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Olympe de Gouges

Olympe de Gouges
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Marie Gouze, dite Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748 et morte guillotinée à Paris le 3 novembre 1793, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est souvent prise pour emblème par les mouvements pour la libération des femmes. Biographie[modifier | modifier le code] Montauban[modifier | modifier le code] Née le 7 mai 1748 à Montauban, Marie Gouze a été déclarée fille de Pierre Gouze, bourgeois de Montauban qui était boucher — il n’a pas signé au baptême car absent — et d’Anne Olympe Mouisset, fille de drapier[1], mariés en 1737[2]. Rien ne la rattachant à Montauban, sinon sa mère qu’elle aida financièrement par la suite[7], elle rejoignit sa sœur aînée à Paris. Paris et le théâtre[modifier | modifier le code] Portrait d’Olympe de Gouges. La Révolution française[modifier | modifier le code] La fin[modifier | modifier le code] Related:  Féministes

Olympe de Gouges n’ira pas au Panthéon : pessimistes, qu’aviez-vous espéré ? Tribune Après quelques semaines de suspense, la décision présidentielle est tombée : les prochains grands hommes auxquels la patrie est reconnaissante seront quatre, dont deux femmes. Ces quatre-là sont admirables, incontestables, et je discerne dans le choix de ces résistants au nazisme – avec un grand plaisir – comme un coup de pied au cul posthume et bienvenu à un précédent Président qui fut le grand et fidèle ami de René Bousquet (l’organisateur de la massive déportation vers la mort des juifs de France), un Président qui faisait déposer une couronne sur la tombe de Pétain chaque année. Ça et là, quelques articles – tout en approuvant la sélection – manifestent une certaine déception que Marie-Olympe de Gouges ait été souvent citée, puis oubliée ; et ils espèrent que son nom ressortira l’an prochain. Le film peut attendre « Marie-Olympe de Gouges, une humaniste à la fin du XVIIIe siècle » d’Olivier Blanc, éd. Condamner enfin la Terreur ? Sa « Déclaration des droits de la femme »

Madeleine Pelletier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Madeleine Pelletier ( - ) est une militante féministe et socialiste libertaire française. Elle fut la première femme médecin diplômée en psychiatrie en France. Biographie[modifier | modifier le code] Madeleine Pelletier est née dans une famille pauvre, d'une mère née de père inconnu, peu aimante, accaparée par les soins à donner à son époux malade, la tenue de la boutique familiale de fruits et légumes et douze grossesses. Initialement anthropologue, elle étudia le rapport entre la taille du crâne et l'intelligence selon les théories de Paul Pierre Broca. Assidue aux réunions féministes et anarchistes depuis l'adolescence, elle se lança en 1906 également dans l'activisme, devenant secrétaire d'une organisation intitulée La Solidarité des femmes qu'elle établit comme l'une des plus radicales de l'époque. En 1908, elle représenta ce groupe aux manifestations de Hyde Park pour le suffrage des femmes. Bibliographie[modifier | modifier le code]

Catharine MacKinnon Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir McKinnon. Catharine MacKinnon. Catharine Alice MacKinnon est une juriste et militante féministe américaine, née le 7 octobre 1946. Biographie[modifier | modifier le code] Dans la mouvance du féminisme radical, elle publie en 1979 un rapport sur le harcèlement sexuel, Sexual Harassment of Working Women : A Case of Sex Discrimination. À partir de 1983, Catharine MacKinnon commence à combattre la pornographie par des biais juridiques en travaillant avec Andrea Dworkin. D'autres féministes et des chercheurs queer critiquent les théories de MacKinnon et Dworkin, montrant que la répression finit par atteindre les minorités (comme le S/M lesbien). En 1987, MacKinnon publie Feminism Unmodified: Discourses on Life and Law et soutient une thèse de sciences politiques à l'Université Yale, Toward a Feminist Theory of the State (1989). Livres traduits en français[modifier | modifier le code]

Andrea Dworkin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Andrea Dworkin Andrea Dworkin en 1988. Activiste anti-guerre et proche de certains milieux anarchistes à la fin des années 1960, Dworkin a écrit plus d'une dizaine de livres sur la théorie et la pratique du féminisme radical. Pendant la fin des années 1970 et les années 1980, elle a a gagné une renommée nationale comme porte-parole du mouvement féministe anti-pornographie, et pour ses écrits sur la pornographie et la sexualité, particulièrement Pornography: Men Possessing Women (1979) et Intercourse (1987) qui restent ses deux ouvrages les plus connus. Jeunesse et éducation[modifier | modifier le code] Bien qu'elle ait décrit sa famille comme étant à bien des égards dominée par le souvenir de la Shoah, elle ne lui en a pas néanmoins offert une enfance heureuse, jusqu'à l'âge de neuf ans, lorsqu'un homme inconnu l'a agressée sexuellement dans une salle de cinéma[3]. Université et premiers engagements[modifier | modifier le code]

Aline Kominsky-Crumb Aline Kominsky-Crumb (born Aline Goldsmith; August 1, 1948) is an American underground comics artist. Life and career[edit] Kominsky-Crumb was born to a middle class Jewish family in the Five Towns area of Long Island, New York.[1][2] Her father was a largely unsuccessful businessman and organized crime associate. She later claimed that the social milieu shown in the movie Goodfellas (some of which was set in the Five Towns area) bore some resemblance to her own childhood. As a teenager, she turned towards drugs and the counterculture, and was a hanger-on to New York countercultural musicians such as The Fugs. Relocating to East Village during her college years, she began studying art at The Cooper Union.[1] Soon after arriving in San Francisco, she was introduced to Robert Crumb by mutual friends, who noted an uncanny resemblance between her and the coincidentally-named Crumb character Honeybunch Kaminski. Comics contributed to[edit] References[edit] Further reading[edit]

Madeleine de Puisieux Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Madeleine de Puisieux, née à Paris en 1720 et morte en 1798, est une écrivaine et moraliste féministe française. Biographie[modifier | modifier le code] Madeleine d'Arsant de Puisieux a écrit de nombreux romans et traités de morale. On attribue parfois à Madeleine de Puisieux, ou à son mari le texte féministe intitulé La femme n'est pas inférieure à l'homme publié en 1750 et republié l'année suivante sous le titre Le Triomphe des dames. Bien qu'encore mal connue, l'œuvre de Madeleine de Puisieux lui procura le soutien de Louis XV. Œuvres[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Camille Garnier, Madame de Puisieux, moraliste et romancière (1720-1798), Thèse Indiana University, 1978.Susan R. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Cf.

Marie-Hélène Bourcier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bourcier. Marie-Hélène Bourcier est sociologue, maître de conférences à l'université Lille III[1]. Elle est une militante queer reconnue en France. Biographie[modifier | modifier le code] Née le 30 octobre 1963, Marie-Hélène Bourcier se définit comme « un bébé du post-structuralisme français »[2]. Ancienne élève de l'École normale supérieure de Fontenay-aux-Roses (1982) en lettres modernes[3], Marie-Hélène Bourcier soutient sa thèse de doctorat en 1998, sous la direction de Dominique Wolton et Alain Touraine[4]. Animatrice des séminaires du Zoo entre 1996 et 1998, traductrice de Monique Wittig et Teresa de Lauretis, auteur de deux ouvrages sur la théorie queer (Queer Zones et Sexpolitiques) elle est l'une des initiatrices de l'introduction en France de la théorie queer. Sa complicité intellectuelle avec Beatriz Preciado a donné lieu à une collaboration fructueuse[5] pour les théories queer.

Monique Schneider Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Monique Schneider, née le [1], est une psychanalyste et psychologue française, enseignante de formation. Parcours universitaire[modifier | modifier le code] Reçue cacique à l'agrégation de philosophie en 1958, Monique Schneider a soutenu une thèse de philosophie intitulée Affect et représentation. Elle est actuellement directrice de recherche émérite au CNRS[2] . Une approche freudienne[modifier | modifier le code] Relire Freud et trouver la féminité[modifier | modifier le code] Une lecture critique de Freud. Au fil de ses ouvrages, Monique Schneider opère une relecture critique de Freud, notamment sur la question du partage sexué. Exégète rigoureuse[réf. nécessaire] de Freud, elle renouvelle patiemment, à chaque ouvrage, l'approfondissement de son geste fondateur. Il n'y a aucun « purement féminin », aucun « spécifiquement féminin » doué de propriétés appropriables par une personne. Bibliographie[modifier | modifier le code] Ses publications[4] :

Camille Paglia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Camille Anna Paglia (née le 2 avril 1947 à Endicott, New York, États-Unis) est une écrivaine américaine et critique sociale. Universitaire[modifier | modifier le code] Elle est professeur de sciences humaines à l'université d'arts de Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis. Post-féministe[modifier | modifier le code] Bibliographie en français[modifier | modifier le code] Vamps et tramps [« Vamps and Tramps: New Essays (1994) (ISBN 978-0679751205) »], Paris, Éditions Denoël, coll. « Médiations »,‎ 2009 (ISBN 978-2-207-25843-9) Voir aussi[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Page officielle de Paglia (en) Références[modifier | modifier le code] Portail des femmes

Xavière Gauthier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Née au sein d'une famille ouvrière normande[2], Xavière Gauthier entame des études littéraires à Paris. Titulaire d'un doctorat de 3e cycle en philosophie, elle est chargée de cours à l'Université de Paris I[3]. Elle est ensuite la fondatrice et directrice de la collection « Œuvres de Louise Michel », qui publie jusqu'en 2005 les principales œuvres (inconnues ou méconnues, la plupart inédites) de Louise Michel[5]. Elle est maîtresse de conférences à l'Université de Bordeaux III, à l'IUT Michel de Montaigne, dans la filière édition et chargée de recherche au CNRS (littérature, idéologies, représentations, XVIIIe siècle-XIXe siècle)[3]. Publications[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] Bernard Pivot et Xavière Gauthier sur Ina.fr Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Catalogue Opale, BNF↑ Christiane P.

Lalla Fatma N'Soumer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lalla Fadhma N'Soumer (1830 - 1863), est une personnalité algérienne de la résistance des Kabyles (Igawawens : dénomination historique des Kabyles du Djurdjura) contre la conquête de la Kabylie par la France dans les années 1850. Nom[modifier | modifier le code] Le nom complet de Lalla Fatma N'Soumer est Fadhma Si Ahmed Ou Méziane[2]. Elle a aussi porté le surnom de Lalla N'Ouerdja qui, dans la tradition kabyle, se donne aux jeunes filles qui refusent de se résigner aux usages et aux traditions[6]. Biographie[modifier | modifier le code] L'adolescence[modifier | modifier le code] La combattante[modifier | modifier le code] Placée ensuite en résidence surveillée à Béni Slimane, elle y meurt en 1863, à l'âge de trente-trois ans, éprouvée par son incarcération et affectée par la mort de son frère en 1861. Personnalité et caractère[modifier | modifier le code] « Seule la prophétesse, formant disparate avec son peuple, est soignée jusqu'à l'élégance.

Najat Vallaud-Belkacem Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Najat Vallaud-Belkacem, née Najat Belkacem le à Beni Chiker, dans la région du Rif, au nord-est du Maroc, est une femme politique française. En 2007, elle est porte-parole de Ségolène Royal pour l'élection présidentielle, puis de nouveau en en vue de la primaire présidentielle socialiste de 2011. De 2008 à 2013, elle est conseillère municipale de Lyon. Le 2 avril 2014, dans le gouvernement Valls, elle garde son ministère des Droits des Femmes, et obtient les ministères de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. Biographie[modifier | modifier le code] Origines, études, débuts professionnels[modifier | modifier le code] En 1982, avec sa mère et sa sœur aînée, elle rejoint son père, ouvrier dans le bâtiment, immigré en France ; elle grandit à Abbeville, puis à Amiens[8]. En 1995, élève au lycée Delambre d'Amiens, elle obtient son baccalauréat économique et social[9]. Carrière politique[modifier | modifier le code] Najat Vallaud-Belkacem en 2007.

Natacha Henry Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Natacha Henry, née en 1968, est une essayiste, historienne et journaliste franco-britannique. Aperçu biographique[modifier | modifier le code] Diplômée de la London School of Economics et de Paris IV Sorbonne, historienne, essayiste et journaliste, Natacha Henry travaille sur le sexisme dans la culture populaire. Elle représente la France au sein de projets internationaux: TVE London, Broadcasting for Change, International Women's Media Foundation à Washington D.C., coordinatrice régionale pour The Global Report on the Status of Women in the News Media, [1], programmes DAPHNÉ sur les violences. Présidente de l'Association des femmes journalistes de 1997 à 1999, Natacha Henry a fondé en 2005, Gender Company. Elle est lauréate du German Marshall Fund of the United States. Ouvrages[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

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