background preloader

La mesure de la performance du marketing

La mesure de la performance du marketing
Introduction Le marketing est poussé à mesurer la performance de ses actions par l’importance des actifs qu’il contribue à créer : valeur client et capital marque dans le cadre d’un management de la valeur qui s’impose au sein des organisations. Malgré les récents élargissements du marketing holiste [1] et de ses différentes composantes qui impliquent la prise en compte de toutes les parties prenantes (stackeholders) et leurs relations, il faut garder en tête que les clients sont la source fondamentale du cash flow et qu’il convient donc de répondre prioritairement à leurs besoins. Pour cela et durant de nombreuses années, les responsables marketing n’ont pas eu à se soucier de la mesure des performances de leurs actions. Ils n’avaient d’ailleurs pas à le faire face à la nécessité et la priorité à répondre aux besoins de leurs clients. Et pourtant la mesure des performances engage la crédibilité et justifie les actions futures. Marketing management 14e édition 1. 2. Related:  A4.3

Le marketing digital Introduction Pour Laurent Florès, le marketing digital procède de deux évolutions, le développement massif des usages liés à Internet (e-commerce, réseaux sociaux, ...) la généralisation de l’utilisation de nouveaux supports des technologies de l’information et de la communication qui se sophistiquent de façon continue (téléphonie mobile et Smartphones multifonctions, ordinateur portable et nomade, développement des lignes ADSL et de la 4G et à présent de la fibre optique). La convergence de ces deux tendances a donc favorisé l’émergence du marketing digital. Un contexte favorable lié au développement des offres et des usages : un consommateur multi écran et nomade. Les français détiennent, selon l’IFOP, 3,4 terminaux en moyenne. Selon le CREDOC (étude Juin 2012), les individus en France sont à présent 88 % à détenir un téléphone mobile et 29 % un Smartphone qu’ils utilisent connectés à Internet. Les formes du marketing digital Quels objectifs cherche-t-on à atteindre ? (Cardon 2008)

3.24 La Valeur Client : Le cas des entreprises du luxe en période de crise Lorsqu’une entreprise du Luxe se met à parler à ses clients de prix, c’est qu’elle a, enfin, compris son problème… ou bien, qu’elle est déjà en grande difficulté ! Parler de prix à leurs clients, c’est ce qu’ont fait, il y a déjà quelques années, les constructeurs automobiles Allemands de haut de gamme, comme BMW ou Mercedes, et c’est ce qu’avaient fait bien avant eux, les grands couturiers Français, avec le Prêt à Porter. Mais, lorsqu’on parle de prix à des clients de produits haut de gamme, c’est qu’on estime que le prix est important pour eux, ou en d’autre termes, qu’ils sont devenus sensibles au prix, et donc, qu’on ne s’adresse plus à des clients Premium pour lesquels, le prix a peu d’importance.

Ethique et marketing Introduction Dans la conjoncture actuelle où les valeurs sont remises en cause aux niveaux politique et économique, que la confiance envers les politiques ou les dirigeants d’entreprise n’a jamais été aussi faible, une nouvelle forme de marketing émerge, un marketing de valeurs où l’éthique, le respect de l’individu prennent une place de plus en plus importante. Selon KOTLER [1], « chaque fois que des modifications apparaissent dans l’environnement macroéconomique, le comportement du consommateur se modifie et le marketing doit s’adapter ». L’éthique conduit à raisonner en fonction d’un but utilitaire, celui du bien-être du groupe. Au plan étymologique, « éthique » vient du mot grec « ethos », qui signifie les mœurs et les manières d’agir. L’éthique est l’ensemble des règles morales observées par un individu ou une organisation. Dans le champ social, sa responsabilité intervient en tant que fournisseur d’emplois, elle participe, à ce titre à la structuration de la société. Selon E.

Fiche notion Marketing durable et écoconception Introduction Aucun produit ne parcourt son cycle de vie sans consommer ou polluer, dans la recherche de matériaux comme la consommation de ressources minérales, végétales ou animales, énergétiques, les consommations d’eau et d’espaces naturels liés aux cultures ou à l’élevage. Tout produit est aussi à l’origine de rejets dans l’eau, l’air ou les sols. Ces consommations et ces rejets sont sources d’impacts sur l’environnement comme l’épuisement des ressources naturelles, la pollution de l’eau, de l’air, la production de déchets… Le développement durable est porteur d’espérance. Le business vert est souvent pris comme une opportunité de « coups marketing ». Selon Jean-Jacques LEHU [1], le marketing durable correspond à une déclinaison inspirée du concept du développement durable et proposée par le sociologue Gérard MERMET [2] en 2002. Selon le Mercator [3], on peut définir le marketing durable de deux manières large ou étroite. I. Une préoccupation de plus en plus présente II. Les labels V.

La veille, une approche globale et stratégique Selon BADOT et COVA [1], le pouvoir s’est déplacé, glissant de l’accès des matières premières à l’accès aux sources d’information et à l’information. Cette nouvelle nécessité explique donc que l’une des conditions de survie de la firme est la veille quelle que soit son domaine d’étude. Pour BURGAUD, la veille est « une gestion de l’information qui se développe sur deux axes : spéculatif (recherche et recueil de l’information) et projectif (évaluation et projection des résultats éventuels) et qui concerne l’ensemble de l’entreprise aussi bien les fonctions technologiques que financières et commerciales. » L’AFNOR (norme XP X50-053, avril 1988) présente la veille comme une activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance de l’environnement technologique, commercial…pour anticiper les évolutions. Historiquement ce sont les grands groupes industriels qui ont été les premiers à mettre en œuvre une démarche de veille. 1. Etat des lieux Les typologies de veilles 2.

Radio : Quand la musique nous manipule Une question étonnante à la quelle s'intéresse Daniel Fiévet dans info sciences aujourd'hui : la musique peut-elle nous manipuler et influencer notre comportement de consommateur ? La musique peut-elle nous manipuler et influencer notre comportement de consommateur ? Une question abordée dans "Le cerveau mélomane" paru chez Belin. Plusieurs scientifiques font le point sur les différentes façons dont la musique peut agir sur notre cerveau. Une influence commerciale Des chercheurs américains et australiens ont montré que lorsque l'on diffusait de la musique classique dans une boutique de vins, le montant des achats des clients était multiplié par deux et demi. Musique folklorique allemande = davantage d'achats de vins blancs du Rhin Des chercheurs britanniques ont montré que si on diffusait dans les rayons d'un supermarché, une musique folklorique allemande, les consommateurs achetaient préférentiellement des petits vins blancs du Rhin. L’importance du tempo Le volume

Définition 1186-germain-trebucq.pdf (Objet application/pdf) La première carte corporelle des émotions Des chercheurs finlandais ont détaillé les effets physiques du bonheur, de la peur, de la tristesse et d'autres sentiments. «La peur au ventre», «sentir monter la colère», «la tristesse me serre le cœur». La langue française attribue depuis des siècles une manifestation physique à chacune de nos émotions, et les recherches scientifiques menées ces vingt dernières années ont montré que cela n'avait rien d'une croyance populaire. Dernière preuve en date: la «carte corporelle des émotions » établie par des chercheurs finlandais. L'équipe du Dr Lauri Nummenmaa, de la faculté des sciences d'Aalto, s'est appuyée sur les témoignages de 701 volontaires à qui étaient présentées des images ou vidéos éveillant une émotion spécifique. Pour le spécialiste, cette topographie inédite pourrait faire avancer la recherche dans la compréhension des mécanismes émotionnels encore mal connus. Comment faire de nos émotions des alliées La santé émotionnelle, nouveau graal de la psychologie

Le marketing expérientiel La valeur de l'expérience Ni la marque, ni le produit ne génère de la valeur pour consommateur : c’est l’expérience de l’individu qui apporte de la valeur. Comprendre ce qui résulte de l’interaction entre l’individu et l’objet au cours de l’expérience devient un enjeu majeur. Holbrook (1999) propose, dans cette perspective, une typologie des valeurs de consommation à partir de trois dimensions. La première dimension est l’orientation. Elle oppose l’orientation vers soi et l’orientation vers autrui. Toute expérience de consommation est susceptible de produire de la valeur et une expérience de consommation donnée peut générer des valeurs différentes selon les individus. Les enjeux du marketing expérientiel se situent au niveau des valeurs produites par l'expérience de consommation. Les limites du marketing expérientiel Le marketing expérientiel n’établit pas toujours nettement la distinction entre aspects expérientiels de la consommation et l’expérience de consommation. Richard Ladwein

Related: