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Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - Equipe DYCOG

Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - Equipe DYCOG
Lattention est le processus de slection, dactivation et de facilitation de certains rseaux de neurones au dpend des autres. Ce processus peut tre dclench de manire rflexe, par un stimulus externe ou interne, ou bien se dvelopper sous forme dun contrle endogne par le systme excutif, exerant son influence sur le cerveau depuis le lobe frontal. Je mintresse particulirement ce deuxime aspect. Je crois quil existe pour chaque activit, quil sagisse de lire un article, de retourner un service au tennis, dcouter un cours de maths, parler un ami ou simplement manger un bon repas, des tats attentionnels optimaux, au cours desquels lattention ajuste finement lquilibre entre les automatismes du cerveau pour parvenir une grande efficacit et une grande qualit dexprience et de ressenti, accompagnes dune sensation deffort minime. Cette conviction a motiv mes recherches tout au long de ces quinze dernires annes. Glossaire : Related:  LES NEUROSCIENCES EN EBULLITION

Neurosciences et pratiques pédagogiques diversifiées élèves TSA Ce document a été réalisé à l’initiative d’un groupe de travail issu du groupe départemental Handiscol, consacré aux troubles sévères du langage. Sa conception et sa mise au point ont été confiées à un enseignant spécialisé, M. Matillat, qui a travaillé avec une conseillère pédagogique spécialisée, Mme Gardie ; tous deux ont bénéficié de l’appui de Mme Gonzalez, médecin neurologue au centre L’Escale (Hôpitaux Lyon Sud). La commande visait essentiellement deux objectifs : Faciliter la compréhension par les équipes d’écoles d’éléments issus de recherches récentes en neuropsychologie, intégrés aux bilans d’élèves tels qu’ils peuvent être transmis par les familles ou directement par des partenaires de soins ; Donner, à partir de la présentation d’analyses de quelques cas individuels, des pistes de travail pédagogique. Tel qu’il est ici mis à disposition, ce document doit être lu, visionné, comme une introduction aux problématiques, toujours ouvertes, des troubles sévères du langage.

les différents types de mémoire - La mémoire humaine La mémoire est une fonction qui permet de conserver et de faire revenir consciemment quelque chose que l’on a apprit antérieurement. Il est préférable de parler de mémoires au pluriel. Selon le modèle de Tulving, l’homme présente cinq systèmes de mémoire. Ces différents types de mémoire interagissent en elles mais dépendent de régions cérébrales distinctes. Ainsi certains patients peuvent avoir certaines formes de mémoires préservées et d’autres altérées. On distingue trois catégories temporelles de mémoires. La mémoire sensorielle est l’aptitude de garder un élément en mémoire entre 200 millisecondes à trois secondes grâce à la perception visuelle et à perception auditive. La mémoire de travail ou mémoire à court terme est la seconde catégorie qui va permettre à l’esprit de retenir les informations durant la réalisation de taches. La mémoire à long terme est la troisième catégorie de mémoire temporelle qui résulte d’un stockage durable à l’intérieur de certaines zones du cerveau. 1. 2.

5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre : Découvrez 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux favoriser l’apprentissage dans vos formations. 1. Tous les êtres humains disposent d’une mémoire de travail. De plus, les recherches montrent que l’attention des apprenants chute naturellement au bout d’environ 10 minutes. 2. 3. 4. 5. Source : J.

projet de neuroéducation Et si les neurosciences bousculaient le management ? Dopées par les progrès foudroyants de l'imagerie cérébrale, les neurosciences ont le vent en poupe. Leurs découvertes, au-delà de la sphère clinique, concernent au final tout type de relation humaine, y compris celles dans le monde du travail. « Nous avons pu localiser et comprendre quelles zones cérébrales s'activent lorsque nous ressentons des émotions, positives et négatives. Fait remarquable, ce sont les mêmes circuits qui s'activent dans notre cerveau lorsque nous sommes en relation avec autrui, confronté à ses émotions. Achetez l'article Pour J'achète Vous n'êtes pas abonné ? S'abonner Déjà inscrit ou abonné ?

Mémoire Dossier réalisé en collaboration avec le Pr. Francis Eustache, Directeur de l'unité Inserm-EPHE-UCBN U1077 "Neuropsychologie et neuroanatomie fonctionnelle de la mémoire humaine" – Octobre 2014 La mémoire repose sur cinq systèmes de mémoire © Inserm, G. Cette représentation de neuro-imagerie est un exemple de la technique dite de recalage interindividuel guidé par les sillons (DIffeomorphic Sulcal-based COrtical ou DISCO). La mémoire se compose de cinq systèmes de mémoire impliquant des réseaux neuronaux distincts bien qu’interconnectés : La mémoire de travail (à court terme) est au cœur du réseau. Cet ensemble complexe est indispensable à l’identité, à l’expression, au savoir, aux connaissances, à la réflexion et même à la projection de chacun dans le futur. La mémoire de travail La mémoire de travail (ou mémoire à court terme) est en fait la mémoire du présent. 7, le nombre magique Le chiffre 7 serait le "nombre magique" de la mémoire de travail. La mémoire sémantique La mémoire épisodique

Intelligences Accueil > Dossiers et articles > Intelligences Qu'il est difficile de définir de manière univoque ce qu'est l'intelligence ! La notion a en effet beaucoup évolué avec le temps. Retenons pourtant deux éléments essentiels : c'est grâce à notre intelligence que l'on comprend, puis que l'on produit quelque chose à partir de ce que l'on a compris. Mais comprendre quoi ? Personne n'est expert dans tous les domaines et personne n'est en capacité de tout comprendre. Mesurer l'intelligence conceptuelle abstraite s'est vite révélé insuffisant pour rendre compte de l'incroyable palette de talents et d'habiletés mises en oeuvre par l'individu au jour le jour. L'intelligence se cultive seul ou à plusieurs. Illustration : agsandrew, Shutterstock.com Sonder notre cerveau pour prédire nos achats 6 avril 2014 Le neuromarketing apparaît comme la nouvelle approche à la mode pour entrer au plus profond de l'esprit des consommateurs... et leur faire acheter toujours plus de produits et services. 5 avril 2014

Un centre dédié aux sciences de l'apprentissage est créé à la Faculté des sciences de l'éducation Un centre dédié aux sciences de l'apprentissage est créé à la Faculté des sciences de l'éducation. Les sciences de l'apprentissage abordent l'apprentissage à travers le concept d'architecture cognitive.Photo: Istock L'antenne uqamienne du Centre for the Study of Learning and Performance (CSLP), fondé en 1988 à l'Université Concordia, a été officiellement reconnue par le Conseil d'administration de l'UQAM, qui lui a accordé le statut de centre institutionnel de recherche et de création le 1er juin dernier. Financé par le Fonds de recherche Société et culture du Québec (FRQSC) pour une durée minimale de trois ans, le nouveau Centre pour les sciences de l'apprentissage (CSLP UQAM) regroupe une douzaine de chercheurs provenant des quatre départements de la Faculté des sciences de l'éducation – didactique, didactique des langues, éducation et formation spécialisées, éducation et pédagogie. Cognition et environnements d'apprentissage Julien Mercier. Collaborateurs et partenaires du CSLP

Neurosciences et pédagogie - Publications pédagogiques - Les sites web conseillés par Instit.info La gymnastique du cerveau D'une manière pratique, les applications de la neuropédagogie mènent vers des évolutions dans la manière d'enseigner et d'apprendre et vise in fine à "stimuler de nouvelles zones du cerveau, à créer de nouvelles connexions pour faciliter les apprentissages". Dans un reportage de la chaîne Euronews sur le sujet, on se rend bien compte que cela n'a rien de sorcier. Si vous utilisez de temps à autre la vidéo en classe, si vous enseignez par associations d'idées ou de concepts, si vous faites faire des cartes mentales à vos apprenants, ... vous êtes probablement un praticien de la neuropédagogie qui s'ignore. Mais la neuropédagogie ne s'arrête pas là. Elle tire tout son potentiel des résultats de recherche des neurosciences qui bien évidemment lui offre de nombreuses pistes d'intervention. On sait par exemple que le cerveau retient sept fois plus d'informations si on les catégorise. En toile de fond, l'apprentissage La motivation du cerveau est stimulée par l'émotion.

3 effets qui affectent la mémorisation Connaître ces 3 effets permet de les utiliser à notre avantage pour mieux mémoriser Les 3 effets principaux qui affectent notre capacité de mémorisation sont : l’effet de primauté On retient surtout les premiers éléments d’un tout. Ces premiers éléments peuvent facilement être passés de la mémoire à court terme à la mémoire à long terme. l’effet de récence On retient mieux les derniers éléments d’un tout. l’effet de Von Restorff On retient plus facilement les faits qui sortent de l’ordinaire, à tel point que ces faits masquent les faits plus ordinaires. Nous nous souvenons de ce qui sort de l’ordinaire car cela est perçu comme une menace pour notre survie. (une vidéo de Marco Bertolini) Pour aller plus loin dans la maitrise des techniques de mémorisation : Un livre que je vous conseille pour mieux comprendre et utiliser la mémoire dans les études : Commander Objectif mémoire : Au lycée et à l’université, (re)trouvez le goût de travailler avec plaisir et efficacité sur Amazon. Sur le même thème

MÉMOIRE: Le réseau du cerveau qui reconnaît le nouveau du déjà vu Actualité publiée hier Trends in Cognitive Sciences Ce réseau découvert par une équipe de l’Université Washington à St. Louis est largement impliqué dans la mémoire et l’apprentissage. En pratique, ce réseau est celui qui intervient, par exemple, pour nous aider à reconnaître un visage familier. L’étude réunit différentes preuves issues de plusieurs études en neuro-imagerie pour démontrer l'existence de ce réseau jusqu'alors inconnu, au rôle clé dans le processus de mémorisation. Adrian Gilmore, auteur principal de l'étude et chercheur à l'Université de Washington explique qu’un stimulus nouveau est associé à une diminution marquée de l'activité du réseau, un stimulus familier, à une augmentation marquée de l'activité. Plus l’activité du réseau PMN est élevée, plus familière est l'information : L’analyse du réseau par neuro-imagerie peut même prédire la façon dont une information sera enregistrée dans la mémoire et disponible, ensuite, pour un rappel. Réagissez à cette actu sur Santé Blog

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