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Oxford Journal of the American Academy of Religion

Oxford Journal of the American Academy of Religion
Related:  Athéisme & religions

CROYANCE Le parcours complexe qui sera ici suivi présente, pour un regard de survol, un certain nombre de grandes articulations. La première concerne le passage du langage ordinaire au langage philosophique : pour la langue courante, le mot est surtout pris au pluriel ; ainsi parle-t-on des croyances de tel peuple ou de tel groupe, des croyances populaires. La transition vers la philosophie est indiquée par le sens fort que le mot prend au singulier lorsqu'il désigne une sorte d'action, l'action de croire ; prise en ce sens, la croyance désigne une attitude mentale d'acceptation ou d'assentiment, un sentiment de persuasion, de conviction intime. Au sortir du langage ordinaire, nous rencontrons une bifurcation dans laquelle nous ne nous engagerons pas, celle des sciences humaines ; celles-ci s'intéressent à la croyance du point de vue des motivations individuelles et des conditions sociales. La mise en série des contextes philosophiques conduit en gros de la croyance-opinion à la croyance-foi.

Eyes body language Techniques > Use of body language > Parts-of-the-body language > Eyes body language Up | Down | Sideways | Gazing | Glancing | Eye contact | Staring | Squinting | Blinking | Winking | Closing | Damp | Tears | Pupil size | Rubbing | See also The eyes are often called, with some justification, 'the windows of the soul' as they can send many different non-verbal signals. For reading body language this is quite useful as looking at people's eyes are a normal part of communication (whilst gazing at other parts of the body can be seen as rather rude). When a person wears dark glasses, especially indoors, this prevents others from reading their eye signals. Looking up When a person looks upwards they are often thinking. When they are delivering a speech or presentation, looking up may be their recalling their prepared words. Looking upwards and to the left can indicate recalling a memory. Looking down Looking at a person can be an act of power and domination. Looking sideways Lateral movement Damp

Allez savoir! » L’invention de Dieu Moïse. Un messager apparaît dans une flamme au milieu d’un buisson et s’adresse au prophète (Exode, 3). Œuvre de Marc Chagall, 1965-66. © RMN – Grand Palais (musée Marc Chagall)/Gérard Blot. Chagall ®/© 2014, ProLitteris, Zurich Sous ce titre polémique, le professeur de l’UNIL Thomas Römer raconte l’existence et la carrière du Yahvé de la Bible avant qu’il ne devienne le dieu unique. Notre Père n’a pas toujours été seul aux cieux, ni même au monde. Thomas Römer y raconte en effet comment le «dieu d’Abraham» est devenu le dieu unique dans le judaïsme, le christianisme et l’islam. Moïse et le dieu incognito Mais revenons à l’origine de cette affaire, qui commence par un épisode que tout le monde croit connaître: la première rencontre entre un dieu, que l’Ancien Testament appelle Yahvé, et Moïse. Dans la première version, en Exode 3, Moïse est au service de son beau-père, un prêtre du pays de Madian. El est d’ailleurs bien connu des historiens des religions antiques. Thomas Römer.

Опиум народа Опиум народа (нем. Opium des Volkes) — образное определение религии, ставшее широко известным благодаря Карлу Марксу, использовавшему его в своей работе «К критике гегелевской философии права». Сравнение религии с опиумом, однако, известно ещё до Маркса. Считается, что первым его использовали маркиз де Сад в своём романе «Жюльетта» (1797) и немецкий поэт Новалис в сборнике афоризмов «Цветочная пыльца» (1798). Подобное сравнение встречается также в произведениях других поэтов, писателей и философов (Чарльз Кингсли, Генрих Гейне, Ленин). Маркиз де Сад[править | править вики-текст] В романе де Сада «Жюльетта» главная героиня использует метафору «опиум» в разговоре с королём Фердинандом, критикуя его политику по отношению к подданным. Новалис[править | править вики-текст] Известный немецкий поэт Новалис сравнивает религию с опиумом в сборнике афоризмов «Цветочная пыльца», опубликованном в Берлине в 1798 году. Чарлз Кингсли[править | править вики-текст] Карл Маркс[править | править вики-текст]

"Il n'est pas tombé du ciel": comment avons-nous inventé Dieu ? Le Nouvel Observateur Comment naît le dieu unique issu de la Bible hébraïque? Thomas Römer D'abord, le dieu unique n'est pas tombé du ciel du jour au lendemain. On ne s'est pas non plus réuni autour d'une table en se disant qu'il y avait trop de dieux et qu'on allait n'en garder qu'un seul. Pour Israël, ce dieu protecteur est connu sous le nom de Yahvé. C'est un dieu de l'orage et de la guerre, jeune et fougueux, qui correspond au Seth des Égyptiens et au Baal du nord du Levant. Pourquoi Yahvé prend-il la place du puissant El? Ce sont vos préjugés monothéistes qui vous font dire ça. Comment donc le Yahvé d'Israël finit-il par s'imposer comme unique dieu et créateur de l'univers? Le monothéisme biblique est un acte politique. Le monothéisme commence donc ici ? Le rejet catégorique de toute divinité autre que Yahvé est une étape vers l'idée monothéiste inaugurée par le judaïsme. Comment devient-il universel ? Peut-on finalement se passer de Dieu ? Propos recueillis par Marie Lemonnier

Michel Onfray Traité d'athéologie dans le texte / extrait / première partie Traité d'athéologie Michel Onfray philosophe 1 - Dieu respire encore. Dieu est mort ? À l’évidence, l’annonce de la fin de Dieu a été d’autant plus tonitruante qu’elle était fausse... Car Dieu n’est ni mort ni mourant - contrairement à ce que pensent Nietzsche et Heine. On ne tue pas un souffle, un vent, une odeur, on ne tue pas un rêve, une aspiration. Le dernier dieu disparaîtra avec le dernier des hommes.Et avec lui la crainte, la peur, l’angoisse, ces machines à créer sans fin des divinités.La terreur devant le néant, l’incapacité à intégrer la mort comme un processus naturel, inévitable, avec lequel il faut composer, devant quoi seule l’intelligence peut produire des effets, mais également le déni, l’absence de sens en dehors de celui qu’on donne, l’absurdité a priori, voilà les faisceaux généalogiques du divin. 2 - Le nom des esprits forts. Dieu durera donc autant que les raisons qui le font exister ; ses négateurs aussi...

Théisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne pas confondre théisme et déisme. Le théisme (du grec theos, dieu) est un terme qui désigne toute croyance ou doctrine qui affirme l'existence d'un Dieu et son influence dans l'univers, tant dans sa création que dans son fonctionnement. Selon le théisme religieux, la relation de l'Homme avec Dieu passe par des intermédiaires (la religion). Selon le théisme philosophique, Dieu régit l'univers directement. Le théisme est opposé à l'athéisme. Principaux points de la doctrine théiste[modifier | modifier le code] Le théisme affirme que : Tout ce qui n’est pas l’œuvre de l’Homme est produit par une source originelle universelle et intelligente (nommée Dieu).Il n'est pas concevable que rien soit à l'origine de tout.Dieu a une existence personnelle et une action dans l'univers. Le théisme religieux[modifier | modifier le code] Le théisme religieux ajoute les affirmations suivantes : Le théisme philosophique[modifier | modifier le code]

Que croyez-vous ? (2/4) : Croire au XXIe siècle Comment croire au XXIe siècle? Camille Riquier décrit un siècle d'agnostiques, de croyances et de doutes "tièdes", qui contraste notamment avec un XVIIème siècle, où la foi ne craint pas un doute qui soit d'égale force (Pascal, Descartes,...). Le texte du jour « Ce n’est peut-être pas sans bien-fondé que nous attribuons à la naïveté et à l’ignorance la facilité de croire et de se laisser persuader : car il me semble avoir appris autrefois que la croyance c’était comme une empreinte qui se faisait en notre âme et [que], dans la mesure où celle-ci se trouvait plus molle et de moindre résistance, il était plus aisé d’y imprimer quelque chose. (…) Plus l’âme est vide et sans contrepoids, plus facilement elle s’abaisse sous la charge du premier effort pour la persuader. Voilà pourquoi les enfants, le vulgaire, les femmes et les malades sont plus sujets à être menés par les oreilles. Montaigne, Essais, 1572-92, I, chap. Lectures Nietzsche, Le Gai Savoir, 1887, livre III, § 125, tr. Extraits

Catharisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec Catarrhe. Le catharisme (du grec καθαρός / katharós, « pur ») est un mouvement médiéval d'origine antique, un manichéisme avec des aspects chrétiens[réf. nécessaire]. Il ne s'est jamais autodésigné ainsi, car ce terme, inventé par l'abbé Eckbert von Schönau (de) († 1184) pour désigner les « hérétiques », fut popularisé en français par l'occitanisme des années 1960 dressé contre le centralisme jacobin[1]. Les guides religieux « cathares », en effet, se désignaient eux-mêmes comme « Bons Hommes », « Bonnes Dames » ou « Bons Chrétiens » et leurs ennemis contemporains les appelaient les « hérétiques albigeois ». Origines[modifier | modifier le code] Le château de Montségur, pris en 1244 après un siège de plusieurs mois, et reconstruit vers la fin du XIIIe siècle. Le nom de « cathares » a été donné par les ennemis de ce mouvement, jugé hérétique par l'Église catholique romaine et adopté tardivement par les historiens.

Fra Dolcino Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fra Dolcino. Lithographie de Michele Doyen (1809 - 1881). Fra Dolcino Tornielli (généralement appelé Dulcin dans les textes français antérieurs au XXe siècle[1]), né v. 1250 à Novare et brûlé sur le bûcher le , est un prêcheur italien souvent décrit comme un hérétique inspiré par les théories franciscaines. Il conduit une révolte populaire d'inspiration millénariste en Italie du Nord. Biographie[modifier | modifier le code] L’inquisiteur Bernard Gui affirme que Fra Dolcino était le fils illégitime d’un prêtre qui, après avoir été arrêté comme voleur, s’était enfui à Verceil pour suivre la secte du prêcheur radical Gherardo Segarelli, qui prônait le refus de l’institution du mariage et la redistribution des richesses parmi les chrétiens pauvres. Tout est pur pour les purs. Beaucoup de contemporains le dénoncent toutefois comme un manipulateur et un séducteur, utilisant des arguments religieux pour asseoir une autorité personnelle.

Bernard Gui Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Gui. Biographie[modifier | modifier le code] Médiocre théologien, il donne toute sa mesure dans ses nouvelles fonctions. Durant sa charge, il doit faire face aux trois grands types d'hérésies de son époque : le catharisme (1307–1323), le valdéisme (1316–1322) et les Béguards et Béguines (1319–1323). Il appartient à la troisième génération d'inquisiteurs, laquelle rend à l'institution inquisitoriale son poids et son efficacité après une période de contestations. Son Liber sententiarum (Livre des sentences) recueille les actes de 11 sermons généraux (appelés sermo generalis) et ses 916 décisions de justice prises, pendant son mandat d'inquisiteur à Toulouse, contre 636 personnes (décisions individuelles ou concernant toute une communauté). Ses promotions en tant qu'évêque lui sont octroyées par le pape Jean XXII en récompense des services rendus en tant qu'inquisiteur. Voir aussi[modifier | modifier le code]

La Nécessité de l'athéisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Nécessité de l'athéisme (The Necessity of Atheism, en anglais) est un traité sur l’athéisme publié sans nom d’auteur par Percy Bysshe Shelley en 1811 lorsqu’il était étudiant à l’université d'Oxford. Shelley envoya à tous les évêques anglais et au vice-chancelier d’Oxford un exemplaire de ce pamphlet dont le contenu fut jugé si choquant ainsi par les autorités universitaires que Shelley fut, avec son ami Thomas Jefferson Hogg, expulsé d’Oxford, le 25 mars 1811, pour avoir refusé de comparaître devant elles. Le père de Shelley ayant proposé de s’entremettre à condition que son fils désavoue publiquement ses opinions, celui-ci s’y refusa et préféra rompre avec son père. Une version révisée et augmentée de la Nécessité de l’athéisme a été imprimée en 1813 sous le titre de Réfutation du déisme. Texte en ligne[modifier | modifier le code] Réfutation du déisme, trad. par Albert Savine, Paris, P. Bibliographie[modifier | modifier le code]

De la suffisance de la religion naturelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De la suffisance de la religion naturelle est un texte philosophique de Denis Diderot rédigé en 1746 et publié pour la première fois en 1770. Il se compose de 27 réflexions de longueurs variables sur la nature de la religion. Édition du texte[modifier | modifier le code] En 1770, Jacques-André Naigeon fait publier soi-disant à Londres, mais en fait chez Marc-Michel Rey à Amsterdam, un Recueil philosophique[1] où il insère le texte de Diderot. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Recueil philosophique ou Mélange de pièces sur la religion et la morale par différents auteurs.

Pour en finir avec Dieu Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour en finir avec Dieu (The God Delusion) est un essai à succès du biologiste britannique Richard Dawkins, détenteur de la chaire Charles Simonyi à la Public Understanding of Science de l'université d'Oxford, paru en 2006 dans sa version originale. La traduction française de l'ouvrage, réalisée par Marie-France Desjeux-Lefort est parue en 2008. Dawkins y soutient qu'un créateur surnaturel n'existe probablement pas et qualifie cette croyance en un dieu personnifié de délire qu'il définit comme une croyance fausse et persistante se maintenant face aux preuves qui la contredisent. Vendu à plus de deux millions d'exemplaires et traduit en plus de 30 langues, ce livre a reçu un accueil critique contrasté. Contexte[modifier | modifier le code] Richard Dawkins en mars 2008. En 2006, son éditeur le met à nouveau en garde, mais Dawkins attribue son changement d'avis à quatre années de gouvernement Bush[2]. Contenu[modifier | modifier le code]

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