (Leboncoin.fr) et Nicolas Ferrary (Airbnb) analysent les succès de leur entreprise respective ; Louis-David Benyayer (Without Model) expose les réponses stratégiques des acteurs historiques confrontés à cette nouvelle donne. Un Atelier proposé par La Poste et animé par Maryse Mougin, Directeur de la Relation Client à La Poste. La synthèse de l’Atelier de la Performance Client Exceptionnel Première partie – Le contexte : l’émergence d’une nouvelle consommation Nathalie Damery détaille les différents facteurs qui ont contribué à la poussée de la consommation collaborative, ainsi que les motivations et les caractéristiques des consommateurs collaboratifs. Les intervenants Les échanges : la parole aux participants Interviews vidéo L’Atelier en photos

Consommation durable et Typologie de consommateurs 2013 – PLUS RADICAUX ET IMPATIENTS ! « Blog Ethicity Pour mieux comprendre les motivations et leviers de changement de comportement des français, Ethicity présente aujourd’hui une analyse plus fine des résultats de son étude[1] à travers une typologie de 8 groupes de consommateurs et son évolution par rapport à 2011. La fin du Déni ? Alors qu’en 2011 et 2012, nous estimions à un tiers la population totalement imperméable aux enjeux et solutions pour une consommation plus responsable, on observe cette année une augmentation du niveau de conscience dans tous les groupes avec le rattrapage et l’augmentation de la perméabilité des types les moins sensibles et engagés. Ces phénomènes illustrent un cycle d’intégration du développement durable dans les habitudes des français, car avec la fin du déni, vient le début de l’action pour ceux qui étaient moins engagés. Les plus engagés s’impatientent et se radicalisent… Les éclaireurs réactifs (de 10% à 10.5%) Les verts-bâtisseurs impatients (de 9.4% à 11.3%) Les bio-beaux exigeants (de 14% à 12.4%)

Français et le développement durable Un article de Encyclo-ecolo.com. Quelle est la position des Français sur le développement durable, leur attitude face à la consommation durable et aux engagements éco-citoyens ? Comment évolue cette position au fil des années ? Les Français et le développement durable Les études marketing sur l'attitude des Français face aux questions du développement durable, de la consommation durable, des écogestes et des questions liées à pollution, au réchauffement climatique, ... compilées depuis 2005 par thème et chronologie DES CHANGEMENTS profonds et durable dans la perception des Français se confirment année après année, comme on le voit dans les relevés de perceptions et de sensibilité. > Voir aussi les articles complémentaires : Les [ Français et consommation responsable ] et les [ Français et la voiture ] Les Français et la crise : moins impliqués dans le développement durable en 2014 > 47 % d'entre eux craignent en effet de « manquer d’argent, de vivre dans la misère ». Indispensable voiture

Les français et la consommation locale, infographie Social Question : comment faire manger des fruits aux enfants ? Pas comme ça (infographie) / Monde Pour une alimentation équilibrée, votre régime minceur ou vos idées de recettes, voici une chose à…éviter (extrait d’une infographie génialissime made in Marmiton.org). Environnement Expert Le gaspillage alimentaire, une priorité européenne (infographie) La Commission Européenne rappelle dans le cadre de sa campagne Génération Awake, les effets négatifs du gaspillage alimentaire qui représentent également une perte importante des ressources que sont la terre, l’eau, l’énergie [...] Le 17 avril, 19 paysans, 1 journée. Le 17 avril 1996, dix-neuf paysans du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre du Brésil (MST) étaient assassinés par des tueurs à la solde de grands propriétaires terriens.

RSE : mythe ou réalité ? CSR... These are three letters which have succeeded making their way into the business world for several years now. Corporate Social Responsibility indeed seems to have become a must: pure and simple performance doesn't seem to be enough anymore for economic agents to succeed taking part in a sustainable project. More and more often, they have to prove their commitment, whether it is social and/or environmental. In order to understand the notion CSR, the first thing to take into consideration is another topical concept: Sustainable Development. The absence of an opposition between environment and growth, and therefore, a possible synergy between both increase the interest of more and more economic agents and individuals for sustainable development, even if the notion is still very vague and imprecise. Thus, CSR appears to be the adaptation of the concept of sustainable development at business level. These actors want to influence and/or impact the company.

Comment Le Chat s’est remis au vert après Petit voyage dans la pré-histoire des bad buzz. En 2009, la marque de lessive Le Chat est épinglée par l’association WWF. L’organisme avait créé à l’époque son observatoire de la publicité afin de dénoncer les marques qui avait fait de l’écologie un argument marketing sans fondement. Or après vérification, l’Observatoire avait rendu un rapport au vitriol: Pas de label officiel, des icônes qui pouvaient semer le trouble dans la tête du consommateur et donc une utilisation abusive du mot "écologie". D’emblée une question: comment Le Chat a-t-il pu lancer une campagne axée sur l’écologie sans disposer de label adéquat? Le Chat mettra près de cinq ans à se remettre de son erreur de jugement. D’abord la lessive en question a décroché depuis son fameux sésame: l’Ecolabel. D’autant qu’il a au passage mis de l’eau dans son slogan. Enfin pour appuyer sa démarche et pour passer du mauvais au bon buzz, Le Chat a lancé une page Facebook qui compte déjà plus de 5000 fans et le site Lavonsmieux.com.

RPF Rue89 De la mise en rayon à la caisse, en passant par le choix des achats, les clients de cette épicerie autogérée, à Paris, font tout eux-mêmes. Hervé, à l’Indépendante, fin juin 2013 (Emmanuel Daniel) Jusqu’en 2008, Hervé était un doux rêveur qui pensait qu’en « jouant du rock’n’roll on était en action contre le système. C’est par l’assiette que ce musicien de profession est entré dans la sphère militante. Making ofEmmanuel Daniel, journaliste, réalise depuis juin un Tour de France des alternatives, pour « observer des alternatives concrètes dans des domaines aussi variés que l’économie, l’écologie, l’éducation, la politique ou la culture ». Alors, avec quelques amis, ils décident de « faire quelque chose ensemble ». « On a senti que l’on touchait à une aspiration réelle d’un certain nombre de personnes », raconte Hervé. Eviter le supermarché « L’idée était de sortir du supermarché, de ne plus approvisionner les comptes de multinationales qui détruisent la planète », rappelle Hervé.

Pendant que le bio ralentit, le locavorisme s’envole «L’insolente santé» de l’alimentation bio risque de se ternir quelque peu, selon un article du monde.fr basé une étude du cabinet Xerfi (un document destiné aux exploitants agricoles, aux industriels de l’agroalimentaires, aux distributeurs et à la restauration). La croissance de ce marché va ralentir, pour plafonner à 5% en 2015. C’est largement moins bien que dans les dernières années: entre 2006 et 2010, les taux de croissance du secteur se situaient plutôt entre 10 et 25%… Selon le cabinet, c’est la faute à la crise: les consommateurs établissent des priorités. Et comme les produits biologiques restent plus chers… Autre tendance du bio pour les prochaines années, la grande distribution va continuer à élargir sa gamme et à augmenter sa part de marché. Le diagnostic établit que le locavorisme (privilégier les achats de produits locaux) va peut-être même évincer le bio… Pour Xerfi, la notion de proximité est devenue incontournable dans la filière alimentaire.

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