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There Are Other Alternatives

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Notre système économique est incompatible avec qui NOUS sommes source : Hier soir dans le cadre du colloque sur l’évolution de la Conscience, j’assistais à ma deuxième rencontre avec Erwin Laszlo, fondateur du Club de Budapest qui était en dialogue avec Andrew Cohen. Suite à une incroyable déclaration appelée sentiment de l’Akasha “comment savoir si ma conscience évolue“, Erwin Laszlo nous a réuni par les mots, par la force de leur sens, par la vérité qu’ils transportaient. Un réveil, un éveil, une prise de conscience collective s’il en était besoin, que nous ne sommes qu’un, voici les premières lignes : I am part of the world. Je suis partie intégrante du monde. Je suis partie intégrante de la nature et la nature fait partie de moi. Je suis partie intégrante de la société et la société fait partie de moi. L’héroïsme et le patriotisme, à partir du moment où ils s’affirment érigent des barrières entre moi et moi.

Bien avant le RES belge, le WIR suisse « 1001 monnaies Quand Walther Smets a inventé le RES en 1995, il ne connaissait pas les systèmes de monnaies complémentaires inter-PME qui existaient dans le monde, et notamment en Suisse. En effet, au pays helvète, à Bâle , en 1934, 16 commerçants s’étaient vu refuser un prêt bancaire – on était alors en plein dans les contrecoups de la crise de 29. Ils se réunirent, et faisant le constat qu’ils étaient tous liés commercialement les uns par rapport aux autres, ils décidèrent de se mettre en réseau et d’échanger ensemble une partie de leurs biens et services. Ils ont pour cela créé leur propre monnaie, le « WIR », valable uniquement entre eux, et ont pu ainsi générer de l’activité dans ce réseau en utilisant cette monnaie. Aujourd’hui, le WIR s’est institutionnalisé en banque coopérative, et regroupe plus de 60 000 entreprises Suisse, soit 1/4 de l’économie du pays (chiffre à vérifier).

TAOA L’arbitrage international, une pratique scandaleuse méconnue 22 mars 2014 Article en PDF : De quoi s’agit t-il exactement, le terme même d’arbitrage n’étant guère évocateur en dehors du domaine sportif ? Il s’agit d’un cadre juridique spécifique qui permet aux entreprises multinationales d’attaquer via des traités sur l’investissement un pays qui aurait pris ou qui souhaiterait prendre des mesures sociales ou environnementales pour protéger sa population. Les multinationales peuvent, elles, estimer que cela va porter préjudice à leurs bénéfices et réclamer devant des tribunaux d’arbitrage des indemnisations considérables. Cet article se propose de lever le voile sur les ravages causés par l’industrie juridique de l’arbitrage. En effet, si il est compréhensible d’avoir des instances chargées de régler des litiges, la critique de l’arbitrage doit se porter sur le système d’arbitrage en tant que tel. Une explosion du nombre de cas Une très lucrative industrie "Les avocats d’arbitrage ne se contentent pas de chasser les ambulances. Du renfort de la menace

From the Meatrix to the Moneytrix 7 Flares07000----×7 Flares I am now reaching the last part of my long 6 weeks trip in the West cost of the US. First week was Burning Man, second week was Boulder, Colorado (that was also burning due to forest fires), then the Bay Area (Sept. 14-30), then L.A. Here is a quick report of how the situation is evolving. I had 2 meetings with Louis Fox, founder of Free Range studios, and creator of worldwide viral hits such as the Meatrix and Story of Stuff. Tomorrow we have a whole working session with Rick Lukens. Next week I am meeting with different people in the movie industry in Hollywood. I will also meet with an important player in the game industry, as the game industry has the best capacities to provide fun and powerful user interfaces. There is also the ongoing work with Barbara Marx-Hubbard who is also part of the team. I am also talking to other potential conscious financial supporters, both on the philanthropy and investors’ sides. Any feedback and advice be very precious.

REFEDD - Réseau français des étudiants pour le développement durable Et si on ouvrait des magasins où tout est gratuit ? Eviter le gaspillage et les déchets en redonnant une seconde vie à des objets encore en bon état, telle est l’idée qui a pris corps au Magasin pour rien, à Mulhouse, en Alsace. « Ali Baba et les quarante voleurs », de Jacques Becker, avec Fernandel, 1954 Dans cette caverne d’Ali Baba, n’importe quel citoyen, pauvre ou riche, peut prendre trois articles de son choix et repartir… sans rien payer ! La gratuité, une idée neuve en Europe, mise en pratique dans ce lieu unique en France. L’idée C’est en visitant le quartier alternatif allemand de Fribourg que Roger Winterhalter, ancien maire écolo de Lutterbach (Haut-Rhin), a découvert ce concept de Magasin pour rien, « Umsonstladen », dans la langue de Goethe : « L’idée de faire profiter des objets que l’on stocke dans nos caves ou greniers ceux qui en ont besoin, plutôt que de jeter, me semblait vraiment pertinente dans notre société de surconsommation. Iman, en service civique, et Mireille, dans le Magasin pour rien à Mulhouse (Simone Sonntag)

Etienne Hayem (zoupic)

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