Louis Jacolliot
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Louis Jacolliot est un écrivain français, né le 31 octobre 1837 à Charolles (Saône-et-Loire) et décédé le 30 octobre 1890 à Saint-Thibault-des-Vignes (Seine-et-Marne). Biographie[modifier | modifier le code] Ses œuvres sont seulement citées dans le livre de Helena Blavatsky, Isis dévoilée, mais il a également influencé ses spéculations sur la Lémurie. C'est dans son ouvrage Les Fils de Dieu qu'apparaît pour la première fois le nom d'Agartha[1]. Parmi les œuvres de Jacolliot, figure une traduction de la Manu Smriti, qui a été jugée non fiable par de nombreux savants, dont Ann-Marie Etter. Louis Jacolliot fut maire de Saint-Thibault-des-Vignes de 1887 à 1890 et mourut au cours de son mandat. Œuvres[modifier | modifier le code] La Devadassi (1868)La Bible dans l'Inde, ou la Vie de Iezeus Christna (1869)Les Fils de Dieu (1873)Christna et le Christ (1874)Histoire des Vierges. Références[modifier | modifier le code] Portail du monde indien
Société Thulé - Wikipédia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Thulé. La Société Thulé ou l'ordre de Thulé (en allemand Thule-Gesellschaft) a été une société secrète allemande de Munich, qui à l'origine était un groupe d'études ethnologiques s'intéressant tout spécialement à l'Antiquité germanique et au pangermanisme aryen. Ses mythes racistes et occultistes inspirèrent le mysticisme nazi et l'idéologie nazie. Historique[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Au départ, Thulé était une société de recherches ethnographiques. La Société Thulé, elle, a été créée par le faux baron Rudolf von Sebottendorf le 17 août 1918. Des liens ont été imaginés avec l'hypothétique Société du Vril. Vers 1923, Rudolf Hess, revenu à Munich, devient l'un des animateurs de l'Ordre de Thulé, dont Hermann Göring est l'un des membres les plus célèbres. Évolution et fin[modifier | modifier le code] Idéologie[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]
Zen
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La calligraphie de l'Enso (jap., Cercle) symbolise dans le bouddhisme zen la vacuité, ou la pratique et l'éveil qui sans cesse se renouvellent (dokan, anneau de la Voie). Le zen est une branche de bouddhisme mahāyāna qui insiste sur la méditation (dhyāna) à partir de la posture assise dite de zazen. Origines[modifier | modifier le code] La légende de l'origine de la tradition zen et de la lignée de ses maîtres remonte à un sermon du Bouddha Shākyamuni à ses disciples alors qu'ils étaient réunis sur le pic des vautours, relaté dans le Sūtra Lankavatara. Liste des patriarches du zen[modifier | modifier le code] Liste rapportée par la tradition des vingt-huit patriarches de l’école avant son arrivée en Chine et liste des sept premiers patriarches du chan chinois : De l'Inde à la Chine[modifier | modifier le code] Une représentation de Bodhidharma Le chan en Chine[modifier | modifier le code] De la Chine à la Corée[modifier | modifier le code]
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Edward Bulwer-Lytton
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] En août 1827, contre l'avis de sa mère, il épouse Rosina Doyle Wheeler (1802–1882), une célèbre beauté irlandaise. En représailles, sa mère lui retire sa pension, le contraignant à travailler. Ses activités littéraires et politiques mettent à rude épreuve son mariage, de même que ses infidélités conjugales. En juin 1858, alors que son mari est candidat dans le Hertfordshire, elle mène campagne contre lui. Profondément attristé et marqué par le décès de sa mère, en 1843, il change le son nom de famille — « Bulwer » — en « Bulwer-Lytton », conformément aux vœux de sa mère, qui avait fait la même chose en 1811. Carrière politique[modifier | modifier le code] Lord Lytton En 1846, il publie le Nouveau Timon, où il donne une série de portraits d'hommes d'État contemporains. Carrière littéraire[modifier | modifier le code]
ALCHIMIE Comte de Saint-Germain - Wikipédia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Comte de Saint-Germain. Le comte de Saint-Germain est un aventurier du XVIIIe siècle, probablement né entre 1690 et 1710 et décédé à Eckernförde (Schleswig) en 1784. Origines[modifier | modifier le code] Sa naissance n'a pu être conjecturée que sur la base de quelques témoignages épars, dont celui de son ami le prince Frédéric II de Hesse-Cassel, qui laissent supposer qu'il était l'enfant illégitime du prince François II Rákóczi de Transylvanie et de la princesse Violante-Béatrice de Bavière, de la maison de Wittelsbach, et qu'il fut élevé à Florence par Gian' de Medici, beau-frère de la seconde[1]. Un laboratoire d'alchimie au château de Chambord[modifier | modifier le code] Saint-Germain quitte Londres en 1746. Aimé de Louis XV et détesté de Choiseul[modifier | modifier le code] Rapidement, la supercherie est dévoilée et Gauve reconnu. Entrevue du Comte de Saint-Germain avec la reine Marie-Antoinette[modifier | modifier le code]
Loges Tibétaines secrètes
Projet MK-Ultra
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le projet MK-Ultra[1] (ou MKUltra), dévoilé en 1975, est le nom de code d'un projet secret illégal de la CIA des années 1950 à 1970 visant à manipuler mentalement certaines personnes par l'injection de substances psychotropes ou par signaux bioélectriques (sous-programme 119). De 1951 à 1963, il se nommait projet Artichoke ; le projet Bluebird (1951-1953) lui est apparenté [réf. à confirmer][2]. Citation[modifier | modifier le code] « Le directeur adjoint de la CIA a révélé que plus de trente universités et institutions avaient participé à un large projet de tests et d'expérimentations qui incluait des tests de médicaments cachés sur des sujets non-volontaires de toutes les catégories sociales, hautes et basses, américains et étrangers. — Sénateur Kennedy. Origines[modifier | modifier le code] En 1964, le projet fut renommé MKSEARCH. En 1972, Richard Helms, directeur de la CIA ordonna la destruction des archives du projet. a. b. c. d. e.
Georges Gurdjieff
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Georges Gurdjieff Georges Gurdjieff[1] (1877-1949) est une célèbre figure de l'ésotérisme de la première moitié du XXe siècle. Éléments biographiques[modifier | modifier le code] Sa vie jusqu'en 1914 n'est connue que par les témoignages que lui-même ou ses disciples ont transmis. Selon le livre de Gurdjieff Rencontres avec des hommes remarquables, une sorte d’autobiographie, sa famille voulait le voir étudier en vue de la prêtrise orthodoxe, tandis que ses propres intérêts résidaient dans l’étude de la science et de la technologie. D'après Gurdjieff, il se prit lui-même en charge tout au long de cette aventure spirituelle avec des affaires légitimes (par exemple : la vente de tapis) et des entreprises frauduleuses (par exemple : la coloration de moineaux avec de l’aniline, les qualifiant de « canaris américains », et les vendant avec un grand profit). L'existence de Gurdjieff jusqu’à sa quarantième année relève du mythe invérifiable.
Look In Not Out | THE SELF , INTROSPECTION , TRUTH , FOCUS , MINDFUL , CONSCIOUSNESS , INTUITION , AWARENESS , BALANCE , UNITY , SYNCRETISM , COLLECTIVENESS …. ONE .