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Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - Equipe DYCOG

Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - Equipe DYCOG
Lattention est le processus de slection, dactivation et de facilitation de certains rseaux de neurones au dpend des autres. Ce processus peut tre dclench de manire rflexe, par un stimulus externe ou interne, ou bien se dvelopper sous forme dun contrle endogne par le systme excutif, exerant son influence sur le cerveau depuis le lobe frontal. Je mintresse particulirement ce deuxime aspect. Je crois quil existe pour chaque activit, quil sagisse de lire un article, de retourner un service au tennis, dcouter un cours de maths, parler un ami ou simplement manger un bon repas, des tats attentionnels optimaux, au cours desquels lattention ajuste finement lquilibre entre les automatismes du cerveau pour parvenir une grande efficacit et une grande qualit dexprience et de ressenti, accompagnes dune sensation deffort minime. Cette conviction a motiv mes recherches tout au long de ces quinze dernires annes. Glossaire : Related:  LES NEUROSCIENCES EN EBULLITION

Neurosciences et pratiques pédagogiques diversifiées élèves TSA Ce document a été réalisé à l’initiative d’un groupe de travail issu du groupe départemental Handiscol, consacré aux troubles sévères du langage. Sa conception et sa mise au point ont été confiées à un enseignant spécialisé, M. Matillat, qui a travaillé avec une conseillère pédagogique spécialisée, Mme Gardie ; tous deux ont bénéficié de l’appui de Mme Gonzalez, médecin neurologue au centre L’Escale (Hôpitaux Lyon Sud). La commande visait essentiellement deux objectifs : Faciliter la compréhension par les équipes d’écoles d’éléments issus de recherches récentes en neuropsychologie, intégrés aux bilans d’élèves tels qu’ils peuvent être transmis par les familles ou directement par des partenaires de soins ; Donner, à partir de la présentation d’analyses de quelques cas individuels, des pistes de travail pédagogique. Tel qu’il est ici mis à disposition, ce document doit être lu, visionné, comme une introduction aux problématiques, toujours ouvertes, des troubles sévères du langage.

UNICOG, laboratoire de recherche en neuro-éducation | Fondation Bettencourt Schueller Installée au centre de recherche NeuroSpin du Commissariat à l’énergie atomique à Saclay, l’unité de neuro‐imagerie cognitive UNICOG mène depuis 2002 des recherches innovantes sur les opérations cognitives du cerveau humain. En combinant des techniques d’imagerie cérébrale avec des protocoles de recherche issus de la psychologie cognitive, les chercheurs d’UNICOG s’intéressent tant au cerveau normal que pathologique. Leurs travaux sur l’adulte et sur l’enfant visent à connaître et comprendre les architectures cérébrales des fonctions qui n’ont que peu ou pas d’équivalent chez les autres espèces animales : la lecture, la compréhension du langage, l’arithmétique et la prise de conscience d’informations du monde extérieur. UNICOG est dirigée par Stanislas Dehaene, membre de l’Académie des Sciences, professeur au Collège de France et lauréat du prix Coup d’élan pour la recherche française. UNICOG a publié d’intéressants résultats dans toutes les branches de sa recherche.

Développer l'attention et la Concentration Descriptif : Proposer aux élèves, tout au long de l'année, des activités simples, ne nécessitant pas de déplacements, dans le but de recentrer l'attention : • par un moment de chant, • par des activités de rythme • en se dégourdissant les jambes (se promener dans la classe quelques minutes) • par des exercices de gymnastique, tout en restant en place, à leur table : rectification de la posture, redressement de la colonne vertébrale, étirement, mouvement de doigts. • par des exercices respiratoires : ouvrir d'abord les fenêtres. Respirer lentement, bouche fermée, pendant cinq secondes, retenir l'air deux secondes dans les poumons, puis expirer lentement, par la bouche, pendant cinq secondes ; garder les poumons vides deux secondes encore avant de reprendre une inspiration, longue de huit secondes. •par des exercices de respiration abdominale : placer la main sur le ventre. Elle bouge au rythme de la respiration tandis que la poitrine ne bouge pas. • Faire des séquences courtes.

10_principes_de_la_memorisation 5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. Source : J.

Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit Capsule outil : Neuroscience et apprentissage : 5 choses à garder à l'esprit 1) Parler de nos mémoires plutôt que de la mémoire La mémoire est ce qui reste de nos apprentissages. La mémoire n'est pas pour autant un concept unifié. On a par exemple des circuits nerveux spécialisés dans le souvenir des événements que nous avons vécus durant notre vie passée (mémoire épisodique) qui ne sont pas les mêmes que ceux qui permettent la mémoire du sens des mots, de la fonction des choses, de leur couleur ou de leur odeur (mémoire sémantique). Traditionnellement, les études se sont concentrées sur les mémoires dites explicites, c'est-à-dire celles dont on peut exprimer verbalement le contenu (comme les deux premiers exemples précédents). Il s'agit de formes de mémoire qui s'acquièrent à notre insu et où le rappel d'un souvenir se fait automatiquement, sans les efforts nécessaires à la mémoire explicite. 2) Répéter au bon moment pour contrer l'oubli 3) Construire sur ce qu'on a déjà mémorisé

Apprendre à retenir, à mieux mémoriser Repères pour aider les élèves à retenir A. Pour bien retenir une leçon, s’assurer de ce qu’on comprend. 1. B. a. D. a. E. a. F. a. G. a. H. Eléments caractérisant la sphère. Remarque : Il existe divers logiciels chacun performant pour réaliser des cartes mentales avec les élèves.

Et si les neurosciences bousculaient le management ? Dopées par les progrès foudroyants de l'imagerie cérébrale, les neurosciences ont le vent en poupe. Leurs découvertes, au-delà de la sphère clinique, concernent au final tout type de relation humaine, y compris celles dans le monde du travail. « Nous avons pu localiser et comprendre quelles zones cérébrales s'activent lorsque nous ressentons des émotions, positives et négatives. Fait remarquable, ce sont les mêmes circuits qui s'activent dans notre cerveau lorsque nous sommes en relation avec autrui, confronté à ses émotions. Achetez l'article Pour J'achète Vous n'êtes pas abonné ? S'abonner Déjà inscrit ou abonné ?

Utiliser les neurosciences pour mieux former La neuroéducation est un domaine de recherche qui étudie les mécanismes cérébraux liés à l’apprentissage et à l’enseignement. C’est une discipline qui est née en 2007, suite à un rapport de l’OCDE (l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques). Cette discipline s’inspire des recherches menées en sciences cognitives (psychologie, neurosciences, ergonomie…). Elle utilise les informations récoltées sur les fonctions cognitives liées à l’apprentissage (perception, attention, mémorisation, etc.) pour adapter les pratiques éducatives. Cela est rendu possible notamment grâce aux techniques d’imagerie cérébrale qui permettent d’étudier les réactions du cerveau en train de lire, de mémoriser ou de compter par exemple. Qu’a-t-on appris grâce à la neuroéducation ? – Notre mémoire est influencée par nos émotions : nous retenons plus facilement une information si nous l’associons à quelque chose d’émotionnel car nous ne sommes plus passifs. Qu’est-ce que le projet Neurosup ?

Intelligences Accueil > Dossiers et articles > Intelligences Qu'il est difficile de définir de manière univoque ce qu'est l'intelligence ! La notion a en effet beaucoup évolué avec le temps. Retenons pourtant deux éléments essentiels : c'est grâce à notre intelligence que l'on comprend, puis que l'on produit quelque chose à partir de ce que l'on a compris. Mais comprendre quoi ? Personne n'est expert dans tous les domaines et personne n'est en capacité de tout comprendre. Mesurer l'intelligence conceptuelle abstraite s'est vite révélé insuffisant pour rendre compte de l'incroyable palette de talents et d'habiletés mises en oeuvre par l'individu au jour le jour. L'intelligence se cultive seul ou à plusieurs. Illustration : agsandrew, Shutterstock.com Sonder notre cerveau pour prédire nos achats 6 avril 2014 Le neuromarketing apparaît comme la nouvelle approche à la mode pour entrer au plus profond de l'esprit des consommateurs... et leur faire acheter toujours plus de produits et services. 5 avril 2014

Cogni-sciences L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 2) Le langage oral : acquisition, retards et troubles spécifiques du développement du langage (dysphasies...). 3) Le langage écrit : la lecture, le décodage, la fluence et la compréhension, les difficultés, les troubles spécifiques (les types de dyslexies). 4) Les autres troubles d’apprentissage : les troubles d’acquisition de la coordination motrice (dyspraxies), les troubles du calcul (dyscalculies), les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité : THADA... Trois axes directeurs orientent la majeur partie de nos activités :

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