background preloader

Apicius ou la cuisine romaine

Apicius ou la cuisine romaine
Petite histoire de la cuisine Pour s'informer sur la cuisine romaine, il n’y a hélas que peu de sources qui nous sont parvenues puisque nous n’avons conservé qu’un ouvrage complet de cuisine romaine, le "De re coquinaria" (ouvrage encore disponible en librairie) d’Apicius, le plus célèbre cuisiner romain, si l’on excepte quelques recettes transmises par Caton comme des bouillies et des petits pains au fromage, qui ressemblent plus à des croquants salés. Né en 25 avant J.C., Marcus Gavius Apicius a vécu sous le règne de l'Empereur Tibère et était son cuisinier officiel. Il a surtout fréquenté son fils Drusus dont il est dit qu’il était son mignon. En plus d'Apicius existe Varron, auteur d’une véritable encyclopédie au Ier siècle avant J.C. et Columelle, auteur d’un traité d’agronomie qui nous ont aussi laissé quelques recettes mais rien qui reflète l’ensemble de la gastronomie romaine. Alors c'est vers les sources grecques qu'il faut se tourner pour obtenir de plus amples informations. Related:  petite Cuisine antique

Cuisine de la Rome antique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La cuisine de la Rome antique a très fortement évolué au cours des siècles. La nourriture des Romains de l’Antiquité, ne fut dépendante des mets exotiques que sous l'Empire. La plupart des Romains, sous la République, se contentaient d’une nourriture simple. Ils mangeaient peu, des mets assez grossiers, et la loi punissait même ceux qui se livraient à des banquets trop riches[1]. La nourriture de base des Romains à l'époque antique[modifier | modifier le code] L'alimentation des premiers Romains était principalement constituée de céréales comme l'orge, le blé et le froment avec lesquelles on fabriquait une bouillie (pulmentum) qui reste, même pendant l'époque impériale, l'aliment des plus pauvres. Par la suite, la base de la nourriture est constituée de pain, apparu assez tard à Rome (IIIe siècle av. Outre les herbes aromatiques, la cuisine romaine devait toujours posséder une réserve de garum. poissons, mosaïque de Pompéi (musée de Naples)

Les desserts - Médusez-moi Patina de poires - Se procurer un kilo de poires, les éplucher et en faire de petits dés.- Placer les poires dans une casserole avec un demi-verre de vin doux comme du muscat.- Rajouter quatre cuillères à soupe de miel, une de garum (Nuoc Mam ou au pire du sel) et deux de cumin en poudre.- Poivrer le tout et cuire jusqu'à ce que les poires soient tendres. Ensuite, laisser tiédir un instant et mélanger le tout avec six œufs. Verser l'ensemble dans un plat beurré et mettre au four à 220 degrés environ pendant 40 minutes.- Laisser refroidir complètement, c'est prêt.- Ce plat existe aussi sous différentes formes en remplaçant les poires par des pommes ou des prunes. Fruits au miel Minutal d'abricots (Minutal ex praecoquiis) Commencez par préparer une pâte pas trop souple avec 1 verre de farine ordinaire, de l’eau et 1 pincée de sel. Pendant ce temps, coupez en dés 800 g de palette cuite ou de petit-salé cuit et faites-les revenir dans un peu d’huile d’olive avec 4-5 échalotes hachées.

De re coquinaria d’Apicius Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le De re coquinaria d’Apicius ou l’Art culinaire d’Apicius est le nom donné à une compilation de recettes culinaires romaines en dix livres constituée à la fin du IVe siècle. Bien que placé sous l'autorité de Marcus Gavius Apicius, célèbre gastronome du début du Ier siècle, sa rédaction est en fait beaucoup plus tardive. Transmise par deux manuscrits de l'époque carologienne, elle fut ensuite redécouverte par des humanistes italiens de la Renaissance. Histoire du texte[modifier | modifier le code] Nous sont d'abord parvenus les Apici Excerpta (Extraits d'Apicius), attribués à un certain Vinidarius, qui porte un nom ostrogothique (l'arrière-grand-père de Théodoric le Grand s'appelait Vinitharius) ; ce petit recueil de 31 recettes a sans doute été constitué en Italie du Nord au VIe siècle ; il est conservé dans le manuscrit Paris. lat. 10318 (célèbre codex à écriture onciale datant du VIIIe siècle, et venant aussi d'Italie du Nord).

L'ALIMENTATION ET LA CUISINEDANS L'ANTIQUITÉ Introduction "Le boire, le manger nous donnent à tous des plaisirs tout pareils, car ce n'est pas le faste de la table qui fait cesser la faim. Ainsi parle Antiphane". (Athénée, Deipnosophistes, I, 5f) " De nos jours encore, les amants des lettres trouvent aux banquets où assistèrent ensemble Socrate et ses amis même intérêt, même plaisir que les convives de ce temps-là. Or supposé l'élément matériel fournissant alors l'agrément à sa façon, c'était à Xénophon et à Platon de laisser après eux un souvenir écrit non pas de ce qui s'était dit à la table de Callias ou Agathon, mais de ce qu'on y avait servi : mets, plats cuisinés, "amuse-gueules" . (Plutarque, Propos de table, dédicace du livre VI, p. 686 a-e (trad. légèrement modifiée)) Ces deux extraits nous montrent les difficultés de l'enquête chez les Grecs. En dehors des sources littéraires, des renseignements précieux nous sont, évidemment, aussi offerts par l'archéologie. Nicole BLANC, Anne NERCESSIAN, La cuisine romaine antique.

Sur les pas et dans les plats d’Apicius | AQUILATIN Après avoir retourné Apicius comme une crêpe et n’avoir pas perdu une miette des secrets de la cuisine antique, des élèves de 3ème secondaire ont mis la main à la pâte et ont réalisé des recettes de leur top chef du moment: Apicius. Nos 2 "Julien", avec la "Patina de poire" que voici! Bravo! Sarah et Charline avec ce magnifique pain d’épices! Les anneaux de miel d’Antoine, Alexandre et Benjamin, avec leur crème et un pain d’épices! Waouw! Le délicieux flan au miel de Lisa et Louise! Le fameux pain perdu miellé retrouvé par Philippine et Mathilde! La douceur poivrée de Jérémy et Maxime! L’apothermum agrémenté par Elisa et Lucille! L’entrée de courges de Gaëlle, Marie et Joséphine: un délice! Et la renversante patina renversée de Pierre, Florian et Alexian! Like this: J'aime chargement…

Cuisine aux temps de la Rome antique L'alimentation de la Rome primitive est frugale et se résume en légumes, céréales, et de la viande les jours de fêtes seulement. Parmi les produits céréaliers: l'orge, le blé, l'épeautre, le millet, l'avoine, préparés en bouillies (puls, tisana); les Romains en consomment tellement que les Grecs les ont surnommés "pultiphagonides", c'est-à-dire "mangeurs de bouillies", et dont la plus connue est la polenta, à base d'orge et parfumée de graines de lin. Mais venons-en au painLes tout premiers pains romains étaient sans levain, en forme de galettes et se cuisaient à la maison, soit à même la voûte du four, soit à même la sole. Puis, apparut le pain levé qu’on allait chercher, du moins en ville, chez le pistor, le boulanger. La légende veut que la découverte du pain levé fut le fruit du hasard dû à un boulanger égyptien. Les Romains en connaissaient une grande variété: La placenta est une des douceurs antiques la plus souvent citée. On rencontre peu de pâtisseries chez Apicius. Le sanglier

Le goût du vin à l'époque romaine - Le blog de scripta-manent Il n’y avait à l’époque romaine, pas de bon vin qui ne fût vieux. En 301, devant l’inflation galopante, l’empereur Dioclétien fixa les prix maximum autorisés. Grace à plusieurs inscriptions nous renseignant sur l’échelle des prix antiques, nous savons que le vin vieux de second choix y vaut deux fois plus cher que le vin paysan qui est évidement du vin de l’année. Celui de premier choix, quatre fois plus cher. À peu près à la même époque, Elyen raconte la mésaventure du jeune Dercyllus qui, amoureux d’une courtisane au beau nom d’Opora (« fruit de l’automne »), avait imaginé de lui envoyer des cadeaux assortis à son nom. Parmi eux du vin des premières vendanges. Jusqu’à ce que l’on prenne l’habitude d’utiliser le souffre, le vin ne passait l’année que s’il avait la force de le faire, d’abord grâce à un degré d’alcool suffisamment élevé. Or, tous ces grands crus sont des vins issus de raisins blancs. De ces vins nous disons qu’ils ont un goût de madérisé. trois façons.

Un latiniste filme une recette latine façon “Cooking Show” Dans le cadre d’une traduction-confection de recettes latines, Thomas Soupizet, élève latiniste de Carine Decroux au lycée Victor Hugo de Caen, a fait un petit “cooking show” vidéo en latin que je ne pouvais m’empêcher de vous faire découvrir. Notez que ce latiniste hors pair a aussi réalisé une application Androïd téléchargeable gratuitement sur Playstore (latin victor hugo) pour rentrer le vocabulaire et faciliter les révisions ! Le petit mot de sa professeur : “Thomas nous a concoté de délicieuses dattes fourrées pour le dernier cours, en voici la recette en latin et en images ! Tout y est parfait, mais je rappelle juste à tout le monde que le “c” latin se prononce TOUJOURS “k”… Je vous donne ci-dessous le texte en latin : Ave coque imperii romani, exoptatus sis in Quiprocoquus !

Week 5 has a banquet: here are the recipes! | NCLMOOCs John’s makeshift kitchen next to the Summer Dining Room in the Commanding Officer’s House at Arbeia Professional chef John Crouch joined us at Arbeia in South Shields the day we filmed the 5 videos that make up the fourth century banquet in week 5 of Hadrian’s Wall: Life on the Roman Frontier. John put together a menu inspired by Roman recipes in order to help us visualise what a Roman banquet might have been like in the summer dining room of the Commanding Officer’s House. We blogged a couple of recipes earlier as a teaser for this week. John’s Roman recipe inspired menu LIVER, CHICKEN, AND ONION 1 medium onion, chopped 1 cup chicken stock 2 tablespoons olive oil ½ cup white wine 1 cup pork and chicken livers, sliced 3 chicken breasts, sliced Sauce dash of pepper ½ teaspoon celery seed (or lovage) 1 cup chicken stock ¼ cup white wine flour In a saucepan, soften the onion in the olive oil. We picked fresh herbs from the Arbeia garden. Dissolve the salt in the water over low heat.

Related: