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Vanity Fair

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Survivre à l'absence de galanterie (ça va plutôt bien) Sur l'échelle Rotschild de la galanterie qui va de 10 : mec qui s'aplatit devant toi pour que tu évites de salir tes chaussures, à 0 : mec qui n'est pas galant, mon Danois personnel est à -10. C'est un stade jamais vu ailleurs qu'en Scandinavie, où l'éducation a été tellement débarrassée de préjugés qu'il ne viendrait à l'esprit de personne de tenir une porte. Ni pour une femme, ni pour une personne âgée, ni pour un chaton à poils longs. C’est Darwin appliqué. Si tu es trop faible pour ouvrir une porte alors il est temps de t’immoler dans un bateau viking.

Les cellules du cancer s'alimentent de... Un des hôpitaux les plus reconnus au monde change sa vision au sujet du cancer.’hôpital John’s Hopkins Hospital est un hôpital universitaire situé à Baltimore dans l’État du Maryland aux États-Unis.Fondé grâce à un don de John’s Hopkins, il est aujourd’hui un des hôpitaux les plus reconnus au monde et est classé pour la 17e année consécutive en première place du classement des meilleurs hôpitaux des États-Unis. Après de nombreuses années à dire aux gens que la chimiothérapie est l’unique manière de traiter et éliminer le cancer, l’hôpital John Hopkins commence à dire aux gens qu’il y a d’autres alternativeque la chimio: Une manière efficace de combattre le cancer est de ne pas donner à manger aux cellules cancéreuses avec ces aliments dont elles ont besoin pour se multiplier. a.

Ces études à la con qui nous prennent pour des connes Les dangers du neurosexisme à travers le portrait-robot de «Gwendoline», LA femme telle qu'elle est décrite par des pseudo-études scientifiques. Mi-janvier, le psychologue évolutionnaire, Jesse Bering, a écrit un article pour Slate.com, où il présentait quatre manières dont les femmes avaient évolué pour se protéger des viols lorsqu’elles ovulaient. Son article a déclenché de violentes critiques, au sein de Slate et sur des sites scientifiques notamment.

Et si les rôles des hommes et des femmes étaient inversés dans la pub ? La réclame tombe parfois, trop souvent, dans des travers sexistes. Les femmes sont soumises et un peu bêtes, les hommes virils et dominateurs. Trois étudiants de l'université canadienne de Saskatchewan, Sarah Zelinski, Kayla Hatzel et Dylan Lambi-Raine, se sont mis en tête pour un cours sur le genre d'inverser les stéréotypes des publicités dans une vidéo mise en ligne sur YouTube (et déjà vue plus de 800 000 fois depuis début avril). En introduction, ils compilent une sélection de campagnes anciennes et récentes où les femmes ne sont que des objets dédiés au plaisir des hommes. actu Delpérée a été entendu dans l’affaire Kazakhgate, sa présidence chahutée politique Francis Delpérée (CDH) doit présider la commission d’enquête parlementaire sur le kazakhgate, qui se réunit jeudi pour la première fois. Mis en ligne Uccle contemple le déclin de De Decker Sondage: élisez la personnalité belge de l’année belgique Parmi les 50 personnalités suivantes, élisez celle qui, selon vous, peut prétendre au statut de Belge de l’année. Mis en ligne 10 ans de prison pour une dispute au Quick hainaut Le tribunal correctionnel de Charleroi a condamné Cezig K. à 10 ans de prison ferme pour une tentative de meurtre survenue au Quick de Châtelineau (Châtelet) en 2015. Mis en ligne Publifin, l’affaire qui «jette le discrédit sur l’ensemble du monde communal wallon» politique Cet article du Soir+ vous est proposé gratuitement à la lecture. L’intercommunale Publifin aurait grassement payé 24 élus locaux pour des contributions fort dérisoires.

ZONES La série brosse en particulier un tableau saisissant de la condition des femmes. Betty Draper, la mère au foyer, élevée dans le souci exclusif de son apparence et de sa beauté, qui a tout pour être heureuse selon les critères de son milieu, mais qui crève de solitude et d’ennui ; Peggy Olson, la jeune rédactrice volontaire – seule femme à occuper ce poste –, aux prises avec le dragon ultra-catholique qui lui sert de mère, furieuse à la fois de subir les mains baladeuses de ses collègues et d’être jugée trop menaçante pour correspondre à leur idéal amoureux ; Joan Holloway, la plantureuse secrétaire rousse, qui tente de faire une force de son statut d’objet sexuel, sans que cela la mette à l’abri de la frustration et de la déception : toutes, si différentes soient-elles, se débattent dans les limites que leur assigne la société américaine de cette époque. Et, pourtant, on peut se demander si ce n’est pas cela, précisément, qui est en train de changer dans les mentalités.

Encore féministes ! texte paru dans Alternatives non-violentes, n°155, « La domination masculine », 2e trim. 2010 Le féminisme, une révolution non-violente Entretien avec Florence MONTREYNAUD Féministe, historienne, auteure de nombreux ouvrages, dont : Dictionnaire des citations, Paris, Nathan, 1989 ; Le XXe Siècle des femmes, Paris, Nathan, 2001; Amours à vendre. Les dessous de la prostitution, Paris, Glénat, 1993 ; Bienvenue dans la meute, Paris, La Découverte, 2001 ; Appeler une chatte. Mots et plaisirs du sexe, Paris, coll. A chacune son féminisme Elisabeth Badinter est une féministe qui excite et énerve les autres. Pas un de ses opus qui ne fasse polémique. Déjà dans Fausse route, publié en 2003 chez Odile Jacob elle reprochait au féminisme d’avoir inventé la victimisation de la femme, provoquant aussitôt un tollé. Elle récidive avec le Conflit, paru le mois dernier chez Flammarion, et qui analyse les nouvelles normes tissées autour de la figure de la «bonne mère».

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