Loi de Parkinson Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi de Parkinson pose que tout travail au sein d'une administration augmente jusqu’à occuper entièrement le temps qui lui est affecté. Elle concerne en particulier la multiplication inéluctable des fonctionnaires, et a d’abord été publiée par Cyril Northcote Parkinson le 19 novembre 1955 dans un article publié dans la revue The Economist et reprise ensuite avec neuf autres articles du même auteur dans un ouvrage intitulé Parkinson’s Law And Other Studies In Administration aux éditions The Riverside Press, en 1957. Contrairement à une idée très répandue, la loi de Parkinson n'est pas la définition de l’état gazeux ou loi des gaz appliquée au monde du travail. Causes[modifier | modifier le code] C. 1) La loi des gaz appliquée au travail : cet élément permet à C. 2) Les deux forces qui dictent le comportement des fonctionnaires, et que la longue expérience de C. En pourcentage cela donne la formule : Bibliographie[modifier | modifier le code]
Mémétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mémétique utilise le concept de mème, pour étudier les évolutions de la culture avec une approche Darwinienne étendue. Si la génétique se base sur le concept de gène, pour étudier la nature, la mémétique se base sur le concept de mème, pour étudier la culture. On y étudie le comportement des codes et schémas informationnels appelés mèmes, dans leurs milieux physico-chimiques et socio-culturels : l’homme, l’animal, la machine (tout support mémoriel). Elle associe les sciences de autour de l'étude de l'évolution des phénomènes culturels dans le temps et l'espace physico-social, dans une approche culturo-centrée. Elle s'inscrit dans le mouvement du darwinisme étendu, cette tendance d'une généralisation de la théorie de l'évolution qui s'observe dans des domaines aussi variés que ceux de l'intelligence artificielle, des neurosciences, de la systémique, la psychologie, ou la sociologie. Origine[modifier | modifier le code] Certains[Qui ?]
Loi de puissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En science, une loi de puissance est une relation entre deux quantités x et y qui peut s'écrire de la façon suivante : où a est une constante dite constante de proportionnalité et k est une autre constante, dite exposant, puissance, indice ou encore degré de la loi. On observe des lois de puissance dans beaucoup de domaines scientifiques (physique, biologie, psychologie, sociologie, économie, linguistique). Propriétés[modifier | modifier le code] Invariance d'échelle[modifier | modifier le code] L'une des caractéristique des lois de puissance est leur invariance d'échelle. Ainsi toute les lois de puissance de même exposant sont équivalente à un facteur constant près. Tracé logarithmique[modifier | modifier le code] Sur un graphique aux échelles logarithmiques, le graphe d'une loi de puissance est une droite. En posant , et , on trouve l'équation d'une fonction affine est la valeur de l'exposant k et l'ordonnée à l'origine
Règle de Taylor Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Règle de Taylor est une règle moderne de politique monétaire, énoncée en premier lieu par l’économiste John B. Taylor, en 1993. Elle relie le taux d'intérêt décidé par la banque centrale au taux d'inflation de l'économie et à l’écart entre le niveau du PIB et son niveau potentiel : avec le taux directeur fixé par la banque centrale à l’instant le taux d'inflation, la cible d'inflation de la banque centrale, le taux d'intérêt réel à l’instant et les niveaux respectifs du PIB et du PIB potentiel, et des coefficients. Les coefficients sont soit calibrés, soit déterminés économétriquement par les économistes des banques centrales, pour la zone monétaire concernée ; l’équation de Taylor (ou bien une de ses variantes) permet alors de calculer la valeur optimale à fixer pour le principal taux directeur de la banque centrale, ce dernier ayant une grande influence sur les taux d’intérêt de la zone économique. Interprétation[modifier | modifier le code] ).
Économie circulaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'économie circulaire est une expression générique désignant un concept économique qui s'inscrit dans le cadre du développement durable et s'inspirant notamment des notions d'économie verte, d’économie de l'usage ou de l'économie de la fonctionnalité, de l'économie de la performance et de l'écologie industrielle (laquelle veut que le déchet d'une industrie soit recyclé en matière première d'une autre industrie ou de la même). Son objectif est de produire des biens et services tout en limitant fortement la consommation et le gaspillage des matières premières, et des sources d'énergies non renouvelables ; Histoire[modifier | modifier le code] Elle s'inspire notamment de Michael Braungart et de William McDonough ou plus exactement de leur formulation de la théorie du Du berceau au berceau (formalisée en 2002). Éléments de définition et d'enjeux[modifier | modifier le code] En France[modifier | modifier le code] Outils[modifier | modifier le code]
Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Nanotechnologies, biotechnologies, informatique et sciences cognitives (NBIC) désignent un champ scientifique multidisciplinaire qui se situe au carrefour des nanotechnologies (N), des biotechnologies (B), de l'intelligence artificielle (I) et des sciences cognitives (C)[1]. Certains utilisent la notion de « grande convergence » pour souligner l’interconnexion croissante entre « l'infiniment petit (N), la fabrication du vivant (B), les machines pensantes (I) et l'étude du cerveau humain (C) »[2]. Prospective[modifier | modifier le code] Dans le domaine médical et de l'informatique, un des défis que les NBIC cherchent à relever est d'acquérir l'autonomie par la commande directe du cerveau, assisté par des électrodes externes ou internes qui éviteraient la nécessité de passer par un clavier ou un système de reconnaissance des gestes, mouvements d'yeux, etc pour communiquer avec des systèmes informatisés.
Loi de Pareto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom. Sur les autres projets Wikimedia : Pareto, sur Wikisource Patronyme[modifier | modifier le code] Pareto est un nom de famille notamment porté par : Graziella Pareto (1889-1973), soprano espagnole.Lorenzo Pareto (1800-1865), géologue et ministre italienRaphaël Pareto (ou Raffaele) (1812-1882), père de Vilfredo Pareto et ingénieur italien.Vilfredo Pareto (1848-1923), sociologue et économiste italien, voir aussi Optimum de Pareto. Autres[modifier | modifier le code]
Internet des objets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social. L'internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du Quantified Self. Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes
Principe de Peter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle. Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J.
Loi de Hofstadter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La loi de Hofstadter (ou Loi de glissement de planning) est une loi empirique concernant la difficulté de la planification dans le domaine de la recherche et du développement. Elle est régulièrement constatée dans le domaine du développement de logiciel. Elle affirme : « Il faut toujours plus de temps que prévu, même en tenant compte de la Loi de Hofstadter. » Cette loi a été énoncée par l'universitaire américain Douglas Hofstadter dans son œuvre-phare, Gödel, Escher, Bach : Les Brins d'une Guirlande Éternelle (1979, Prix Pulitzer en 1980). Dans le domaine du génie logiciel, la méthode d'extreme programming tente de prendre en compte la difficulté évoquée par la loi de Hofstadter. Cette loi fut initialement en relation avec les ordinateurs jouant aux échecs, où les meilleurs joueurs battaient toujours les machines, même si les machines surpassaient les joueurs dans l'analyse récursive. Voir aussi[modifier | modifier le code]