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Des GES dans mon assiette

Des GES dans mon assiette
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La Politique agricole commune (PAC) L'agriculture est incontestablement le secteur économique dans lequel l'intégration communautaire a été la plus poussée. La PAC représente environ 40% du budget de l'Union européenne. Figurant dès 1957 dans le traité de Rome, la Politique Agricole Commune (PAC) n'a été mise en place qu'en 1962 et reflète, à cette époque, la nécessité d'augmenter la production alimentaire dans une Europe dévastée par des années de guerre. Très rapidement, elle atteint l'objectif principal qui lui était assigné : garantir l'autosuffisance alimentaire de la Communauté européenne. La PAC a en effet permis d'augmenter très significativement le niveau de la production agricole en Europe grâce à la mise en place d'outils garantissant le revenu des agriculteurs, accompagnant l'exode rural et favorisant la modernisation des exploitations. Cependant, des déséquilibres sont rapidement apparus et se sont accentués avec le temps.

Education au développement durable | Education Ces pages ne sont plus mises à jour. Veuillez consulter notre nouveau site web à fr.unesco.org/themes/éducation-au-développement-durable L'Éducation au développement durable permet à chacun d'acquérir les connaissances, les compétences, les attitudes et les valeurs nécessaires pour bâtir un avenir durable. L'Éducation au développement durable consiste à intégrer dans l'enseignement et l'apprentissage les thèmes clés du développement durable, comme le changement climatique, la prévention des catastrophes, la biodiversité, la réduction de la pauvreté ou la consommation durable. Elle implique l'adoption de méthodes pédagogiques participatives visant à motiver et autonomiser les apprenants, pour qu'ils modifient leurs comportements et deviennent les acteurs du développement durable. L'Éducation au développement durable implique un changement en profondeur de l'enseignement tel qu'il est généralement pratiqué aujourd'hui.

La viande dans l'accord de libre-échange entre UE et USA: les différences de normes d'élevage que craignent les éleveurs ALIMENTATION - À cinq jours des élections européennes, Interbev, l'interprofessionnelle du bétail et des viandes françaises, tire la sonnette d'alarme. L'accord de libre-échange entre l'Union européenne et les Etats-Unis (TAFTA), qui a commencé sa cinquième table ronde le lundi 19 mai inquiète tout particulièrement les éleveurs de viande bovine. Que craignent-ils? L'importation, chaque année, en Europe, de 300 à 600 000 tonnes de bœuf, soit entre 4 et 8%, de la production européenne, en provenance du Canada, des Etats-Unis, et du Brésil, puisqu'un accord doit être signé simultanément entre les Etats membres du Mercosur et de l'Europe. Lire aussi:» Tout savoir sur le traité de libre-échange transatlantique» BLOG. Quelles sont exactement les différences entre l'élevage en Amérique et en Europe? Sanitaire: pas de traçabilité, trop de farines animales Les hormones, ainsi que les antibiotiques utilisés comme facteurs de croissance sont largement utilisés aux Etats-Unis et au Brésil.

L'éducation au développement durable L'École s'engage dans la dynamique des Objectifs de développement durable - Agenda 2030 Depuis la publication des 17 objectifs de développement durable (ODD), dont "Une éducation de qualité pour tous », par les Nations Unies en 2015, ces derniers font l'objet d'appropriations nationales sous la forme des "Agendas 2030". Les ODD font l'objet d'une dynamique d'appropriation forte et rapide par les collectivités territoriales, le monde de l'entreprise et les associations. Les ODD confèrent une nouvelle dimension à l'éducation au développement durable, et un sens planétaire à la mission propre à l'Éducation nationale. Découvrir les 17 objectifs de développement durable Le développement durable est adopté par le ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche dans son acception classique comme étant une démarche de rétablissement d'équilibres dynamiques entre l'environnement, le monde social, l'économie et la culture. Une mise en œuvre progressive

Le modèle agricole intensif breton est à bout de souffle Les abattoirs Gad, Doux, Tilly-Sabco sont les victimes les plus visibles de la crise qui secoue le secteur. Toutes ont en commun d'être nées au moment où la Bretagne a misé sur l'agriculture intensive. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Laurence Girard Samedi 2 novembre, des représentants des entreprises Tilly-Sabco, Doux ou Gad manifesteront dans les rues de Quimper. La fermeture de l'abattoir Gad de Lampaul-Guimiliau (Finistère), du siège finistérien de cette entreprise et d'un autre site à Saint-Nazaire vont se traduire par près de 900 licenciements. >> Lire la synthèse : "Nouvelles saignées dans l'agroalimentaire breton" Ces trois entreprises ont en commun d'être nées au moment où la Bretagne a misé sur l'agriculture intensive. Bâtiments d'élevage, abattoirs, usines d'alimentation animale et entreprises agroalimentaires se sont déployés dans cette région qui représente 7 % du territoire national. Le paquebot de l'agroalimentaire breton a continué à voguer sur sa lancée.

Alimentation : trop de viande nuit à la planète Déboisement, intensification de l'agriculture, émissions de gaz à effet de serre…, le boom de la demande mondiale de viande n'est pas soutenable. En un demi-siècle, la consommation mondiale de viande a connu un développement fulgurant, passant de 23 kg à 42 kg par an et par habitant, en moyenne. La légère baisse enregistrée dans les pays industrialisés, Etats-Unis en tête, où elle atteint encore des sommets, n'affectera pas la tendance globale, juge l'Organisation des Nations unies pour l'agriculture et l'alimentation (FAO), qui anticipe une consommation moyenne de 46 kg dans dix ans. En raison de la généralisation, principalement dans les pays émergents, des régimes alimentaires riches en protéines animales que connaissent déjà les pays riches. Cette croissance, qui repose sur une intensification de la production agricole, est lourde de menaces pour l'environnement.

La Roumanie est en passe de redevenir le grenier de l’Europe Seule son élocution rapide trahit son origine italienne, car Sebastiano Stoppa parle couramment le roumain. Il a quitté la région de Venise, en 2011, pour s’installer en Roumanie où il dirige, à 32 ans, une ferme de 11000 hectares. Dans le village de Dudesti, situé dans l’ouest de la Roumanie, il est comme un poisson dans l’eau et ne regrette pas d’avoir quitté sa douce Italie. «Tout a été déjà fait dans mon pays ; ici tout est à refaire, affirme-t-il. On peut faire de bonnes affaires en Roumanie, mais ce pays offre plus que du travail. La différence avec l’Europe de l’Ouest, où la course pour l’argent ne laisse plus de temps pour autre chose, c’est qu’ici on a un autre rythme. La ferme italienne Emiliana West Rom produit tous les ans des dizaines de milliers de tonnes de céréales vendues en Roumanie et dans toute l’Europe.

La « ferme des mille vaches » : retour sur trois ans de conflits L'exploitation de cette ferme controversée a commencé en septembre. Retour sur trois ans d'opposition à un projet en rupture totale avec le modèle français d'élevage familial. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric La Confédération paysanne a confirmé, lundi 3 novembre, faire appel du jugement de neuf militants condamnés à des amendes et à des peines de prison avec sursis pour avoir endommagé la ferme des 1 000 vaches dans la Somme. L'exploitation de cette ferme controversée a commencé en septembre. Retour sur trois ans d'opposition à un projet en rupture totale avec le modèle français d'élevage familial. L'entrepreneur Michel Ramery lance le projet de ferme géante Le projet de la ferme des mille vaches est lancé par Michel Ramery, un entrepreneur de 64 ans qui, après avoir créé dans les années 1970 son entreprise de matériel agricole, règne aujourd'hui sur le secteur du BTP dans le Nord-Pas-de-Calais. Lire : Il était une fois... la ferme des mille vaches Le procès

Plongée dans l’univers sordide des élevages en batterie de poules pondeuses Le long d'une allée plongée dans la pénombre, c'est une succession de cages, sur plusieurs niveaux et à perte de vue. A l'intérieur des enclos grillagés, des poules, souvent déplumées, se bousculent dans des espaces exigus, qui surplombent de quelques centimètres seulement des amas de fientes. Mais le pire, ce sont peut-être ces cadavres en décomposition qui gisent au milieu des autres gallinacées. Les images proviennent d'une enquête menée entre février et juin dans trois élevages en batterie situés dans le Morbihan, en Bretagne. "Les conditions d’élevage que nous avons observées contreviennent aux besoins élémentaires des animaux et enfreignent la réglementation européenne : la plupart des cages présentent des nids non conformes et ne sont pas dotées de grattoirs", dénonce Sébastien Arsac, chargé de campagne de L214. Quant à la sensible question de la densité des cages, impossible de déterminer si la réglementation est respectée. Audrey Garric Photos : L214

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