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@comeetie : carte données carroyées

@comeetie : carte données carroyées
Cette carte permet de visualiser certaines données issues des revenus fiscaux localisés des ménages de 2010. Ces données sont en effet de nouveau disponibles de manière très fine (aggrégées sur des pixels de 200m x 200m !). J'ai donc essayé de visualiser celles-ci à différentes échelles : aux échelles hautes, les données sont aggrégées sur des pixels de 4km², aux échelles intermédiaires sur des pixels de 1km² et enfin aux échelles fines sur des pixels de 200m par 200m. la densité de population (nombre d'habitants / km²); le pourcentage d'habitants de moins de 25 ans; le pourcentage d'habitants de plus de 65 ans; le revenu moyen par unité de consommation; le pourcentage de ménages à bas revenus. Note sur le secret statistique : Réalisation : Etienne Côme, aka @comeetie Sources : Données carroyées (INSEE) Outils : R,TileMill, d3 Related:  Inégalités croissantes

En bleu les riches, en rouge les pauvres... Faites le test dans votre quartier Capture d’écran L’association Regards Citoyens attire notre attention sur une visualisation plutôt bien ficelée : les revenus des Français par carrés de 200m de côté... La carte se base sur les données de l’Insee, qui publie les revenus « carroyés » des ménages au 31 décembre 2010. Etienne Côme, auteur de cette « data-viz », travaille à l’Institut français des sciences et technologies des transports de l’aménagement et des réseaux (IFSTTAR) : « Pour les revenus, on constate l’“effet ville” et la richesse du littoral. Vue dans son intégralité, la France est découpée en carré de 4km2 : en bleu les riches, en rouge les pauvres. Les inégalités deviennent dès lors bien visibles. Zomm sur la région parisienne Autre exemple : Amiens, où l’on retrouve là aussi une coupure entre les moitiés nord et sud de la ville. Zoom sur la ville d’Amiens Zoom sur la ville de Marseille Allez faire le test sur votre quartier...

Les classes moyennes calent, la croissance mondiale ralentit Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions d'Olivier Passet Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Accéder à Precepta Stratégiques Accéder à Xerfi Business TV Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables

Délinquance : le sévère constat d'un général VIDÉO - Devant des députés, le général Soubelet, n°3 de la gendarmerie, a déploré que les délinquants «profitent du système» et a noté que «les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes». «Je vais livrer une analyse personnelle, peut-être un peu iconoclaste»: avec un courage certain, le général de corps d'armée Bertrand Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie nationale, s'est livré à une critique sans fard de la politique pénale actuellement menée. Ses propos, tenus le 18 décembre devant la commission parlementaire de «lutte contre l'insécurité» ouverte à la presse et qu'il savait enregistrés, sont ceux d'un grand technicien. Pendant plus d'une heure et 24 minutes d'audition, ce général 4 étoiles, grand patron des opérations et de l'emploi à la Direction générale de la gendarmerie nationale, nommé le 28 novembre 2012 en Conseil des ministres, a brossé un tableau sans concessions.

La grande récession, la reprise invisible et la crise silencieuse S’il y a bien un moment de l’histoire récente où l’insuffisance de nos indicateurs de réussite économique et de progrès social éclate au grand jour, c’est la « reprise invisible » que vivent les citoyens en Europe et aux Etats-Unis. Le fossé entre les décideurs politiques et leurs électeurs sur l’état réel de l’économie est tellement béant qu’il semble désormais y avoir deux univers parallèles : l’un, où la « grande » récession de 2009 a cédé le pas à une reprise économique solide et partagée dont chacun devrait se réjouir ; l’autre, où la reprise en question est si partielle, fragile et inégalitaire qu’elle mérite le qualificatif non seulement de « petite » mais d’invisible. La reprise, pas pour tout le monde La chronique de la « reprise invisible » diffère pour l’Union européenne et les Etats-Unis. Démocratie menacée Cet écart entre le discours politique et l’expérience quotidienne des citoyens est un poison pour la démocratie de part et d’autre de l’Atlantique.

Les salaires ont davantage progressé que l'inflation en 2014 Des augmentations supérieures à l'inflation. En 2014, les hausses de salaires globales (générales et individuelles) pratiquées ont été de 1,9%, selon une enquête du cabinet de conseil Altedia, publiée vendredi 3 octobre. En janvier, les entreprises interrogées prévoyaient une hausse de 2%. D'après ce même observatoire des rémunérations, les entreprises françaises projettent de relever globalement les salaires de 2% en 2015, alors que le gouvernement table sur une inflation de 0,9%. Début septembre, une étude du cabinet Deloitte avançait des chiffres du même ordre. Le mérite individuel davantage rétribué Pour les augmentations générales, les budgets se sont rétrécis encore pour l'année 2014, tant pour les cadres (+0,7% contre +1,1% en 2013) que pour les autres catégories (+1,1% contre +1,3%), précise l'enquête. Les cadres profitent d'avantage de l'intéressement Si 69% des cadres ont eu en 2014 des augmentations individuelles, seulement la moitié (53%) des salariés des autres catégories.

Qui détient le vrai pouvoir en France ? Le pouvoir du secteur privé est éparpillé entre de multiples chefs d’entreprises. Le pouvoir du secteur public est dominé par l’Etat centralisé qui fait appliquer les mêmes règles de fonctionnement partout. Par ailleurs, les chefs d'entreprise sont de qualifications variées, tandis que l’Etat est dominé par des fonctionnaires issus d’une école d’élite, l’Ecole Nationale d’Administration. La conséquence de ces deux données de base est que le secteur public est plus homogène que le secteur privé dans l’exercice de son pouvoir. D'autre part, au plan économique, la dépense publique représente 56,2% de la richesse produite. Enfin, le secteur public détient les pouvoirs militaire, judiciaire, et policier.. Le secteur public est à tous égards le pouvoir dominant en France. Au sein du secteur public, qui décide ? En principe, le pouvoir est exercé par des hommes politiques élus. Mais ces politiques sont issus en majorité de la fonction publique. Quelles sont les conséquences de cet état de fait ?

La précarité de l’emploi en France 6 novembre 2015 - La France compte 25,8 millions d’emplois, occupés par 22,8 millions de salariés et 3 millions d’indépendants. 12,3 % des salariés, soit 3,2 millions de personnes, ont un emploi précaire, le plus souvent les peu qualifiés et les jeunes. Les trois quarts des emplois sont des postes de salariés du privé en contrat à durée indéterminée (59 %) ou des fonctionnaires (17 %) selon les données 2014 de l’Insee. 12,3 % des emplois sont précaires, ce qui représente 3,2 millions de personnes, principalement des contrats à durée déterminée (7 % du total des emplois) et des intérimaires (2,1%). Ces données sont discutables. Dans une période de chômage de masse, le statut de la fonction publique et le diplôme constituent une protection essentielle, qui permet de se projeter dans l’avenir [1]. L’évolution de la précarité de l’emploi Graphe plein écran Plus de données Salariés en CDD, intérimaires et apprentis. Pour en savoir plus : Photo / © jolly - Fotolia.com

Le basculement mondial des classes moyennes Les dernières émissions d'Olivier Passet Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Les dernières émissions Toutes les dernières émissions Xerfi Canal Économie Les nouvelles émissions Xerfi Canal TV Toutes les dernières émissions Xerfi Canal TV Les incontournables Burn-out: les entrepreneurs sévèrement touchés Certains l'appellent déjà le nouveau "mal du siècle": le "burn-out", ou syndrome d'épuisement professionnel, touche de plus en plus d'actifs en France. D'après une étude du cabinet de prévention des risques psycho-sociaux Technologia publiée mercredi 22 janvier 2013, plus de trois millions d'entre eux pourraient un jour "craquer" au travail, submergés par le stress lié à l'intensification du travail et à sa surcharge. Les chefs d'entreprises, artisans et commerçants sont loin d'être épargnés. Parmi les symptômes d'un épuisement qui guette, une qualité de sommeil dégradée et une irritabilité, non sans risque pour les petites entreprises. Des causes spécifiques aux dirigeants Si les signes et les conséquences du burn-out sont similaires chez tous les actifs, certaines causes semblent spécifiques aux patrons. Autre facteur de risque propre aux PME, les soucis de trésorerie. Le rôle préventif de la famille Autre relais, les syndicats patronaux.

Union européenne: selon la Croix-Rouge, le niveau de pauvreté est proche de celui de la Seconde Guerre Mondiale Pour être encore plus précis, selon Eurostat, en 2012, un quart de la population était menacée de pauvreté ou d’exclusion sociale. Soit près de 125 millions de personnes. Fini de rire. Les balivernes qu’on nous serine sur l’Union européenne depuis des lustres pour asseoir les mythes de la paix et de la prospérité en Europe se payent comptant. Le seul argument des constructeurs de cette Europe, « sans cela, cela aurait été pire », ne tient plus. En attendant des lendemains qui chantent et qui ne sont pas pour demain, bien au contraire, les populations s’enfoncent dans la pauvreté. Dans un entretien accordé à Rusia Today, Anita Underlin, directrice de la Croix Rouge Europe, fait état de la situation de la pauvreté en Europe dont le niveau dans certains pays atteint celui de la seconde guerre mondiale. Selon les dernières statistiques environ 43 millions de personnes souffrent de pauvreté dans l’Union européenne, soit près de 10% de la population. D’autres pays ne sont en reste.

En cinq ans, le pouvoir d'achat des Français a baissé de 1500 euros Depuis 2009, les Français ont perdu l'équivalent de 1.500 euros annuels (1.496 euros précisément) de pouvoir d'achat. 60 millions de consommateurs note une augmentation notable du prix des dépenses contraintes, notamment liées au logement ou à la voiture. Pour calculer ces variations, le magazine de l'institut national de la consommation (INC), s'est basé sur l'évolution des prix, des revenus, et de la consommation des ménages. Les hausses de revenu n'ont pas suivi celles des prix Il estime ainsi qu'entre 2009 et 2014, le revenu annuel moyen par ménage (incluant salaires, patrimoine et prestations sociales, et déduisant impôts et cotisations sociales) a augmenté de 2,9%, passant de 37.517 euros à 38.591 euros. Mais parallèlement, les prix ont augmenté de 6,9%, avec notamment une explosion du poids des dépenses contraintes. Perte du contrôle sur les factures Des classes sociales différemment touchées 2014 neutre en pouvoir d'achat

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