Les ''As'' oubliés de 14-18. Histoire de l'aviation française de la 1ère guerre mondiale
Complémentaires avec le site, Les Cahiers des As Oubliés de 14-18 paraissent quatre fois par an. [Le concours d'aviation militaire de 1911] [1912-1913: "Donnez des aéroplanes à la France"] [L'aviation aux manoeuvres, 1910-1913] [1914: l'aviation entre en guerre] [Célestin Pégoud: Roi de l'air et Premier As] [Hiver 1914: Voler entre dunes et tranchées] [Bombarder et chasser: l'impossible rupture] [De l'Etoile à la Cigogne: l'escadrille 103] Cahier N° 8: De l'Etoile à la Cigogne, l'escadrille 103. I. Escadrille d’observation au début de la guerre… • Successivement appelée BR 17, VB 3, VB 103, N 103, Spa 103 l’escadrille va évoluer de l’observation au bombardement et à la chasse en même temps qu’elle change de type d’avions. Les premiers Breguet en 1914 sont ceux du type du Concours militaire de 1911 et ne donnent pas vraiment satisfaction à des pilotes qui les conduisent dans des missions de réglage d’artillerie et d’observation jusqu’en octobre 1914.
Quand la Grande Guerre faisait vendre
La guerre fait vendre. Ce ne sont pas les marchands d'armes qui le démentiront et encore moins leurs sous-traitants en tous genres. Celle de 1914-1918 fut une grande boucherie racontée en détail par les lettres des rescapés et les écrivains. Elle fut également, pendant quatre années, une opportunité pour la "réclame" qui, en dépit des circonstances, continua, tant que faire se pouvait, à vendre du rêve en jouant sur la fibre patriotique.
Les limites de la brutalisation
Notes Cette interview a été diffusée sur la troisième chaîne dans le cadre d’une émission sur les monuments aux morts, le 10 novembre 1977. L’édition de Sous Verdun, Paris, Hachette, 1916, raconte brièvement l’épisode. Les lignes sont rompues, et les hommes battent en retraite dans la nuit. « Pourtant, avant de rallier les chasseurs, j’ai rattrapé encore trois fantassins allemands isolés.
Documents clefs
Email Home / Non-English Resources / Français / Documents clefs Documents clefs Un certain nombre de documents clefs en francais sont mis à votre disposition sur cette page. On trouvera d’autres publications et instruments dans la rubrique Outils et Ressources du site Web du Pacte Mondial. Le pacte mondial a mis à votre disposition un certain nombre de pages traduites en français ainsi que des documents clefs que vous pouvez télécharger.
Quand les femmes montaient au front
Organisation autonome en apparence, la Croix-Rouge allemande est en vérité inféodée à la Wehrmacht dès 1937 : en cas de guerre, les infirmières peuvent être mobilisées au même titre que les soldats. Après la campagne de Pologne en 1939, où la logistique médicale s'est avérée catastrophique – 300 soignantes pour 30 000 blessés ! –, la Croix-Rouge recrute et forme des milliers de jeunes filles fières de pouvoir servir le Führer et leur pays. Mais une fois au front, notamment à l'Est, les infirmières déchantent vite. Confrontées aux exécutions arbitraires de civils, à la liquidation des ghettos et à la déportation des juifs, mais aussi au manque de moyens et de matériel, 200 000 femmes furent mobilisées durant la Seconde Guerre mondiale, luttant vaillamment, travaillant parfois soixante-douze heures d'affilée. Témoignages poignants de sept d'entre elles.
dossiers d'histoire - 1914-1918 : la grande guerre vue des commissions du Sénat
Les campagnes d'engagement volontaire de soldats de l'Afrique occidentale française, renforcées à partir de 1910 par le colonel MANGIN, ne suffisent plus à combler les pertes sur le front cinq ans plus tard. Le 28 septembre 1915, Henry BERENGER, sénateur de la Guadeloupe, présente à la commission un rapport sur une proposition de loi tendant à soumettre aux obligations militaires les Sénégalais des communes de plein exercice. Le recrutement permettra de « mettre fin à un état des choses qui mécontentait fort les noirs citoyens français du Sénégal ; ceux-ci ne se voyant pas soumis à la loi militaire française en concluaient que les blancs ne voulaient pas qu'ils fussent soldats avec eux ».
Au mémorial de Verdun, revivre la bataille au son du canon
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Antoine Flandrin (à Fleury-devant-Douaumont (Meuse) Le mémorial de Verdun rouvre ses portes le 21 février, cent ans après le début de la bataille la plus inhumaine de la première guerre mondiale. Pendant trois cents jours, Français et Allemands s’affrontèrent sous un déluge d’obus, causant 300 000 morts pour un résultat militaire dérisoire. Marqués à vie, les anciens combattants français firent construire, pour le cinquantenaire de la bataille, en 1967, un mémorial sur l’emplacement de l’ancienne gare de Fleury-devant-Douaumont, au centre même du champ de bataille. Après la disparition du dernier « poilu » en 2008, une réflexion fut engagée pour moderniser ce bâtiment austère qui ne parlait plus aux visiteurs d’aujourd’hui, davantage sensibles à l’horreur de la mort de masse qu’à la ferveur patriotique.
Cérémonies à Melle. Un hommage aux Fusiliers marins morts en Belgique
Sept cents fusiliers marins français, dont de nombreux Bretons, sont tombés à Melle, en Belgique, dans leur combat pour contrer l'offensive allemande en octobre et novembre 1914. Deux autres soldats sont décédés plus tard, ce qui porte à 702 le nombre de morts sur les terres de Flandres. Un hommage, très solennel, leur a été rendu hier dans la commune du nord du plat pays.« Leur patrie et la nôtre »« On ne pourrait résumer leur sacrifice en mots, a déclaré le maire de Melle, Dirk de Maeseneer. Nous avons un profond respect pour tous ces fusiliers marins. » La cérémonie, présidée par le représentant du roi de Belgique et l'ambassadeur de France, s'est déroulée devant le monument aux morts entièrement dédiés aux soldats français.