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Qui se cache derrière les marques de distributeurs ?

Qui se cache derrière les marques de distributeurs ?
Les marques de distributeurs (MDD) représentent 35,5% des achats en valeur en grande surface, selon Nielsen. Mais qui fabrique exactement les raviolis Carrefour, la crème fraîche "marque repère" de Leclerc ou la confiture de Casino ? Derrière ces MDD se cachent des PME inconnues du grand public, des fournisseurs européens, mais aussi... de grandes marques comme Yoplait, Nestlé ou Bonduelle. Mais chut ! Le secret est bien gardé et ce n'est qu'en décryptant les mystérieux codes sur les emballages que le JDN a déniché ces produits MDD vendus jusqu'à 50% moins chers que ceux de marque et pourtant fabriqués... exactement au même endroit. Related:  distribution

Huit nouvelles règles pour attirer les clients en magasin Les boutiques physiques ont encore de nombreux atouts à faire valoir face à la concurrence du e-commerce. Phénomène grandissant, le showrooming, qui consiste à regarder un produit dans un magasin pour l'acheter ensuite sur Internet, inquiète les commerçants. Pour autant, le magasin n'est pas mort. Sur 100 visiteurs d'un site d'enseigne, 72 vont en magasin, rappelle l'Observatoire du ROPO2, de FullSix Group. Et 77% des Français affirment ne pas pouvoir se passer de l'achat traditionnel en magasin, d'après un sondage Ifop. Recruter des vendeurs experts "On note une augmentation très sensible aux Etats-Unis du nombre de magasins et d'enseignes où l'on met en avant le personnel et leurs compétences individuelles", assure Mike Hadjadj, directeur marketing et communication de Generix Group. Théâtraliser le magasin Faire d'Internet un allié Rendre l'achat plus facile et plus rapide Rien de plus énervant que de devoir attendre 20 minutes devant une caisse bondée pour payer un bête T-shirt.

La valse des marques : Ombrelle, produit et gamme L’Ombrelle Une marque est dite ombrelle lorsque plusieurs produits appartenant à des marchés différents sont commercialisés sous son nom. Le but est de faire profiter de la notoriété et de l’image de la marque ombrelle à d’autres produits. Le lancement de nouveaux produits est également simplifié. Toutefois, chaque produit possède sa propre stratégie marketing et communique à sa façon. La différence entre la marque-caution et la marque ombrelle est fine. Tout comme la marque-caution, la marque ombrelle s’expose à des risques de dilution avec une perte de son sens initial au regard des consommateurs à force de couvrir des produits trop différents. L’exemple d’EVIAN sera parfait pour illustrer ce concept de marque ombrelle : De la classique bouteille d’eau minérale, EVIAN commercialise également sous la marque Evian Affinity des cosmétiques, jusqu’à l’autobronzant ! La classique Marque-Produit La deuxième limite est l’évolution constante des tendances et du besoin des consommateurs. J'aime :

Qui se cache derrière les marques de la grande distribution ? En se baladant dans les allées du « MDD Expo », qui se tenait mardi et mercredi à Paris, on découvre qui se cache derrière les produits vendus sous « MDD », marque de distributeurs. Des grands groupes, Bonduelle, Lactalis (pour les produits laitiers), de grandes marques comme Labeyrie ou Delpeyrat et un tas de petites entreprises fournissent la grande distribution. Mais sur l’étiquette, difficile de savoir d’où vient le produit comme l’a montré le récent scandale des lasagnes au cheval. Sur le stand de Delpeyrat (produits du Sud-Ouest), les jambons sont vendus à Casino, Carrefour, Cora, Monoprix ou encore Super U. Si les marques de distributeurs ont tendance à se fournir aux mêmes endroits, la qualité des produits n’est pas toujours la même. « Chacun a ses recettes, ses demandes un peu spécifiques », confirme un commercial de Sole mio. Tout de même des différences de qualité

Qui fabrique les produits des marques de distributeurs? Qui fabrique les produits pour Casino, Auchan, Carrefour ou Leclerc? Parfois les mêmes usines que pour les grandes marques, parfois de petites PME. Pour s'y retrouver, il faut passer maître dans l'art de décrypter les étiquettes. En se baladant dans les allées du "MDD Expo", qui se tient mardi et mercredi à Paris, on découvre qui se cache derrière les produits vendus sous "MDD", marque de distributeurs. Des grands groupes, Bonduelle, Lactalis (pour les produits laitiers), de grandes marques comme Labeyrie ou Delpeyrat et un tas de petites entreprises fournissent la grande distribution. Comment pister l'origne des produits Sur le stand de Delpeyrat (produits du Sud-Ouest), les jambons sont vendus à Casino, Carrefour, Cora, Monoprix ou encore Super U. Pour savoir d'où vient un produit, il faut pouvoir décoder le code EMB, pour emballeur, une mention obligatoire. Sur le stand Delpeyrat, la démonstratrice désigne par exemple du jambon de Bayonne a priori similaire en tout point.

Le premier magasin new-yorkais d'Amazon n'était qu'un immeuble de bureaux Ce qui aurait pu être l'un des plus beaux contes marketing de ce Noël 2014, n'est plus qu'un simple soufflé médiatique aujourd'hui, discrètement, retombé. Le 9 octobre dernier, citant des sources "proches du dossier" le Wall Street Journal (WSJ) affirmait, que 20 ans après sa naissance, Amazon s'apprêtait à ouvrir un magasin physique pour les fêtes de fin d'année (la sacro-sainte "shopping season" aux Etats-Unis) à New York. Un magasin situé sur la 34ème rue, en plein coeur de Manhattan, de manière tout à la fois symbolique et stratégique, tout près de l'Empire State Building et à quelques encablures de Macy's LE grand magasin new-yorkais par excellence. Le 20 novembre le Seattle Times confirme qu'Amazon a bien loué pour une durée de 17 ans un immeuble (de 44 000 m2) à deux pas de l'Empire State Building, mais précise en se basant sur des propos d'une porte-parole d'Amazon, Kelly Cheeseman, que le groupe Internet n'a aucune intention d'ouvrir un magasin à cette adresse.

Le Co-Branding : catalyseur de succès ? Souvenez-vous : Burger King et Eurostar, H&M et Lanvin, Genius et Spotify, ou encore Mercedes et Swatch. Leur point commun ? Aucun à première vue. Décryptage d'une technique qui fait de plus en plus fureur dans l'Hexagone. Pourquoi opter pour le Co-Branding ? Lanvin et H&M, le meilleur des deux mondes ! Le co-branding est l'associationde deux ou plusieurs marquesautour d'une stratégie de communication et de commercialisation d'un produit ou service qu'elles cosignent. Quelles sont les clés d'un Co-Branding réussi ? Comme vu plus haut, le co-branding peut s'avérer être un moyen efficace pour atteindre ses objectifs en termes de vente et de marketing. Définissez vos objectifs Avant de vous lancer dans toute opération de co-branding, soyez clair sur les bénéfices attendus et faites le point sur ce que vous avez en votre possession pour mener à bien votre future collaboration. Identifiez votre partenaire idéal Les opérations de co-branding se suivent... mais ne se ressemblent pas !

L'épicerie Les marques maison des supermarchés Au lieu de choisir des grandes marques nationales, vous avez peut-être déjà placé des produits Sélection mérite, Le Choix du président, Sans nom, Nos compliments, etc. dans votre panier d'épicerie. Mais savez-vous d'où proviennent ces aliments ? Que vous soyez fidèle à IGA, Loblaws/Provigo ou Métro, vous n'avez pas pu passer à côté des produits des marques maison. Jean-Claude Dufour, doyen de la faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation à l'Université Laval, à Québec, définit ce qu'est une marque : « Une marque, c'est avant tout une affiche, un moyen d'essayer de créer chez les consommateurs et les consommatrices un lien de fidélité, un lien d'attachement ». On retrouve dans les supermarchés deux gammes de produits maison : une gamme pour les chasseurs d'aubaines et une autre que l'on veut supérieure ou exclusive. Derrière la marque maison : une grande marque Dans ce cas-ci, ce n'est pas Géant vert qui fournit le maïs Sélection mérite.

DECRYPTAGE : LES MARQUES DE DISTRIBUTEURS VALENT-ELLES LE COUP (EN BEAUTE) ? Vous connaissez "l'effet marque" : quand la marque est connue, et reconnue, notamment parce qu'elle dépense plein de sous dans de la publicité, c'est rassurant, on lui fait confiance. Il y a un petit côté méthode Coué, ou "pensée magique", là-dedans. On se dit qu'elle ne serait pas si connue que ça, et aussi couronnée de succès, si ses produits étaient déceptifs. Ce n'est pas faux. A l'inverse, on regarde souvent la (les) marque(s) de distributeur (MDD) avec méfiance. Pourtant, elles cartonnent, ces MDD de la beauté : chez Leclerc, elles s'appellent Inell Beauty (pour le soin) ou Siliss (pour l'épilation), chez Carrefour, c'est Les Cosmétique Design Paris, chez Monoprix, c'est Monoprix ou - et on le sait moins, Miss Helen (pour le maquillage), chez Intermarché, c'est Labell Paris (pour le maquillage), chez Sephora, c'est Sephora, chez Marionnaud, Marionnaud, chez Leader Price, Leader Price... "Pour les mauvaises raisons", oui. Personnellement, je n'achète quasiment que de la MDD.

Tribune | La vente pour les non-vendeurs : apprenez à décrypter votre client Vous débutez dans la vente, vous avez une fonction vous menant à régulièrement adopter une posture de vendeur… Mais vous avez l’impression de ne pas maîtriser complètement les ficelles du métier de vendeur. Les techniques de vente ont évolué : le vendeur doit savoir se montrer assez bon psychologue pour pouvoir orienter son client dans le processus de vente. Apprenez à ne plus subir la vente, mais à la diriger avec assurance et efficacité. Même si vous n’avez pas le sentiment d’avoir la fibre commerciale, vous pouvez mener un entretien de vente avec assurance et conviction. Il vous suffit de redéfinir clairement votre stratégie de vente sur des techniques qui ont démontré leur efficacité. Le principe de la vente est de comprendre le client et de s’y adapter. Les comportements dans la vente En situation de vente, plusieurs comportements sont possibles, en tant qu’acheteur, mais aussi en tant que vendeur. Les arrangeants sont un peu plus souples, de manière générale. - le langage visuel

Le beau, le mauvais et le laid des plans alimentaires | Science & fourchette L’autre jour, une jeune femme me confie qu’elle est tombée sur un plan alimentaire d’une coach santé. Elle a décidé de suivre ce plan. Celui-ci allait enfin lui faire retrouver rapidement son poids « santé », celui qu’elle avait avant l’arrivée de bébé. Ce plan alimentaire est même reconnu pour être sécuritaire, pour avoir sauvé la vie de milliers de gens et est approuvé par un soi-disant médecin ou nutritionniste. Elle ne comprend pas trop les principes métaboliques qui lui ont été expliqués, mais son insuline est la coupable depuis toutes ces années. Maintenant, elle n’a qu’à tout prépeser, à mettre les aliments dans des petits contenants prémesurés et à manger ce qui est écrit sur le plan prédéterminé. C’est beau comme promesse, j’en conviens. Dans les faits, son désir de prendre un shortcut pour arriver le plus vite possible au poids désiré était palpable. Une histoire si courante de nos jours. Décoder les plans alimentaires « Notre méthode n’est pas compliquée! Tous du pareil au même

Les MDD en déclin condamnées à innover (étude) Les marques de distributeurs (MDD) marquent le pas en France, subissant une érosion lente depuis 2011 et enregistrant une nouvelle année de stagnation en 2013, autour des 30% du marché des produits de grande consommation (PGC), selon deux études publiées vendredi 17 janvier. Selon les données du panéliste IRI, fin novembre 2013, les MDD représentaient 29,5% du chiffre d'affaires et 40% des volumes des PGC vendus en grande distribution. Elles représentent par ailleurs environ 26% de l'offre de produits présentée dans les linéaires des hyper et supermarchés français. Une érosion constatée début 2011 Selon le cabinet Nielsen, qui a inclus dans son étude le drive (récupération de commandes passées sur internet) en plus des circuits traditionnels, les MDD comptent pour 34,8% en valeur des PGC en France, contre 43,1% aux Pays-Bas, 39% en Espagne et en Allemagne. Entre 1997 et 2007, elles étaient pourtant passées de 18% du marché à 29%. Guerre des prix Miser sur l'innovation (avec AFP)

De l’énorme influence du smartphone sur les... On connaissait l’effet showrooming, voici la mesure de l’influence même de l’utilisation d’un smartphone en magasin. Selon les résultats d’une étude Tradedoubler menée dans neuf pays en Europe, 20% des personnes interrogées finissent par acheter le produit consulter depuis un smartphone dans un autre magasin. Tandis que 22% abandonne l’achat en magasin pour privilégier l’acte en ligne. Finalement, ce ne sont que 19% des personnes qui consultent sur smartphone en magasin qui y mènent leur transaction jusqu’au paiement. Pour Pascal Gayat, directeur France de Tradedoubler: "Notre étude démontre l’influence considérable du smartphone sur le comportement d’achat en magasin. Plus de la moitié des consommateurs changent d’avis après s’être renseignés sur un produit via leur smartphone. Sur Magasin LSA, contactez tous les prestataires e-commerce qui développeront votre magasin sur internet

RAPPEL | Ces bijoux chez Ardene sont composés de matières toxiques - Grands titres Santé Canada a diffusé le rappel de l'entreprise Ardene concernant ses colliers métalliques de type « best friend » portant le numéro 20051748, en raison de concentration en plomb supérieure à la limite permise. Les colliers rappelés possèdent une chaîne de couleur argent, ainsi que deux petits pendentifs en forme de coeur avec les inscriptions «Best» et «Friends». L'un des deux pendentifs a la forme d'un cactus noir et l'autre, de melon d'eau turquoise et rose. « Le plomb est hautement toxique, particulièrement chez les enfants. L'exposition à ce métal a été associée à divers effets graves sur la santé, notamment : anémie, vomissements, diarrhée, graves lésions cérébrales, convulsions, coma et autres effets touchant le foie, les reins, le cœur et le système immunitaire. Dans les cas extrêmes, il y a eu décès », écrit l'organisme fédéral sur son site web. Les produits rappelés ont été vendus entre les mois de mars et avril 2017. Photo: Santé Canada

[Infographie] La signification des couleurs des logos de marques D’après certaines études, les couleurs affectent non seulement nos sens et nos humeurs. Mais elles peuvent également modifier nos comportements d’achats, notamment lorsqu’une marque axe sa stratégie sur une communication visuelle forte : site web, campagne marketing, publicité et bien sûr le logo. Sean Sandhurst, un “digital marketeur” canadien, vient de publier sur Pinterest une infographie réalisée par l’agence Muse Design très interessante sur la signification des couleurs dans ces logos. Et de celle-ci nous pouvons retenir les éléments suivants : Le bleu inspire confiance Au delà de quelques évidences (le vert fait référence à la nature et à la terre, le rose au sexe féminin) on y apprend notamment que le bleu est la couleur la plus souvent utilisée dans les logos, et renvoie une image de puissance, d’autorité, mais aussi de sécurité et de sérénité. En résumé, le bleu serait la couleur de la “force tranquille”, “l’entreprise forte à qui il est bon de faire confiance”.

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