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Jacques Séguéla : "A la valeur d'usage et à la valeur d'image, on a ajouté la valeur sociale". Interview.

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La veille, une approche globale et stratégique Selon BADOT et COVA [1], le pouvoir s’est déplacé, glissant de l’accès des matières premières à l’accès aux sources d’information et à l’information. Cette nouvelle nécessité explique donc que l’une des conditions de survie de la firme est la veille quelle que soit son domaine d’étude. Pour BURGAUD, la veille est « une gestion de l’information qui se développe sur deux axes : spéculatif (recherche et recueil de l’information) et projectif (évaluation et projection des résultats éventuels) et qui concerne l’ensemble de l’entreprise aussi bien les fonctions technologiques que financières et commerciales. » L’AFNOR (norme XP X50-053, avril 1988) présente la veille comme une activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance de l’environnement technologique, commercial…pour anticiper les évolutions. Historiquement ce sont les grands groupes industriels qui ont été les premiers à mettre en œuvre une démarche de veille. 1. Les typologies de veilles Le cycle de la veille

Le contenu divertissant augmente la valeur perçue d'une marque Les consommateurs sont demandeurs de contenu ludique fourni par une marque et reconnaissent sa valeur. Ils seraient même plus disposés à vouloir en savoir plus sur elle. Et ce, notamment chez les jeunes adultes. Un tiers des Américains reconnaissent la valeur, dans la consommation, du contenu de divertissement fourni par une marque et "brandé" (34%). D'autant plus lorsqu'ils sont de jeunes adultes, âgés de 18 à 34 ans, puisque cette part atteint 52%, révèle une étude de Edelman sur la valeur perçue des marques aux Etats-Unis. Ce contenu doit aussi être aisément accessible : 56% des jeunes adultes affirment vouloir en savoir plus sur une marque qui fournit du contenu gratuit. Des demandes claires De la même façon, 31% des consommateurs souhaitent du contenu vidéo en ligne gratuit contre 39% des jeunes adultes et 20% du contenu auquel il n'aurait eu accès sans la marque contre 31% chez les 18-34 ans. Une histoire de confiance

La première carte corporelle des émotions Des chercheurs finlandais ont détaillé les effets physiques du bonheur, de la peur, de la tristesse et d'autres sentiments. «La peur au ventre», «sentir monter la colère», «la tristesse me serre le cœur». La langue française attribue depuis des siècles une manifestation physique à chacune de nos émotions, et les recherches scientifiques menées ces vingt dernières années ont montré que cela n'avait rien d'une croyance populaire. Dernière preuve en date: la «carte corporelle des émotions » établie par des chercheurs finlandais. Leurs travaux, publiés fin décembre dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences américaine (PNAS), confirment notamment que les principales émotions humaines que sont la peur, la tristesse ou le bonheur sont ressenties physiquement de la même façon pour tous, quelle que soit la culture d'origine de l'individu. Pour le spécialiste, cette topographie inédite pourrait faire avancer la recherche dans la compréhension des mécanismes émotionnels encore mal connus.

4 étapes pour remettre vos clients au centre de votre stratégie commerciale Si, aujourd'hui, toutes les entreprises jurent que les clients sont revenus au centre de leur stratégie et de leur organisation, c'est pourtant loin d'être une réalité universelle. EBG avec Velvet Consulting a réalisé un livre blanc sur le sujet, afin d'adopter le changement en quatre étapes. 1. Définir qui sont ses clients C'est évidemment la première étape à suivre afin de révolutionner l'expérience client. Air France a ainsi créé une direction Customer Insights and Analytics, qui recueille l'avis des clients sur le site, sur l'application et même en aéroport grâce aux tablettes dont est équipée une partie du personnel. Les conclusions du livre blanc réalisé par EBG avec Velvet Consulting, Repenser sa stratégie customer centric 2018-19, mettent également en avant la nécessité d'étendre sa conscience du client. Enfin, définir ses clients passe aussi par savoir qui sont ses non-clients, et pourquoi. 2. La pédagogie peut aussi viser des prescripteurs plus que des consommateurs directs.

Etude Crédoc : les habitudes de consommation des Français en matière de vente à distance et sur internet Communiqué de presse Lille, le 23 octobre 2012 A l’occasion du salon VAD e-commerce qui se tient à Lille (du 23 au 25 octobre 2012), la Fevad, La Poste, Reed Exhibitions et la CCI Grand Lille ont fait réaliser par le Crédoc une étude sur les Français qui achètent à distance. L’intérêt de cette étude, réalisée tous les deux ans depuis 2004, réside notamment dans le fait qu’elle porte sur l’ensemble des Français et non uniquement sur les internautes. > Voir la présentation Internet, catalogue, téléphone : 69% des Français achètent à distance Dans un contexte de crise persistante, alors que le pouvoir d’achat par ménage risque de baisser pour la 3ème année consécutive, le nombre de Français qui achètent à distance ne fléchit pas. 69% des Français ont acheté à distance au cours des 12 derniers mois soit 33,8 millions de personnes. La part des Français achetant en ligne continue de croître alors que le nombre d’acheteurs sur internet mobile a doublé en deux ans Méthodologie : Contacts Presse :

sans titre Dans le cadre des techniques secrètes pour faire craquer le consommateur, une affirmation remet en cause une grande partie de l’enseignement en économie et en marketing tel qu’il est encore largement pratiqué (et appliqué) de nos jours. Rédigé par Jean-Marie, le 18 Jan 2020, à 9 h 45 min On a longtemps fait le pari, dans les départements marketing et les écoles, que le consommateur exerce ses choix en analysant rationnellement, le mix produit, c’est-à-dire l’offre qu’on lui propose : il n’en est rien ! Non le consommateur n’agit pas rationnellement ! Au fil du temps, les traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de discussion ont montré leur limite. Régulièrement des panels de consommateurs répondent à des enquêtes pour les marques © Ken stocker En 2010, Nestlé lançait à grand renfort de publicité une nouvelle ligne de boisson orientée santé et bien-être que des personnes testées avaient dit vouloir acheter. Le comportement du consommateur « Homo oeconomicus »

Le « brand content », nouveau Graal ou effet de mode ? Il est d'usage d'attribuer l'invention du modèle à Michelin ; le manufacturier français qui, au début du siècle dernier, institua ses fameux guides recensant les hôtels, restaurants et autre sites pittoresques incontournables, histoire d'inciter les automobilistes en devenir à s’équiper, à rouler et in fine, à user les pneus du Bibendum. Michelin a donc fait du « brand content » comme Monsieur Jourdain faisait de la prose, sans le nommer. Sous sa forme actuelle anglo-saxonne, le concept est nettement plus récent et ce n’est qu’en 2010 que l’Udecam (Union des agences media) a créé une commission sur ce sujet, l’institutionnalisant en quelque sorte dans l’univers du marketing et de la communication. Un contenu à forte valeur ajoutée Les définitions du "brand content" varient autant que le nombre et la diversité des acteurs qui s’emparent du sujet. Les consommateurs prennent leurs distances avec les marques Vivre une relation, partager son expérience

RPF

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