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Le digital maintenant présent dans toutes les étapes de l'expérience d’achat

Le digital maintenant présent dans toutes les étapes de l'expérience d’achat
90% des consommateurs français interrogés par Digitas se rendent désormais sur Internet avant d’effectuer leur choix en magasin, pour consulter des comparateurs de prix ou des avis des consommateurs. Même si le magasin physique demeure le deuxième canal pour l’information produit, il est de plus en plus utilisé comme simple showroom par les consommateurs. C'est ce que dévoile Digitas France, en collaboration avec VivaKi Advance, dans son second baromètre de l’Expérience Marchande Connectée, qui met en lumière les évolutions des comportements des consommateurs et de leurs attentes concernant leur expérience d’achat. L’étude révèle en effet que l’augmentation du taux d’équipement d’appareils connectés incite de plus en plus le consommateur à comparer les offres en ligne et hors ligne, avant de prendre sa décision. Internet consulté avant et pendant l’achat en magasin Intégrer davantage d’outils technologiques in-store Related:  Consommateurs

Le consommateur roi " Ce qui a changé au cours des trente dernières années, c'est le consommateur ", a lancé Marc Lolivier, délégué général de la Fevad. Un sentiment partagé par les intervenants de la table ronde du CMD intitulée " Rêve de marketing, marketing de rêve ". Marc Lolivier a exposé la règle des 3C - compétence, choix et communication - imposé par la révolution Internet : le consommateur est, aujourd'hui, un expert qui a accès à un choix considérable, 7 jours/7, 24 heures/24 et qui, grâce à Internet, a le pouvoir de s'exprimer et de donner son avis. Caroline Villecroze, directrice marketing et communication d'Adrexo a, ainsi, constaté que le consommateur est au centre de toutes les communications des marques : " Nous sommes passés du marketing produit au marketing client ". Quel avenir pour le marketing ? Daniel Kaplan est, cependant, convaincu que dans l'avenir, le marketing passera par le VRM (Vendor Relationship Management). Le concours des 30 ans du CMD Le palmarès :

Parcours d’achat des Français : le magasin... Les proches (parents ou amis) sont le meilleur vecteur d’influence pour déclencher un achat (31% des répondants), tandis qu’Internet est une source d’information pré-achat décisive (46% consultent les avis en ligne, par exemple), et que le magasin reste, de loin, le lieu préféré pour concrétiser l’achat, pour 62% des Français. Voilà quelques-uns des résultats saillants de l’étude sur le parcours d’achat des Français à l’heure de la pluralité des canaux (magasin, web, mobile…), réalisé par l’Ifop pour le compte de Wincor Nixdorf. Objectif : cerner les contours de ses habitudes, brouillées par l’immixtion de plus en plus fréquente d’Internet sous toute ses formes, e-commerce (concurrent des magasins pour l’achat) et smartphones ou tablettes (pour consulter avis clients, comparer prix et produits…), les smartphones étant par ailleurs de plus en plus souvent utilisés à l’intérieur du magasin (la moitié des sondés l’utilise en point de vente, en lien avec leur parcours d’achat).

L’intérêt de la négociation raisonnée en situation difficile et complexe I. Qu’est-ce que la négociation raisonnée La négociation raisonnée, ou méthode gagnant/gagnant est fondée sur la coopération. Elle a été mise au point par les professeurs Fisher et Ury de Harvard. Cette méthode s’attache au fond, aux avantages mutuels, à retenir des critères justes, objectifs, pour trouver un accord. Elle repose sur des principes : Ne pas confondre le différend à résoudre (provenant des écarts de besoins, de valeurs) et les personnalités face à face pour encourager les acteurs à traiter le problème, à faire preuve de compréhension ; Se concentrer sur les intérêts (divergents et communs) et les besoins ; Chercher des options c’est-à-dire des solutions pouvant apporter aux parties prenantes un bénéfice mutuel, une satisfaction de leurs besoins ; Retenir des critères de décision objectifs, non soumis aux influences des parties, faciles à mettre en œuvre, clairs, acceptés Un processus à suivre. 1. Il va s’agir de : 2. 3. 4. 5. 6. II. 1. 2. III. IV. A. 1. 2. 3. 4. 5. B. 1. 2.

Decathlon : l'expérience client en magasin se digitalise Qu’elle soit au niveau de ses produits ou de la vente, l’innovation se doit d’être au service du client pour Decathlon. En cette rentrée 2014, l’enseigne sportive préférée des français déploie de nouveaux services digitaux sur l’ensemble des 262 magasins : retrait en magasin des commandes passées sur Decathlon.fr, outil Mobistore et RFID. Les puces RFID pour gérer les stocks et accélérer le passage en caisse Une puce électronique fonctionnant avec le système dit RFID – « Radio Fréquence Identification » – est intégrée à une étiquette collée sur chaque référence. En équipant ses produits de cette puce, il est possible de les suivre à distance, en direct et quelque soient les volumes. L’autre avantage pour le client réside dans le passage en caisse. Mobistore : le bras digital prolongeant celui du vendeur L’e-reservation prolonge celui du client Avec ces 3 dispositifs, Decathlon voit l’innovation comme la source permanente d’amélioration avec son client.

Consommer en temps de crise Low cost, achats d’occasion ou groupés, location, troc… Les consommateurs développent de nouvelles stratégies auxquelles les industriels cherchent à s’adapter. Ce faisant, une modification durable des modes de consommation s’opère. Baisse du pouvoir d’achat, crainte du chômage, incertitudes quant à l’avenir… Les Français n’ont d’autre choix que de s’adapter. Différentes « solutions » s’offrent – ou s’imposent – à eux : consommer moins, moins cher, « mettre la main à la pâte » ou encore partager. En temps de crise, dépenser moins se révèle un impératif pour beaucoup ; l’augmentation des dépenses dites « contraintes » ou « préengagées » limite les marges de manœuvre. Pour faire face à la baisse de leur pouvoir d’achat, les Français se voient donc dans l’obligation de faire des arbitrages ; certains achats s’en trouvent différés, voire supprimés. Victimes de ces choix, les ventes de voitures neuves ont chuté de 14 % en 2012. Article de 3276 mots.

Une bibliothèque qui a tout d'une librairie aux Pays-Bas Aux Pays-Bas, on ne fait pas les choses à moitié quand on sollicite un cabinet d'architectes pour la conception d'une nouvelle bibliothèque. L'établissement de la ville d'Almere, pour rassurer son public, a tout simplement demandé que les lieux soient les plus proches possibles d'une... librairie. Le résultat est que l'ensemble de l'espace ressemble vraiment à une boutique moderne et très haut de gamme, avec cependant la totalité des services que l'on peut attendre dans une bibliothèque moderne. Plus de 4876 mètres d'étagères sur lesquelles retrouver des livres classés selon des thématiques, exactement comme dans une disposition de librairie. La combinaison des matériaux verre et béton, avec des couleurs vives et de beaux (très beaux) volumes, rend la visite particulièrement agréable. Différentes zones sont aménagées selon l'âge des publics à accueillir, jeunesse, adultes, etc. Le rêve ? via BookRiot Pour approfondir

Les facteurs de motivation du personnel La motivation est ce qui incite un employé ou un groupe d'employés, ayant des besoins et des aspirations distinctes, à travailler en vue d'atteindre les buts de l'organisation avec plus de satisfaction. I/ L'analyse des facteurs de motivation La motivation des salariés étant un facteur déterminant pour augmenter la productivité du personnel, de nombreux auteurs ont essayé de cerner les facteurs de motivations qui pouvaient la favoriser. A) L'analyse de Taylor Taylor est l'un des premiers à analyser les rapports entre l'homme et son travail. B) L'analyse de Mayo Mayo réagit contre la conception rationnelle de Taylor qui oublie la dimension humaine du travailleur. C) L'apport de l'analyse Maslow Maslow complète l'analyse de Mayo par une pyramide des besoins à cinq niveaux. Besoin de réalisation --> Besoin d'estime et de considération--> Besoin d'appartenance--> Besoin de sécurité--> Besoin physiologique. II/ Les techniques de motivation A) Les mesures de motivation financières 1. 2. 3.

Expérience client : Optic 2000 mise sur l'impression 3D Lissac, l'enseigne haut de gamme du groupe Optic 2000, généralise un service de lunettes personnalisées qui n'existait que dans un seul magasin, via un système de modélisation de paires, et d'impression de prototype en 3D. Impression à la demande, personnalisation... Lissac, du groupe Optic2000 s'est emparé de l'engouement pour l'impression 3D, et lance un service permettant de diffuser à plus large échelle un service de création de lunettes personnalisées qui n'existait pour le moment que dans une seule boutique. Le dispositif, lancé aujourd'hui, permet de créer son propre modèle de lunettes, puis de recevoir un prototype imprimé en 3D. Un service préexistant, mais dans une boutique unique "Les modèles proposés correspondent généralement aux attentes du client en ce qui concerne la forme. L'impression 3D pour industrialiser un service personnalisé

Les Français de plus en plus exigeants sur la qualité de services en magasin Les acheteurs veulent retrouver la praticité d'Internet en point de vente. Et pouvoir profiter aussi, proposés par le magasin, de services qu'ils utilisent déjà depuis leur téléphone, comme des comparateurs. Internet a modifié les habitudes de consommation des Français, et notamment leurs attentes vis à vis des points de vente, qui ont tout intérêt à proposer des services répondant à ces nouveaux besoins. Services pouvant être de l'ordre de l'introduction de solutions technologiques. Une étude* de l’Ifop et de Wincor Nixdorf s’est intéressée aux comportements d’achat, aux perceptions et aux attentes des Français à l’égard des points de vente. L’étude révèle qu’ils souhaitent fortement voir la qualité de services des points de vente se rapprocher du niveau dont ils bénéficient lors des achats sur Internet. Une préférence pour Internet… Et un rejet des grandes surfaces… Les courses dans les hypermarchés et supermarchés sont un véritable obstacle pour les consommateurs.

Indicateurs de performances: un langage commun... mais surtout un langage pour tous - Business Intelligence Un langage commun mais surtout communément partagé. Dans la foulée d'une refonte de ses systèmes de gestion et d'encaissement, le groupe Galeries Lafayette a donné à pas moins de 2 000 de ses salariés des outils pour piloter leur activité au jour le jour. Le projet d'analyse de l'information que nous avons mené est l'aboutissement d'une longue démarche de refonte des systèmes utilisés dans les magasins du groupe Galeries Lafayette. Tout a démarré par une remise à plat des systèmes d'encaissement et de gestion, avec le passage à une véritable gestion à l'article sur toute la chaîne, de l'approvisionnement à la vente. Le volet décisionnel s'inscrit dans la continuité de cette refonte. Un passage obligé vers le multicanal En magasin par exemple, l'outil sert à faire le lancement de journée.

Théorie de l'auto-détermination et motivation Emmanuel G. BLANCHARD, Claude FRASSON Laboratoire HERON, Département d’Informatique et Recherche Opérationnelle, Université de Montréal 1. Introduction 2. Travaux antécédents liés aux STI et portant sur la motivation 3. 1. Depuis maintenant près de trente ans, la recherche sur les Systèmes Tutoriels Intelligents (STI) s’est portée sur des moyens de créer des systèmes informatiques adaptatifs pour enseigner, de manière efficace, une multitude de domaines. Cet article est organisé de la manière suivante : dans la partie qui suit, nous présentons des travaux récents liés aux STI et ayant porté sur la motivation. 2. 3. Dans ce qui suit, nous décrivons plus en détail ces deux principes. 3.1. Les recherches distinguent motivation intrinsèque et extrinsèque. La SDT précise ces types de motivation : elle considère l’amotivation (l’absence totale de motivation), et elle segmente la motivation extrinsèque en quatre sous-catégories. Tableau 1. 3.2. 3.2.1. 3.2.2. 3.2.3. 4. 4.1.

Abercrombie & Fitch va (à nouveau) proposer des grandes tailles MODE - Les mauvaises nouvelles ont tendance à circuler plus vite que les bonnes. Abercrombie & Fitch vient d'en faire l'amère expérience. En effet, début novembre, la marque américaine annonçait qu'elle proposerait en 2014 des tailles plus larges pour certains de ses vêtements -notamment des T-shirts- en vente sur Internet. Bien que la date de ce changement ne soit pas encore connue, c'est un véritable changement de stratégie pour Abercrombie & Fitch, dont les habits ne vont pour l'instant que jusqu'à la taille 40. Hélas, pour la marque qui souhaite redorer son image, l'information ne sera que peu reprise par les médias dans le monde, même si certains comme Vogue ou le Daily Mail en ont parlé début novembre. Les propos déplacés du PDG Pourtant, régulièrement, Abercrombie & Fitch défraye la chronique en France comme à l'étranger: plainte pour discrimination, culte du corps "zéro défaut" poussé à l'extrême, propos déplacés du PDG Mike Jeffries... Retour en arrière.

Consommateur et consommation : le dossier marketing communication Notre dossier consommateur et consommation frappe à nouveau un grand coup ! Evolution des cibles et segments de consommation Un consommateur paradoxal et rationnel Même si la consommation des ménages a plutôt bien résisté à la crise, pourquoi le désir de consommer marque-t-il le pas ? Le consommateur, 100% rationnel et raisonnable, voit ses comportements en matière de recherche d’informations avant l’achat évoluer. Consommateur mutant : quelles valeurs et insights ? Le consommateur mute. Prospective conso : nouveaux signes, nouveaux insights Les arcanes de l’évolution des attitudes et du comportement des consommateurs. 5 caractéristiques du postmodernisme Le monde postmoderne utilise des dimensions bipolaires dialectiques comme le bien ET le mal, sonnant la fin du cartésianisme et de la rationalité. Regards sur le consommateur d’aujourd’hui et de demain Consommation collaborative : une nouvelle relation marque / conso ? A quelles motivations la consommation collaborative répond-elle ?

Mobile Payments Fuel Starbucks Growth Starbucks reported a strong Q2 performance, with revenue up 11 percent, a 23 percent increase in quarterly profit. Mobile payments were a particularly strong performer for the company, contributing 15 percent of total quarterly revenue. In a call with investors, CEO Howard Shultz said Starbucks processed 6 million mobile transactions per week in the U.S. during the quarter that ended June 29. The company also tipped its hand slightly about forthcoming technological advances coming to consumers via the mobile app. Shultz also credited the mobile application for the strength of the Starbucks loyalty program, which claims nearly 8 million active users in the Unites States. “By integrating mobile loyalty, payment, and in-store digital experiences, we are creating game-changing technologies and experiences for our customers, and the opportunity to introduce new lines of business for our company,” Shultz told investors.

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