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Loi de Murphy

Loi de Murphy
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon une variante plus détaillée du même adage : « S'il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu'au moins l'une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu'un quelque part pour emprunter cette voie ». On peut interpréter cette loi de deux manières : l'une, humoristique, est de prendre cette loi à la lettre, et de l'ériger en principe de pessimisme. Vue sous cet angle, la loi de Murphy est le constat, élevé au rang de principe fondamental de l'univers, que « le pire est toujours certain ». Familièrement, cette loi est aussi appelée « loi de l'emmerdement maximum » (LEM)[1] ou « loi de la vexation universelle ». L'autre vision consiste à voir la loi de Murphy comme une règle de conception : on ne considère pas la loi de Murphy comme vraie, mais on conçoit tout système comme si la loi était vraie. Énoncés[modifier | modifier le code] — version d'Edward Murphy[2] — version de George Nichols[2] Related:  Sciences humainesSciences humaines

Synchronicités : ces heureuses coïncidences qui nous connectent à notre intuition | Histoire d'Intuition On a tous vécu un jour de ces coïncidences qui « tombent vraiment bien » et que le psychiatre suisse Carl Gustav Jung appelle des « synchronicités ». Etre réceptifs à ces événements hasardeux, liés par le sens et non par la cause, nous permet d’affiner notre intuition. Les synchronicités sont des heureux hasards liés par le sens et non par la cause. Mystérieuses heureuses coïncidences… Elles se manifestent juste au bon moment, nous permettant « comme par magie » de débloquer une situation ou d’accéder à nos désirs. Une réponse à un besoin conscient ou inconscient Certains diront que c’est là l’expression du pur hasard, d’une probabilité statistique certes mince, mais relevant du possible. L’anecdote du scarabée Jung a nommé ces heureuses coïncidences des « synchronicités ». Le psychiatre suisse Carl Gustav Jung a élaboré sa théorie sur les synchronicités après avoir vécu une coïncidence signifiante impliquant un scarabée doré et une de ses patientes qu’il suivait en travail d’analyse.

Loi de puissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En science, une loi de puissance est une relation entre deux quantités x et y qui peut s'écrire de la façon suivante : où a est une constante dite constante de proportionnalité et k est une autre constante, dite exposant, puissance, indice ou encore degré de la loi. On observe des lois de puissance dans beaucoup de domaines scientifiques (physique, biologie, psychologie, sociologie, économie, linguistique). Propriétés[modifier | modifier le code] Invariance d'échelle[modifier | modifier le code] L'une des caractéristique des lois de puissance est leur invariance d'échelle. Ainsi toute les lois de puissance de même exposant sont équivalente à un facteur constant près. Tracé logarithmique[modifier | modifier le code] Sur un graphique aux échelles logarithmiques, le graphe d'une loi de puissance est une droite. En posant , et , on trouve l'équation d'une fonction affine est la valeur de l'exposant k et l'ordonnée à l'origine

Mémétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Elle associe les sciences de autour de l'étude de l'évolution des phénomènes culturels dans le temps et l'espace physico-social, dans une approche culturo-centrée. Elle s'inscrit dans le mouvement du darwinisme étendu, cette tendance d'une généralisation de la théorie de l'évolution qui s'observe dans des domaines aussi variés que ceux de l'intelligence artificielle, des neurosciences, de la systémique, la psychologie, ou la sociologie. Origine[modifier | modifier le code] Certains[Qui ?]

Tattooed Money: Scott Campbell’s Lasercut Cash In the past we’ve shown you dollar bills embellished with Lady Gaga’s image, Warhol’s $43.8 million masterpiece 200 One Dollar Bills, and some really stunning money mosaics out of Russia. Now Brooklyn-based tattoo artist Scott Campbell has created a series of lasercut wads of money in which he crafts tattoo-style images into the fibers of cash. His self-proclaimed blue collar aesthetic provides an interesting juxtaposition where counterculture signifiers like skulls and guns meet what could be considered the ultimate symbol of the establishment. [via koikoikoi] Carl Jung - Synchronicité What is Synchronicity? The term synchronicity is coined by Jung to express a concept that belongs to him. It is about acausal connection of two or more psycho-physic phenomena. This concept was inspired to him by a patient's case that was in situation of impasse in treatment. So, the idea is all about coincidence: in this case, between the scarab dreamt by the patient and its appearance in reality, in the psychotherapy cabinet. But this coincidence is not senseless, a simple coincidence. Thus, a significant coincidence of physical and psychological phenomena that are acausal connected. Behind all these phenomena Jung places the archetype or the constellation of an archetype , which, in his view, is a process that engages equally objective manifestations, in the physical world, and subjective ones, in the psychological universe. Jung writes a book on synchronicity together with Nobel laureate W. It is also present in psychotherapy, as we have already shown.

Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives (NBIC) désignent un champ scientifique multidisciplinaire qui se situe au carrefour des nanotechnologies (N), des biotechnologies (B), de l'intelligence artificielle (I) et des sciences cognitives (C)[1]. Certains utilisent la notion de « grande convergence » pour souligner l’interconnexion croissante entre « l'infiniment petit (N), la fabrication du vivant (B), les machines pensantes (I) et l'étude du cerveau humain (C) »[2]. Prospective[modifier | modifier le code] Dans le domaine médical et de l'informatique, un des défis que les NBIC cherchent à relever est d'acquérir l'autonomie par la commande directe du cerveau, assisté par des électrodes externes ou internes qui éviteraient la nécessité de passer par un clavier ou un système de reconnaissance des gestes, mouvements d'yeux, etc pour communiquer avec des systèmes informatisés.

Économie circulaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie circulaire est une expression générique désignant un concept économique qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et s'inspirant notamment des notions d'économie verte, d’économie de l'usage ou de l'économie de la fonctionnalité, de l'économie de la performance et de l'écologie industrielle (laquelle veut que le déchet d'une industrie soit recyclé en matière première d'une autre industrie ou de la même). Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommation et le gaspillage des matières premières, et des sources d'énergies non renouvelables ; Histoire[modifier | modifier le code] Elle s'inspire notamment de Michael Braungart et de William McDonough ou plus exactement de leur formulation de la théorie du Du berceau au berceau (formalisée en 2002). Éléments de définition et d'enjeux[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] Outils[modifier | modifier le code]

Actualité > Origine de la vie : les UV pourraient avoir favorisé l'apparition de l'ARN Les bases azotées constituant l'ARN et l'ADN. L'ARN ne contient pas de la thymine cependant et l'uracile est spécifique à l'ARN. Crédit : Gary E. Kaiser Origine de la vie : les UV pourraient avoir favorisé l'apparition de l'ARN - 2 Photos En 1986, le prix Nobel Walter Gilbert avait émis l’hypothèse que l’apparition du code génétique sur Terre s’était d’abord produite sous la forme de brins d’ARN qui ensuite, par évolution, auraient donné la molécule de la vie, l’ADN. On sait que John Desmond Bernal, un grand cristallographe ayant inspiré Arthur Clarke, fut un des premiers à proposer que l’origine de la vie pouvait se trouver au niveau des propriétés catalytiques des argiles, qui auraient favorisé la polymérisation de molécules organiques complexes. Toujours est-il que l’un des problèmes à résoudre préalablement à celui de l’apparition de l’ADN ou de l’ARN est celui des premières voies de synthèses des fameuses bases azotées formant les lettres du code génétique. A voir aussi sur Internet

Synchronicité et Paracelsica (Carl Gustav Jung). Synchronicité et Paracelsica La synchronicité représente de toute évidence l'un des nœuds théoriques principaux de la pensée et de l'œuvre de Jung. Alors que celui-ci en découvre très tôt la présence et les manifestations (il en parle dès 1930), en déclarant à propos du Yi King que ce dernier "repose en effet, non sur le principe de causalité, mais sur un principe non dénommé jusqu'ici - parce qu'il ne se présente que chez nous - auquel j'ai donné, à titre provisoire, le nom de principe de synchronicité", il ne se décide cependant à publier à son sujet de manière systématique et réglée que très tard dans sa vie, à la fin des années quarante et au début des années cinquante. S'il se résout à cet effort, c'est par un double souci d'élucidation scientifique et philosophique, ainsi que devant l'importance humaine du phénomène, et l'exigence intérieure du souci thérapeutique que l'a toujours animé. (...)

Principe de Peter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle. Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J.

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