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Transcendance

Transcendance
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Stoïcisme Le stoïcisme est une école de philosophie hellénistique fondée par Zénon de Kition à la fin du IVe siècle av. J.-C. à Athènes. Le stoïcisme est une philosophie de l'éthique personnelle influencée par son système logique et ses vues sur le monde naturel. Selon ses enseignements, en tant qu'êtres sociaux, la voie de l’eudaimonia (« ἡ εὐδαιμονία », le bonheur, la prospérité) pour les êtres humains consiste à accepter le moment tel qu'il se présente, à ne pas se laisser contrôler par le désir du plaisir ni la peur de la douleur, à utiliser son esprit pour comprendre le monde et à faire sa part dans le plan de la nature, à œuvrer avec les autres et à les traiter de manière juste et équitable. De nombreux stoïciens romains, tels Sénèque et Épictète, soulignent le fait que « la vertu suffisant pour le bonheur », un sage devrait être émotionnellement résistant au malheur. Le stoïcisme s'épanouit dans la Grèce antique, puis la Grèce romaine et la Rome antique jusqu'au IIIe siècle apr. Exemple :

Congruence Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Derrière le terme de congruence se cachent des notions semblables mais de niveaux d'abstraction différents. Historiquement, la notion de congruence sur les entiers relatifs a été introduite par Gauss vers 1801[1]. Sciences exactes[modifier | modifier le code] Sciences humaines et sociales[modifier | modifier le code] Congruence : nom féminin (latin congruentia, Conformité, adéquation, concordance) En littérature, fait de coïncider, de s’ajuster parfaitement.En psychothérapie, congruence est le terme employé par Carl Rogers pour indiquer une correspondance exacte entre l'expérience et la prise de conscience.En géographie, la congruence est "l'adaptation réciproque"[2].En sémiotique, on parle de congruence lorsque des homologies partielles peuvent être établies entre différentes couches de signification, au sein d'un système pluri-isotopique.

Edgar Morin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Morin. Edgar Morin Edgar Nahoum, dit Edgar Morin, né à Paris le 8 juillet 1921, est un sociologue et philosophe français. Biographie[modifier | modifier le code] Il s'intéresse très vite aux pratiques culturelles qui sont encore émergentes et mal considérées par les intellectuels : L'Esprit du temps (1960), La Rumeur d'Orléans (1969). Durant les années 1960, il part près de deux ans en Amérique latine où il enseigne à la Faculté latino-américaine des sciences sociales. Aujourd'hui directeur de recherche émérite au CNRS, Edgar Morin est docteur honoris causa de plusieurs universités à travers le monde. Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence. Morin a écrit plusieurs ouvrages revenant sur son passé, dont Autocritique en 1959, Vidal et les siens sur son père en 1989 et Itinérance publié en 2006. Œuvre[modifier | modifier le code]

Paradigme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Universum, C. Flammarion, gravure sur bois, Paris 1888 Étymologie[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : paradigme, sur le Wiktionnaire Utilisations générales du mot paradigme[modifier | modifier le code] Le mot paradigme s'emploie fréquemment dans le sens de Weltanschauung (vision du monde). L'autre fonction du paradigme est utile pour un observateur tiers (observant celui qui utilise ce paradigme). Le paradigme comme représentation commune[modifier | modifier le code] Le paradigme au sens collectif est un système de représentations largement accepté dans un domaine particulier. Paradigme épistémologique et sociologique[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, le mot paradigme était employé comme terme épistémologique pour désigner un modèle de pensée dans des disciplines scientifiques. D'autres termes comme concept ou système de pensée sont très proches de celui de paradigme. En entreprise[modifier | modifier le code]

Élisabeth de Fontenay Élisabeth de Fontenay en 2009. Élisabeth de Fontenay, née en 1934, est une philosophe et essayiste française, philosophe reconnue de la question juive et de la cause animale[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Famille, enfance et conversion au judaïsme[modifier | modifier le code] Elle est élevée dans la religion catholique, baptisée enfant, puis inscrite à l'âge de 5 ans au collège Sainte-Marie de Neuilly. Carrière[modifier | modifier le code] Cette réflexion peut être rapprochée du courant actuel de la pensée posthumaniste représenté notamment par Peter Sloterdijk ou Donna Haraway. À la mort de Jankélévitch en 1985, elle fonde, avec notamment Pierre Michel Klein et Béatrice Berlowitz, l'Association Vladimir Jankélévitch. Elle fait aussi partie du Comité d'éthique ERMES[8], aux côtés notamment d'Henri Atlan. Depuis septembre 2010, Élisabeth de Fontenay présente, avec Fabienne Chauvière, l'émission de radio Vivre avec les bêtes[9] consacrée aux animaux sur France Inter. Et encore :

Simplicité volontaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La simplicité volontaire ou sobriété heureuse est un mode de vie consistant à réduire volontairement sa consommation, ainsi que les impacts de cette dernière, en vue de mener une vie davantage centrée sur des valeurs définies comme « essentielles ». Cet engagement personnel et/ou associatif découle de multiples motivations (voir section : Motivations) qui vont habituellement accorder la priorité aux valeurs familiales, communautaires et/ou écologiques. Histoire[modifier | modifier le code] Les précurseurs[modifier | modifier le code] Si on peut trouver l'origine de la simplicité volontaire chez les différentes formes d'ascétisme grecques et orientales, ces dernières étaient surtout motivées par une philosophie mystique, et c'est donc plutôt chez les stoïciens, les cyniques, et surtout chez Épicure qu'on peut voir la réelle apparition du concept de simplicité volontaire. Au XXe siècle[modifier | modifier le code]

Utopie L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, titre de son livre L'Utopie, du grec οὐ-τόπος / ou-tópos, « en aucun lieu ») est une représentation d'une société idéale, opposée aux sociétés réelles imparfaites. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique idéal (qui gouvernerait parfaitement les hommes), une société parfaite (sans injustice par exemple, comme la Callipolis de Platon ou la découverte de l'Eldorado dans Candide) ou encore une communauté d'individus vivant heureux et en harmonie (l'abbaye de Thélème dans Gargantua de Rabelais en 1534), souvent écrites pour dénoncer les injustices et dérives de leurs temps. Une utopie peut désigner également une réalité difficilement admissible : en ce sens, qualifier quelque chose d'utopique consiste à le disqualifier et à le considérer comme irrationnel. Genre opposé, la dystopie — ou contre-utopie — présente non pas « le meilleur des mondes » mais « une utopie en sens contraire », selon F.

Résilience (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arbre qui pourrait être perçu comme un symbole de résilience : sa cime a été coupée, et néanmoins il vit et se déploie Du verbe latin resilio, ire, littéralement « sauter en arrière », d'où « rebondir, résister » (au choc, à la déformation). Les premières publications dans le domaine de la psychologie datent de 1939-1945. Werner et Smith, deux psychologues scolaires américaines à Hawaï, travaillent avec des enfants à risque psychopathologique, condamnés à présenter des troubles. La notion de résilience s'oppose parfois à la notion de « coping » (Paulhan & al., 1995) (en anglais to cope = se débrouiller, s'en sortir). Dans le domaine de l'assistance aux collectivités en cas de catastrophe (naturelle ou causée par l'homme), on parle également de communautés résilientes. La résilience serait le résultat de multiples processus qui viennent interrompre des trajectoires négatives. On parle également de résilience bioéconomique.

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