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Etienne Chouard débat avec Michel Rocard + critique sur l'indigence des médias

Etienne Chouard débat avec Michel Rocard + critique sur l'indigence des médias
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Pétition pour sauver Courrier international Petition "La direction de Courrier international a présenté le 10 octobre un plan de licenciement concernant 26 postes "équivalent temps plein" + 25 pigistes, soit au total près de 60 personnes touchées. Motif affiché de ce plan : l'arrêt prévu, faute de financement de la Commission européenne, du site d'information en dix langues Presseurop, hébergé au sein de Courrier international, et qui emploie 11 personnes. La rédaction s'élève contre ce plan qu'elle juge disproportionné et parfaitement injuste, qui ne peut se traduire que par un appauvrissement du contenu du journal et son affaiblissement durable." Nous, lecteurs de Courrier international, qui souhaitons une presse de qualité, qui nous opposons aux licenciements dans des entreprises bénéficiaires soutenons les salariés de Courrier international qui s'opposent à ce plan et avertissons la direction que tout appauvrissement du journal nous ferait renoncer à l'acheter.

Sauver Courrier international La direction de Courrier international a présenté le 10 octobre un plan de licenciement concernant 26 postes “équivalent temps plein” + 25 pigistes, soit au total près de 60 personnes concernées. Motif affiché de ce plan : l’arrêt prévu, faute de financement de la Commission européenne, du site d’information en dix langues Presseurop, hébergé au sein de Courrier international, et qui emploie 11 personnes. La rédaction s’élève contre ce plan qu’elle juge disproportionné et parfaitement injuste, qui ne peut se traduire que par un appauvrissement du contenu du journal et son affaiblissement durable. Elle appelle tous les lecteurs de Courrier international, tous ceux qui souhaitent une presse de qualité, tous ceux qui s’opposent aux licenciements dans des entreprises bénéficiaires à signer la pétition de soutien.

Fonds Google: « L’arbitraire le plus absolu » Président du Syndicat de la presse indépendante d’information en ligne (SPIIL), dont Mediapart est cofondateur, Maurice Botbol lance un cri d’alarme sur le Fonds pour l'innovation numérique de la presse (FINP), dit Fonds Google. Dans une tribune à Legipresse, revue mensuelle du droit de la communication (voir son site ici), il dénonce les conflits d'intérêts qu’il abrite et la distorsion de concurrence qu’il crée. Avec l'accord confraternel de Legipresse, nous la reproduisons ci-dessous. Malgré les efforts affichés par ses initiateurs pour présenter le « Fonds Google – AIPG pour l’innovation numérique de la presse » (FINP) comme un modèle de transparence, celui-ci soulève de nombreuses interrogations au niveau de sa gouvernance comme en droit de la concurrence. Rappelons tout d’abord le contexte dans lequel ce fonds de 60 millions d’euros sur trois ans a été décidé en février 2013. Cette situation soulève, de fait, un certain nombre de difficultés : 1. 2. 3. 4.

PetulaMoore : Pauvre petite droite inaudible. MAROC • Ali Anouzla, un journaliste trop libre toujours en prison Journaliste indépendant, Ali Anouzla a été arrêté le 17 septembre pour atteinte à la sécurité nationale, et sa garde à vue prolongée de quatre jours le 21. Beaucoup dénoncent une arrestation arbitraire, destinée à intimider une presse trop libre au goût du pouvoir. 23 Septembre 2013 | Partager : L'auteur Ali Sbaï travaille à Genève pour l’Union internationale des télécommunications. Les autorités marocaines ont arrêté, le 17 septembre, le journaliste Ali Anouzla pour avoir publié sur le site de son journal en ligne Lakome.com [version arabophone], un lien [vers le site du quotidien espagnol El País] d'une vidéo d'Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) menaçant la sécurité du royaume, selon l'ordre d'arrestation. C'est cette voix courageuse qu'on veut faire taire maintenant. Alors, face à cette arrestation, indignez-vous ! Sachez aussi qu'indiquer un lien sur YouTube est une chose, partager le continu en est une autre.

Les journalistes, l’écologie et le capitalisme Un pamphlet de son temps Balzac écrit sous la monarchie de Juillet (1830-1848), treize ans après que la révolution de 1830, déclenchée notamment par l’abolition de la liberté de la presse, a partiellement rétabli celle-ci. Plus précisément, Balzac écrit alors qu’un « retour à l’ordre » s’est imposé à la presse d’opinion, mais aussi au moment où parait une « nouvelle presse industrielle » [3], marquée par deux titres : Le Siècle qui tire à 37 500 exemplaires en 1841 et La Presse dont le tirage est inférieur. Balzac (qui a publié dans La Presse…) est le témoin de cette dernière évolution qu’il comprend comme une dégradation. Ce qui nous vaut ces deux « axiomes » : « On tuera la presse comme on tue un peuple, en lui donnant la liberté » « Si la presse n’existait pas, il faudrait ne pas l’inventer » Que sont alors la presse et le journalisme ? En 1843, le journalisme est encore loin de constituer une profession, voire même un ensemble de professions. « Premier genre : Le publiciste »

Reporters sans frontières L’édition 2014 du « Classement mondial de la liberté de la presse » révèle l’impact négatif des conflits sur la liberté de l’information et ses acteurs. Le rang d’un certain nombre de pays est également affecté par une interprétation trop large et abusive du concept de la protection de la sécurité nationale, aux dépens du droit d’informer et d’être informé. Cette dernière tendance constitue une menace croissante au niveau global, dangereuse pour la liberté de l’information jusqu’au cœur des « États de droit ». La Finlande conserve son rang de meilleur élève, en occupant pour la quatrième année consécutive la première place du classement. Elle est talonnée, comme dans la dernière édition, par les PaysBas et la Norvège. Le classement est établi cette année sur 180 pays contre 179 dans l’édition précédente. Le classement 2014 souligne logiquement la corrélation négative entre un conflit – ouvert ou non déclaré – et la liberté d’information. Israël gagne 17 places.

cyberaction Soutien à la Radio La Locale cyberaction N° 035 L: Soutien à la Radio La Locale [ 940 participations ] cyberaction mise en ligne le jeudi 13 mars 2014 En partenariat avec : Association La Mauvaise Herbe Radio La Locale 97.3 FM Elle sera envoyée à : Maire de Saint-Girons, Président du Conseil Général, députés de l'Ariège, DRAC Midi-Pyrénées, Ministère de la Culture et de la Communication. Elle prendra fin le : lundi 30 juin 2014 La radio La Locale s'est retrouvée en 2013 privée des subventions que la municipalité de Saint­Girons et le Conseil Général lui versaient. Plus d'infos La Locale est une radio libre dans toute l'acception de ce terme. Sur la même commune, une seconde radio qui a fait des choix différents et qui bénéficie des confortables revenus de la publicité, se trouve tout de même hébergée gratuitement par la mairie et a vu sa subvention augmenter d'une somme égale au montant de la subvention dont La Locale a été privée. Signer ! Récapitulatif Les champs marqués d'une * sont obligatoires 5 commentaires credible

Où va-t-on quand un marchand en ligne comme Amazon se prend pour un Magnat de la presse? Jeff Bezos, le fondateur et patron d’Amazon.com vient de racheter le Washington Post. Il y a 40 ans, en 1972, deux remarquables journalistes du Washington Post mènent l’enquête sur Nixon et le Watergate. Nixon tombera. C’était pour le monde entier, la preuve avant Anonymous, Wikileaks et Mediapart de la force et de la nécessité d’un quarième pouvoir. Mais derrière ce quatr!ème pouvoir au quotidien, il y avait des hommes, des familles qui croyaient en une certaine forme d’information. La presse était une presse d’opinion défendue par des hommes qui en avaient. Attendre que les éditions en lignes du Post rapportent 400 millions de dollars comme pour le NewYork Times qui grâce à cela peut soutenir une équipe rédactionnelle forte semblait au-dessus de leur moyens. La presse d’information trouve-t-elle là son vrai challenger ? Comment ? Rien n’est sûr, mais il changera la façon dont le lecteur interagit en permettant par exemple de signaler que “ceux qui ont lu cet article pense que…”

#pétition : Libérez les 31 blogueurs vietnamiens emprisonnés. Le Vietnam est la 2ème prison du monde pour les blogueurs et cyberdissidents, après la Chine. Au Vietnam, les blogueurs apportent une information alternative, indépendante du pouvoir. Ils enquêtent sur la corruption, les problèmes environnementaux, les perspectives politiques du pays, etc. Les vagues d’arrestations de blogueurs, net-citoyens et journalistes se succèdent depuis plusieurs années. Avec à l'esprit les révoltes arabes, les autorités vietnamiennes ont accru la répression pour réduire au silence les voix dissidentes et parer à toute déstabilisation du régime. Parmi les 35 blogueurs emprisonnés à ce jour : le militant des droits de l’homme Dieu Cay, l’avocat Le Quoc Quan, et les blogueurs Paulus Lê Son, Ta Phong Tan, Tran Huynh Duy Thuc ainsi que Nguyen Tien Trung. Leurs proches subissent les campagnes de diffamation et le harcèlement des autorités.

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