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16 mai 1916 Accords Sykes-Picot

16 mai 1916 Accords Sykes-Picot
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les accords Sykes-Picot, sont des accords secrets signés le , entre la France et la Grande-Bretagne (avec l'aval des Russes et des Italiens), prévoyant le partage du Moyen-Orient à la fin de la guerre (espace compris entre la mer Noire, la mer Méditerranée, la mer Rouge, l'océan Indien et la mer Caspienne) en zones d'influence entre ces puissances, dans le but de contrer des revendications ottomanes. L'accord[modifier | modifier le code] Le , faisant suite à un travail préparatoire épistolaire de plusieurs mois entre Paul Cambon, ambassadeur de France à Londres, et Sir Edward Grey, secrétaire d'État au Foreign Office, l'accord Sykes-Picot est conclu entre la France et le Royaume-Uni à Downing Street entre Sir Mark Sykes, et François Georges-Picot. Carte des accords Sykes-Picot Le Moyen-Orient est découpé, malgré les promesses d'indépendance faites aux Arabes, en 5 zones[1] : Le le gouvernement britannique répond[réf. nécessaire] : Related:  Storia

Le massacre des communistes indonésiens de 1965 : retour sur un des plus grands crimes contre l'Humanité du XXe siècle -- Histoire Secrète L'idéologie dominante ne se contente pas de ré-écrire l'histoire, elle pratique la mémoire sélective. A côté des crimes qu'elle commémore, ceux attribués aux forces communistes et progressistes, il y a ceux qu'elle passe sous silence, tente d'oublier. La sortie dans les salles françaises du banalement sordide The act of Killing nous rappelle un des plus grands massacres du XX e siècle, absents de nos manuels scolaires, de la scène médiatique, du débat historique : le massacre de masse des communistes indonésiens, en 1965. Les cadavres remontent désormais à la surface, en Indonésie même, où toute référence aux « événements de 1965 » était proscrite sous le dictateur Suharto et encore largement tue. Un rapport de la Commission indonésienne des droits de l'Homme (Komnas-HAM) a reconnu en 2012 pour la première fois le « crime contre l'humanité » qu'a constituée la répression anti-communiste de 1965. Le premier parti communiste du tiers-monde et l'alliance anti-impérialiste de Soekarno

Bientôt, plus d'obstacle au nouveau Sykes-Picot Vous avez sûrement observé le changement de ton de la presse atlantiste sur la question syrienne. Les « rebelles », ces « héros de la Liberté », se sont soudain mués en terroristes fanatiques qui s'entre-déchirent. Pour Thierry Meyssan, il n'y a rien de nouveau sous le soleil : Washington a simplement abandonné l'idée de renverser Bachar el-Assad et se dirige vers la tenue de la conférence de Genève II. Prochaine étape : la perte d'influence française dans la région. © Département d’État américainLe secrétaire d’État, John Kerry, abandonne ses alliés. Il n’y aura pas de livraison d’armes décisives aux « rebelles » en Syrie. Le 13 juin dernier, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale des États-Unis annonçait que la ligne rouge avait été franchie : ainsi que le montraient les preuves accumulées par les Français et les Britanniques, la Syrie de Bachar el-Assad avait utilisé des armes chimiques contre son propre peuple. Un mois plus tard, la détermination occidentale a disparue.

Comment l'Empire ottoman fut dépecé, par Henry Laurens (Le Monde diplomatique, avril 2003) En 1914, les provinces arabes de l’Empire ottoman se trouvaient sous l’influence collective et multiforme des puissances européennes, auxquelles s’ajoutaient les Etats-Unis. Les Jeunes-Turcs, au pouvoir depuis 1908, cherchaient à se débarrasser de ces ingérences permanentes, mais au prix d’un centralisme autoritaire qui suscitait l’émergence d’un mouvement autonomiste arabe prêt à chercher des appuis chez les Européens. La France était la puissance dominante en « Syrie naturelle », grâce à ses investissements économiques et à son rayonnement scolaire et culturel. On en arrivait à parler d’une « France du Levant ». Les Britanniques, qui occupaient l’Egypte depuis 1882, avaient fini par reconnaître -de mauvaise grâce - cette primauté. En entrant en guerre en novembre 1914, les Ottomans entendaient s’affranchir des dominations étrangères et liquider les autonomismes locaux. Mais le djihad menace l’Afrique du Nord française (et une partie de l’Afrique noire) et l’Inde britannique.

Iraq Petroleum Company Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Compagnie pétrolière fondée en 1927 et remplaçant la Turkish Petroleum Company pour l'exploitation pétrolière en Irak, l'IPC formait une société à capitaux occidentaux répartis comme suit : Cette compagnie détenait une concession sur la quasi-totalité du territoire de l'Irak et s'était développée dans d'autres pays du Moyen-Orient. Véritable État dans l'État, elle était quasiment le seul partenaire international de l'Irak, et fut nationalisée en 1971. Histoire[modifier | modifier le code] En 1912, plusieurs sociétés rivales s'unirent pour créer la Turkish Petroleum Company (TPC) afin d'obtenir une concession d'exploration pétrolière en Irak. L'établissement de la TPC n'élimina pas la rivalité parmi les actionnaires qui représentaient divers intérêts nationaux. L'accession du Royaume-Uni à un mandat sur l'Irak en 1920 ne garantit pas à la TPC une concession exclusive. Sources[modifier | modifier le code] U.S.

Au Luxembourg comme partout en Europe, les services secrets travaillent pour la CIA On parle peu de ce petit pays situé entre la France et la Belgique, le Luxembourg qui se distingue par le nombre de banques et de sièges sociaux de grandes entreprises, qu'il accueille sur son sol. La récente démission de son premier ministre, l'inamovible Jean-Claude Junker, remet sur le devant de la scène, un pays qui a basé sa réputation sur sa stabilité et sa discrétion. Car au Luxembourg, l'Argent est roi et le gouvernement est son prophète. Véritable Qatar européen, ce minuscule pays de seulement 500 000 habitants, a su attirer d'immenses fortunes, grâce à des conditions fiscales que beaucoup lui envient et un secret bancaire à toute épreuve. M. Cet européiste convaincu fut le premier président de l'Eurogroupe qui rassemble les ministres des finances européens. Alors, Jean-Claude Juncker serait-il une victime collatérale des révélations de John Snowden ? Mais ce nouveau scandale n'est en fait que la partie émergée de l'iceberg.

Nazi racial ideology was religious, creationist and opposed to Darwinism | coelsblog by Coel Hellier Nazi racial ideology was creationist. Hitler considered that the different human races had been created separately. The Aryan race was the “master” race, created as “God’s highest handiwork”, the other races (Jewish, Black, Slav, etc) were literally “sub-human”. 1: Introduction2: Nazi Racial Theory (de Gobineau)3: Houston Stewart Chamberlain 4: Hans Günther 5: Hitler and Mein Kampf 6: Creationist denial 7: Religion in the Third Reich 8: Christian Denial 9: Conclusion Among those who dislike Darwin’s explanation of human beings as the product of evolution a common accusation is that Darwinian thinking has led to horrors such as the Nazi holocaust. Are these claims correct? Even such a staunch Darwinian as Richard Dawkins fails to appreciate how anti-Darwin the Nazis were, hugely underplaying the differences. Dawkins writes, in response to Ben Stein’s propaganda film Expelled The panel on the right of Fig. 1 illustrates Nazi racial doctrine. Arthur de Gobineau Hans Günther

1971 Émirats arabes unis Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. État des Émirats arabes unis دولة الإمارات العربيّة المتّحدة (ar) Dawlat al-ʾImārāt al-ʿarabiyyat al-muttaḥida (ar) Histoire[modifier | modifier le code] Préhistoire[modifier | modifier le code] De récentes découvertes faites dans les Monts Hajar permettent de retracer l'histoire des Émirats arabes unis à l'apparition des premiers hommes dans la région, il y a plus de 7500 ans. Conquête islamique[modifier | modifier le code] Devenu une véritable plaque tournante pour le commerce, le port d'Omana (à présent Umm al-Qaiwain), est utilisé par les marchands pour transporter leur marchandise de la Syrie et du sud de l'Irak jusqu'en Inde. En 630 après J. Conquêtes européennes[modifier | modifier le code] Au XVIe siècle, alors que les grandes puissances européennes se disputent le contrôle de l'océan Indien, les Portugais luttent contre les populations arabes de Julfar et d'autres ports dans le Golfe. Les États de la Trêve[modifier | modifier le code]

La banque J.P.Morgan demande plus de centralisme et moins de droit du travail en Europe Il est de ces culots qui forcent presque le respect ! La banque J.P.Morgan fait partie de ces établissements qui ont plongé le monde entier dans la crise et la récession. En bon pompier pyromane, elle entend, depuis, fournir des « axes de travail » et autres « conseils de bonne gouvernance » aux peuples européens pour sortir de cette mauvaise passe. Le 28 mai dernier, les stratèges de J.P.Morgan sortaient un document de 16 pages intitulé « The Euro area adjustment: about halfway there » ( L’ajustement de la zone euro – bilan à mi-parcours). « Les systèmes politiques de la périphérie ont été établis après une dictature et ont été définis par cette expérience-là. [The political systems in the periphery were established in the aftermath of dictatorship, and were defined by that experience. Analysant ensuite le cas de l’Espagne, les limiers de J.P.Morgann analysent que : [There is a growing recognition of the extent of this problem, both in the core and in the periphery.

AWOL - The Ancient World Online: From Bactria to Taxila: A database of resources on Hellenistic and Imperial Central Asian studies [First posted in AWOL 24 July 2012, updated 31 March 2017] From Bactria to Taxila: A database of resources on Hellenistic and Imperial Central Asian studies By Antoine Simonin About the projectThe web is a fantastic tool, whose applications and implications are progressing at an exponential rate.

[Affaire de Margerie, accident ou attentat ?] 1ère partie : un accident bizarre qui en rappelle un autre Préambule Un mois déjà, mais on n’en parle plus. « Accident ». Classé et oublié. Et pourtant… 21 octobre 2014, 23h57 (heure de Moscou) : le Falcon 50 transportant Christophe de Margerie, le patron de Total, percute l’engin de déneigement que conduit Vladimir Martynenko, un simple employé, sur la piste de décollage de l’aéroport moscovite de Vnoukovo. Les occupants de l’avion (3 membres d’équipage et Christophe de Margerie) meurent sur le coup. Dès le 25 octobre, sur le site vigile.net, Richard Le Hir s’interrogeait, en constatant une bien étrange similitude. Nos remerciements à lui et au site vigile.net de nous autoriser à reproduire ici des éléments que l’on ne trouve pas dans les médias grand public. Le Saker francophone 1ère partie : un accident bizarre qui en rappelle un autre Après le décès du PDG de Total dans des circonstances tragiques à Moscou, demandons-nous qui pouvait avoir intérêt à ce qu’il disparaisse. L’Affaire Mattei Rappelons les faits. Voilà qui règle l’Affaire Mattei. Notes

L’Empire sur lequel se couche le soleil | Le crépuscule de la puissance britannique Elizabeth II, reine depuis le 6 janvier 1952 du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, de l’Afrique du Sud, d’Antigua-et-Barbuda, de l’Australie, des Bahamas, de la Barbade, du Belize, du Canada, de Grenade, des Îles Salomon, de la Jamaïque, de la Nouvelle-Zélande, de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, de Saint-Christophe-et-Niévès, de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, de Sainte-Lucie, et de Tuvalu. Le 10 mai, le Premier ministre britannique David Cameron a rendu une visite inattendue à Sotchi pour chercher une entente avec Vladimir Poutine. Les projets énergétiques de la coalition de gouvernement en Grande-Bretagne ainsi que la politique proche-orientale anglaise dépendent beaucoup la position de la Russie. Le retour de boomerang Sans doute, aucun pays du monde n’a plus incarné les temps modernes que la Grande-Bretagne. Cependant au XXe siècle, la puissance de la Grande-Bretagne a dépassé son zénith et a commencé à décliner. La crise du modèle économique

The Roman Domus The Roman domus was much more than a place of dwelling for a Roman familia. It also served as a place of business and a religious center for worship. The size of a domus could range from a very small house to a luxurious mansion. In some cases, one domus took up an entire city-block, while more commonly, there were up to 8 domus per insula (city-block). All domus were free-standing structures. Some were constructed like modern-day townhouses with common walls between them, while others were detached. Because safety was a primary concern in ancient Rome, domus did not face the streets. Domus Romana The domus included multiple rooms, indoor courtyards, gardens, and beautifully painted walls. Atrium: The atrium was the central hall, almost like a modern-day foyer, and it was the most conspicuous room in a Roman domus. The atrium was one of the most richly decorated rooms in the domus. Lararium (household shrine): Honoring the household gods was an important part of daily life for Romans.

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