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Stop Watching Us

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Accès du FBI aux serveurs de Google, Facebook et Apple: un nouveau scandale orwellien The FBI is watching you. Ce ne serait pas la première fois que la célèbre fiction de George Orwell collerait à la réalité. Les révélations du Guardian, ce vendredi, lèvent le voile sur une nouvelle facette de l’espionnage d’Etat made in America. D’après le quotidien britannique, le FBI et l’Agence nationale de sécurité américaine ont directement accès aux serveurs centraux de neufs grosses entreprises américaines via un programme : le PRISM. L’administration américaine aurait ainsi la possibilité de saisir “des extraits audio, des vidéos, des photos, des extraits de conversations, des mails, ou encore des mots de passe permettant de traquer les activités de cibles étrangères”, d’après un document secret que s’est procuré cette fois-ci le Washington Post. Grâce au PRISM, la NSA peut donc obtenir “des communications ciblées, sans avoir à les demander aux fournisseurs de services et sans passer par les tribunaux”, explique le Guardian. Google, Facebook et Apple font profil bas

« Independence Day » anti-NSA : l’Amérique se réveille ? Des millions d’Américains se réunissent ce jeudi pour fêter, comme chaque année, l’Independence Day. Mais ce 4 juillet 2013 devrait avoir une tonalité originale : dans une centaine de villes, des manifestations doivent avoir lieu, non pour communier dans la liesse patriotique, mais pour protester contre la surveillance généralisée révélée par l’affaire Prism. Appel à la manifestation le 4 juillet sur le site de Restorethefourth.net La date n’est pas anodine : le quatrième jour de juillet pour défendre le quatrième amendement, celui qui affirme que « le droit des citoyens d’être garantis dans leurs personne, domicile, papiers et effets, contre les perquisitions et saisies non motivées, ne sera pas violé... ». Les citoyens américains se mobilisent L’Amérique finirait-elle par réagir au système intrusif mis en place par l’administration Bush et poursuivi par Obama ? Wordpress, Reddit et 550 000 signataires Une initiative qui peine à mobiliser Deux manifestations prévues en Europe

Baromètre Hadopi : le streaming devient la principale source de consommation de biens culturels 01net le 26/06/13 à 06h00 Alors que l'avenir de la Hadopi est remise en question depuis la publication du rapport Lescure, les équipes de la haute administration continuent leur mission. Elles viennent de réaliser avec OpinionWay la première édition d'un baromètre sur les usages des Français en matière de consommation des biens et services culturels dématérialisés. En matière de biens culturels, le numérique ne laisse pas la possibilité de prendre des habitudes. Créé à l'époque du peer-to-peer sur PC, l'organisation qui a tant fait polémique a vu passer une génération technologique. Un panel de 4740 internautes de 15 et plus a rempli un questionnaire pendant une semaine entre le 26 mars et le 3 avril dernier. Le gratuit l'emporte haut la main L’étude dévoile que 84% des personnes interrogées ont recours au streaming contre 49% qui continuent à télécharger des fichiers. Pour écouter de la musique, les Français sont 66% à streamer pour 28% de téléchargeurs.

Marissa Mayer et Mark Zuckerberg réagissent à l'affaire Prism La dirigeante de Yahoo, Marissa Meyer. Crédit: IDG NS Interrogé sur le programme de surveillance Prism, le fondateur de Facebook a déclaré que le gouvernement américain avait « déconné ». Marissa Mayer, patronne de Yahoo, a indiqué que si elle révélait les détails de cette affaire, ce serait une « trahison ». Les PDG de Yahoo et Facebook ont été sur la sellette hier pour répondre à des questions concernant Prism, le programme de surveillance des données lancé par le gouvernement américain. Assurer la protection des utilisateurs Les deux dirigeants ont mis l'accent sur leurs efforts pour une plus grande transparence, et tous deux ont déclaré que leur objectif était de protéger leurs utilisateurs.

Ecoute : le Royaume-Uni accusé d'espionnage à grande échelle Les services britanniques de renseignement ont un accès à des câbles à fibres optiques leur permettant de surveiller à grande échelle les communications mondiales, selon des documents dévoilés par Edward Snowden au Guardian. Selon l’ex-consultant, inculpé pour espionnage aux Etats-Unis pour avoir divulgué des programmes américains de surveillance des communications, ce phénomène n’est «pas juste un problème américain». «Le Royaume-Uni joue un rôle majeur», a déclaré Snowden, cité samedi par le Guardian. «Ils sont pires que les Américains», ajoute-t-il même à propos du Quartier général des communications du gouvernement (GCHQ), service britannique des écoutes. Le GCHQ a quant à lui assuré respecter «scrupuleusement» la loi. «Nous ne faisons pas de commentaires sur les questions touchant au renseignement. Avec ou sans autorisation gouvernementale ? 600 millions de communications téléphoniques chaque jour Les Chinois espionnés

Extrait NSA Snooping Was Only the Beginning. Meet the Spy Chief Leading Us Into Cyberwar | Threat Level Alexander runs the nation’s cyberwar efforts, an empire he has built over the past eight years by insisting that the US’s inherent vulnerability to digital attacks requires him to amass more and more authority over the data zipping around the globe. In his telling, the threat is so mind-bogglingly huge that the nation has little option but to eventually put the entire civilian Internet under his protection, requiring tweets and emails to pass through his filters, and putting the kill switch under the government’s forefinger. “What we see is an increasing level of activity on the networks,” he said at a recent security conference in Canada. “I am concerned that this is going to break a threshold where the private sector can no longer handle it and the government is going to have to step in.” And he and his cyberwarriors have already launched their first attack. The success of this sabotage came to light only in June 2010, when the malware spread to outside computers.

Google sollicite une réforme des écoutes massives de la NSA Auditionné ce 13 novembre par le Congrès américain à propos du programme de surveillance électronique de la NSA, Google a sollicité une réforme urgente de la législation sur la confidentialité des données. Directeur juridique chargé de la sécurité de l’information au sein du groupe Internet, Richard Salgado a affirmé que les écoutes massives pratiquées par les agences fédérales de renseignement menacent l’Internet ‘ouvert’. Et de laisser planer, dans la lignée des avertissements émis par Cisco, le spectre d’effets secondaires sur l’économie des États-Unis, en particulier le segment du cloud computing. Selon Google, le scandale PRISM pourrait effectivement pousser les entreprises et le grand public à se détourner des prestataires américains (Google, Amazon, Microsoft, IBM et consorts). Richard Salgado a cité, en référence, une étude Forrester publiée cet été. Comme le note Silicon.fr, la Chine a d’ores et déjà limité ses achats auprès de grands groupes IT américains.

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