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Jus d'orange : un danger au quotidien ?

Jus d'orange : un danger au quotidien ?
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«L’alimentation devrait être un droit de l’homme» Selon l’une des conclusions du dernier rapport des Nations unies, 1,2 milliard de personnes souffrent de la faim dans le monde. Olivier De Schutter, successeur de Jean Ziegler au poste de rapporteur spécial pour le droit à l’alimentation, y dresse un constat d’échec avant l’échéance de son dernier mandat, fin avril. François Collart-Dutilleul, juriste, spécialiste du droit de la sécurité alimentaire et professeur à l’université de Nantes, a lancé il y a cinq ans un projet ambitieux baptisé Lascaux (1) : pas moins de 400 chercheurs des cinq continents contribuent à l’édification d’un arsenal juridique efficace pour lutter contre la faim et la malnutrition. Pourquoi «Lascaux» ? Pour peindre les grottes de Lascaux, il fallait disposer de temps, donc vivre dans une certaine sérénité alimentaire. Comment définir le droit à l’alimentation ? Qui a gagné ? Aguas Argentinas, la société privée, car le droit de propriété est un droit plein, tangible. Sur quoi le programme Lascaux s’appuie-t-il ?

L'atlas du changement de notre environnement - Developpement durable, univers virtuel simulation L'Atlas du changement de notre environnement du PNUE Les écolo-sceptiques risquent de se trouver à court d’arguments face à cet atlas interactif de notre environnement, résultat étonnant de la rencontre entre Google Map et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). A l’écran, notre planète est recouverte de sigles PNUE, chacun témoignant de la fulgurance du changement de notre environnement au cours des dernières décennies. Chaque lieu permet d’accéder à des informations sur la région comprenant des images satellites à différentes époques, des explications sur les causes de l’évolution de l’environnement, des photographies, des références et sa géolocalisation sur Google Earth. Les images satellites et les photos qui les accompagnes illustrent en toute objectivité les effets du réchauffement climatique et l’impact de l’activité humaine sur l’environnement. Quelques exemples :

Ces lycées franciliens qui veulent manger bio Début avril, les demi-pensionnaires du lycée Bougainville, à Brie-Comte-Robert (77), avaient du riz bio, de la semoule bio, des yaourts bio, du pain bio au menu. Manger bio à la cantine, c'est donc possible mais malheureusement pas très courant... En 2013, 20 lycées franciliens participaient activement à l’introduction d’aliments bio. En 2014, trois autres établissements devraient les rejoindre. Opérationnelle depuis septembre 2012, cette plateforme de stockage, de préparation de commandes et de livraisons permet de regrouper l’offre bio locale et son acheminement vers le client final : lycées franciliens, mais aussi cuisines centrales de collectivités, caisses des écoles de Paris et restaurants administratifs. Cet engagement des lycées franciliens se traduit aussi par des animations et des actions de sensibilisation : tables de découverte sur le pain, interventions en classe… Photo : © Laurent Villeret/Dolce Vita/Picturetank

Espace Elèves Sais-tu ce qu'est un habitat écologique ? Les animations multimédias ci-dessous vont te permettre de mieux comprendre de quoi il s'agit. Tu as 2 possibilités : naviguer entre les différentes animations. utiliser les animations une par une. Note : Si les animations ne se chargent pas correctement, il faut installer (ou mettre à jour) le plugin flash sur ta machine. A chacun sa maison Comment économiser l'énergie ? Une maison plus saine Comment économiser l'eau ? Teste tes connaissances Crédits Cliquez ici pour voir l'équipe du projet.

Des enfants exposés à des centaines de résidus pesticides L'association Générations futures publie, mardi 29 avril, une étude sur l'exposition des enfants aux pesticides perturbateurs endocriniens (PE), ces substances chimiques capables de modifier le fonctionnement hormonal et produire des effets néfastes. Leur singularité est d'affecter les organismes à des doses très faibles, spécifiquement lors de périodes-clés du développement (stade fœtal, petite enfance). Pour cette étude concernant des enfants en âge d'être scolarisés, l'association a fait prélever des mèches de cheveux sur 30 enfants vivant dans des zones de cultures céréalières, dans une zone viticole, dans des zones maraîchères, arboricoles (pommiers et cerisiers) ou en ville. D'après le questionnaire déclaratif rempli par les parents au moment du prélèvement, un tiers des enfants participant à l'enquête étaient scolarisés dans un établissement se trouvant à moins de 50 mètres d'une zone agricole où des pesticides sont pulvérisés.

Quelles sont les sources d’énergie que les Inuits utilisent ? On se demande souvent comment les Inuits, les habitants du Grand Nord, au Nord du Canada font pour vivre et quelles énergies ils utilisent. Ces gens-là sont complètement dépendants du milieu dans lequel ils vivent. Il n'y a pas de jardins potagers. Ils mangent essentiellement du phoque, de la baleine, de l'ours polaire, et c'est en particulier la graisse de phoque, qui est en quantité très importante juste en-dessous de la peau et qui lui sert à se protéger du froid, qui était la première source d'énergie dans ces régions. Les lampes à huile étaient utilisées là-bas. Quand on utilise une lampe à huile, il fait tout noir, car il y a une fumée qui se dépose partout. Ces gens avaient une capacité tout à fait incroyable de survivre dans un milieu où apparemment on ne peut pas survivre.

« On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare » Interview – Résoudre la question alimentaire à l’échelle planétaire, en se passant de l’agriculture conventionnelle ? Ça ressemble à une utopie, mais c’est la réalité de demain, selon certains. Parmi eux, l’agronome Jacques Caplat. Entretien. Jacques Caplat est agronome et géographe. L’idée que les rendements en bio sont plus faibles qu’en conventionnel est récurrente… Si l’on considère que l’agriculture bio, c’est faire la même chose qu’en conventionnel moins la chimie, alors oui, c’est certain. Que faut-il comparer, alors ? Le système conventionnel s’est construit sur l’idée qu’on peut augmenter les rendements en sélectionnant les semences. Ce concept fonctionne de façon optimale avec un mélange de cultures sur une même parcelle. Vous soutenez que l’agriculture bio est le seul système viable dans les pays tropicaux… Le système conventionnel ne marche qu’en milieu tempéré. Que disent les études scientifiques sur cette question ? Cette transition est-elle possible ? C’est très complexe.

Les enjeux de l'énergie Je suis enseignant Tester le serious game Editer mes propres missions Créer et suivre mes activités de classe autour du jeu Enrichir et diversifier mes séances plus d'infos Je veux essayer le jeu Parents, presse, collaborateurs... Pour la rentrée 2014, une nouvelle version conçue à partir des retours utilisateurs. Accompagnement du joueur - équilibrage Intégration de tutoriels dans chaque mission Ajout d’écrans d’introduction dans chaque mission Intégration d’un feedback de connexion des centrales au réseau de transport Intégration de feedbacks sous les bâtiments des villes pour mieux comprendre la répartition de la consommation Rééquilibrage de la difficulté des différentes missions Le parcours élève se fait de nouveaux mission après mission : seule la première est accessible dans une nouvelle partie. Éditeur de missions Les enseignants peuvent créer des missions en choisissant les variables et en fixant un objectif aux élèves. Le Serious Game, pour une nouvelle dynamique d’apprentissage.

Etats-Unis : la révolte des élèves contre les légumes obligatoires de la cantine | American Miroir Michelle Obama dans une cantine d’une école dans le Maryland, le 19 mai 2010 (Elisa Miller/NEWSCOM/SIPA) Depuis des mois, la grogne montait dans les écoles. Les élèves jetaient les fruits et légumes désormais proposés dans les cantines. Cette rentrée, nouvelle étape : les distributeurs de chips et sucreries sont interdits. Les jeunes et la droite crient leur haine contre Michelle Obama à qui l’Amérique doit cette révolution des cafeterias. Pour les usagers de Twitter, la colère est facile à vérifier en utilisant le nouveau hashtag #BringBackOurSnacks (rendez-nous nos snacks). Sous des bordées d’injures – « Fucking Michelle Obama ! Vides pour l’instant, car les machines devraient bientôt être approvisionnées en briquettes de lait écrémé, pur jus, eau parfumée, yaourts, et fruits frais prédécoupés ou entiers. A l’exemple de cet élève qui, de chez lui, publie la photo d’un assortiment de mets frits : « Merci M. Le site Vocativ a compilé un paquet de ces tweets vengeurs et illustrés.

Monsanto : les produits à boycotter + Liste des Marques à Connaître De très nombreux articles de consommation courante sont élaborés à partir de cultures OGM mises au points par Monsanto, géant américain de la biochimie. Bio à la Une fait la liste de quelques unes des marques à éviter afin de ne pas mettre n’importe quoi dans son assiette. Monsanto, titan de la biotechnologie, est tristement célèbre pour les scandales sanitaires à répétition dans lesquels il est mis en cause. On le sait moins, mais les marques qui contiennent des produits Monsanto envahissent nos rayons. Pour mieux savoir ce que l’on met dans son assiette et dans celle de ses enfants, il est bon de connaître les multinationales, propriétaires de nombreuses marques, qui ont recours à des composants Monsanto. Parmi celles-ci, les sociétés Kraft Philipp Moris, Unilever, General Mills, Coca-Cola, Pepsico ou encore Procter & Gamble. Boissons Produits sucrés Produits salés Hygiène et entretien Que faire contre Monsanto? Un projet internet pour contrer Monsanto

Des cantines scolaires avec des repas 100% bio et locaux, c'est possible Une ville ouvrière révolutionne la restauration scolaire. Saint-Etienne, 170 000 habitants, est en passe d’assurer une alimentation 100 % issue de l’agriculture biologique pour les cantines des écoles maternelles et primaires. Soit près de 3 000 repas servis quotidiennement. « Un objectif valable à compter du 1er janvier 2014 », souligne Fabrice Poinas, chef de service de la restauration scolaire de la ville. Avec une petite nuance : ces « 100 %» s’appliquent si les produits sont disponibles sur le marché. Difficile en effet de trouver du poisson d’élevage ou des galettes des Rois labellisés Agriculture biologique. « En 2013, 80 % de nos repas étaient bio et composés à 41 % de produits locaux », se réjouit Fabrice Poinas. La progression à l’échelle nationale demeure néanmoins très lente. Des plateformes collectives pour répondre à la demande des collectivités La ville de Saint-Étienne s’approvisionne auprès de la coopérative Bio A Pro. Créer des légumeries pour assurer la transformation

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